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Si "Le Dindon" ne révolutionne pas le genre, il n'en reste pas moins une comédie légère et acide plus que plaisante et servie, qui plus est, par d'excellents comédiens. Une manière de nous rappeler que la comédie française a encore beaucoup de choses en réserve et qu'il suffit parfois d'aller piocher dans les classiques pour la revigorer.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Jalil Lespert s’essaie pour la première fois à la pure comédie. (...) Si le décorum sixities de cette nouvelle version apporte une touche psychédélique à cette satire de la bourgeoisie, sa manière de croquer les relations hommes-femmes prend une dimension inédite – et savoureuse – à l'ère des mouvements MeToo, Time's Up et autre BalanceTonPorc.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Jalil Lespert a transposé son intrigue dans les années 60 (...) Pour le reste, il est toujours bien question de fidélité, de constats d’adultère, de trahisons feutrées (on est chez les bourgeois), de gros quiproquos et de jeux de dupes qui vont se régler à grand renfort de portes qui claquent et de répliques bien senties, dans une intrigue resserrée au maximum.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Un jeu de cache-cache sentimental à la Feydeau, dont Jalil Lespert adapte ici la pièce, dans une comédie qui s’efforce de porter au cinéma la mécanique théâtrale. Mais c’est difficile…
Cette adaptation d'un vaudeville de Feydeau doit beaucoup à l'énergie des comédiens, qui ne se ménagent pas. Malheureusement, les rires ne sont pas vraiment au rendez-vous.
Feydeau pourrait bien se retourner dans sa tombe en voyant la ronde de ces couples adultères, revisitée de façon bourrative par l'interprète de l'excellent Ressources humaines...
L’énergie propre aux pièces de Feydeau n’est ici jamais présente, à cause d'une écriture qui confond la précision de la mécanique narrative avec le spectacle d’une hystérie généralisée.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Filmé à la mitraillette (on multiplie les plans de trois secondes pour gommer l’effet théâtre), joué par des égarés (comment croire une seconde que Gallienne est un obsédé du jupon ?), ce « Dindon » pâteux est au cinéma ce que la pizza aux tripes de ma belle-mère est à l’art culinaire. Je vous laisse imaginer.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Ni le jeu, outrageusement théâtral, de ses acteurs à la limite du cabotinage ni la réactualisation de gags vieux comme la comédie (multiples variations autour de l'amant dans le placard) ne parviennent à insuffler à ce "Dindon" un quelconque intérêt, et on bâille plus qu'on ne rit.
Si Alice Pol et Laure Calamy se sortent plutôt bien de cet embrouillamini, Dany Boon et Guillaume Gallienne (coscénariste du film) cabotinent assez paresseusement dans un vaudeville qui, jusqu’au bout, fait du vieux avec du vieux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
Si "Le Dindon" ne révolutionne pas le genre, il n'en reste pas moins une comédie légère et acide plus que plaisante et servie, qui plus est, par d'excellents comédiens. Une manière de nous rappeler que la comédie française a encore beaucoup de choses en réserve et qu'il suffit parfois d'aller piocher dans les classiques pour la revigorer.
Femme Actuelle
Ça démarre fort bien, avec un style, un rythme, un éclat... qui sont difficiles à tenir jusqu'au bout. On s'amuse quand même beaucoup !
LCI
Jalil Lespert s’essaie pour la première fois à la pure comédie. (...) Si le décorum sixities de cette nouvelle version apporte une touche psychédélique à cette satire de la bourgeoisie, sa manière de croquer les relations hommes-femmes prend une dimension inédite – et savoureuse – à l'ère des mouvements MeToo, Time's Up et autre BalanceTonPorc.
La Voix du Nord
Jalil Lespert a transposé son intrigue dans les années 60 (...) Pour le reste, il est toujours bien question de fidélité, de constats d’adultère, de trahisons feutrées (on est chez les bourgeois), de gros quiproquos et de jeux de dupes qui vont se régler à grand renfort de portes qui claquent et de répliques bien senties, dans une intrigue resserrée au maximum.
Le Dauphiné Libéré
Un jeu de cache-cache sentimental à la Feydeau, dont Jalil Lespert adapte ici la pièce, dans une comédie qui s’efforce de porter au cinéma la mécanique théâtrale. Mais c’est difficile…
Télé 7 Jours
[L'] adaptation du fameux vaudeville de 1896 [...] ne retrouve qu'à mi-parcours le mordant et le rythme échevelé de l'original.
Télé Loisirs
Cette adaptation d'un vaudeville de Feydeau doit beaucoup à l'énergie des comédiens, qui ne se ménagent pas. Malheureusement, les rires ne sont pas vraiment au rendez-vous.
Voici
Feydeau pourrait bien se retourner dans sa tombe en voyant la ronde de ces couples adultères, revisitée de façon bourrative par l'interprète de l'excellent Ressources humaines...
Critikat.com
L’énergie propre aux pièces de Feydeau n’est ici jamais présente, à cause d'une écriture qui confond la précision de la mécanique narrative avec le spectacle d’une hystérie généralisée.
L'Obs
Filmé à la mitraillette (on multiplie les plans de trois secondes pour gommer l’effet théâtre), joué par des égarés (comment croire une seconde que Gallienne est un obsédé du jupon ?), ce « Dindon » pâteux est au cinéma ce que la pizza aux tripes de ma belle-mère est à l’art culinaire. Je vous laisse imaginer.
Le Figaro
Dans ce film tiré du classique de Feydeau, Le Dindon de la farce, c’est le public.
Le Parisien
Entreprise curieusement hybride d’adapter à l’écran la pièce de Feydeau, "Le Dindon" est l’exemple même de ce qu’il ne faut pas faire.
Les Inrockuptibles
Ni le jeu, outrageusement théâtral, de ses acteurs à la limite du cabotinage ni la réactualisation de gags vieux comme la comédie (multiples variations autour de l'amant dans le placard) ne parviennent à insuffler à ce "Dindon" un quelconque intérêt, et on bâille plus qu'on ne rit.
Positif
Le pire ? Pas facile à dire.
Première
Feydeau transposé dans les années 60. Une fausse bonne idée qui envoie le film de Jalil Lespert dans le mur.
Télérama
Si Alice Pol et Laure Calamy se sortent plutôt bien de cet embrouillamini, Dany Boon et Guillaume Gallienne (coscénariste du film) cabotinent assez paresseusement dans un vaudeville qui, jusqu’au bout, fait du vieux avec du vieux.