Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Du sentiment, il y en aura pourtant dans ce film amer virant au mélo, et même de la tendresse.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Marie Klock
Rimini, en comparaison, est d’une grande douceur. On n’ira pas jusqu’à parler de feelgood movie, mais à l’échelle des films de Seidl, il a quelque chose de généreux dans la possibilité d’ascension qu’il offre à son héros et à tous ceux qui l’entourent.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Frédéric Mercier
Avec Ruben Östlund, Seidl pratique un semblable comique cruel et à l’os, fabriquant films après films (après la trilogie Amour, notamment) une comédie humaine désespérée sur une génération de boomers européens dont Bravo serait l’incarnation spectaculaire.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Pas de graisse, pas de redite non plus, sinon cette causticité qui donne au récit sa dynamique. À l’image de Richie Bravo qui, au nom de sa survie, est prêt aux magouilles les plus pitoyables, et qui pourtant émeut.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Transfuge
par Frédéric Mercier
Seidl a le mérite de l’insolence et du mauvais goût pour mieux regarder ses contemporains et l’époque droit dans les yeux.
L'Obs
par X. L.
Au contraire de son héros, le cinéaste autrichien a conservé son fiel. Son évocation d’une ex-star ringarde, égarée dans une Italie pluvieuse, est à la fois mordante et mélancolique. (...) En revanche, lorsque Seidl s’aventure sur le terrain géopolitique à travers ces migrants prêts à tout pour « remplacer » notre héros en envahissant sa demeure, on ne comprend pas où il veut en venir.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Etienne Sorin
Mauvais goût assumé, humour houellebecquien, chair triste, la Dolce Vita version Ulrich Seidel.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Ouest France
par La Rédaction
Ça traîne, mais le film est sublimé par des plans qu'on croirait échappés des photos de Martin Parr.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Dommage que le récit n’évite pas longueurs et répétitions, qui amoindrissent son impact.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Thomas Baurez
La beauté des plans (on dirait des photos de Martin Parr) illumine heureusement l’ensemble mais sans renverser la donne.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Michel Bezbakh
n est bien dans un film d’Ulrich Seidl (l’auteur de la trilogie Paradis), qui aime toujours autant montrer les gros, les moches, les allumés, filmer sans juger ce qui a tout pour l’être. Mais la copie cette fois est plus sage, moins déroutante que d’habitude, et l’on se surprend à regretter que le cinéaste ne soit pas allé un peu plus loin…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Rimini se caractérise aussi par une vision stéréotypée, pour ne pas dire raciste, des immigrés syriens, décrits comme oisifs et profiteurs, qui rejoignent Tessa dans son entreprise de chantage et finissent par squatter la maison du chanteur.
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Nul, sale, bête et méchant, le film d’Ulrich Seidl n’a que sa piteuse misanthropie pour cacher la misère sous le tapis de son cinéma d’exécuteur. D’une platitude plastique et morale confondante, Rimini n’a rien à faire passer d’autre que son sourire narquois.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Le Monde
Du sentiment, il y en aura pourtant dans ce film amer virant au mélo, et même de la tendresse.
Libération
Rimini, en comparaison, est d’une grande douceur. On n’ira pas jusqu’à parler de feelgood movie, mais à l’échelle des films de Seidl, il a quelque chose de généreux dans la possibilité d’ascension qu’il offre à son héros et à tous ceux qui l’entourent.
Positif
Avec Ruben Östlund, Seidl pratique un semblable comique cruel et à l’os, fabriquant films après films (après la trilogie Amour, notamment) une comédie humaine désespérée sur une génération de boomers européens dont Bravo serait l’incarnation spectaculaire.
Sud Ouest
Pas de graisse, pas de redite non plus, sinon cette causticité qui donne au récit sa dynamique. À l’image de Richie Bravo qui, au nom de sa survie, est prêt aux magouilles les plus pitoyables, et qui pourtant émeut.
Transfuge
Seidl a le mérite de l’insolence et du mauvais goût pour mieux regarder ses contemporains et l’époque droit dans les yeux.
L'Obs
Au contraire de son héros, le cinéaste autrichien a conservé son fiel. Son évocation d’une ex-star ringarde, égarée dans une Italie pluvieuse, est à la fois mordante et mélancolique. (...) En revanche, lorsque Seidl s’aventure sur le terrain géopolitique à travers ces migrants prêts à tout pour « remplacer » notre héros en envahissant sa demeure, on ne comprend pas où il veut en venir.
Le Figaro
Mauvais goût assumé, humour houellebecquien, chair triste, la Dolce Vita version Ulrich Seidel.
Ouest France
Ça traîne, mais le film est sublimé par des plans qu'on croirait échappés des photos de Martin Parr.
Le Journal du Dimanche
Dommage que le récit n’évite pas longueurs et répétitions, qui amoindrissent son impact.
Première
La beauté des plans (on dirait des photos de Martin Parr) illumine heureusement l’ensemble mais sans renverser la donne.
Télérama
n est bien dans un film d’Ulrich Seidl (l’auteur de la trilogie Paradis), qui aime toujours autant montrer les gros, les moches, les allumés, filmer sans juger ce qui a tout pour l’être. Mais la copie cette fois est plus sage, moins déroutante que d’habitude, et l’on se surprend à regretter que le cinéaste ne soit pas allé un peu plus loin…
Cahiers du Cinéma
Rimini se caractérise aussi par une vision stéréotypée, pour ne pas dire raciste, des immigrés syriens, décrits comme oisifs et profiteurs, qui rejoignent Tessa dans son entreprise de chantage et finissent par squatter la maison du chanteur.
Les Fiches du Cinéma
Nul, sale, bête et méchant, le film d’Ulrich Seidl n’a que sa piteuse misanthropie pour cacher la misère sous le tapis de son cinéma d’exécuteur. D’une platitude plastique et morale confondante, Rimini n’a rien à faire passer d’autre que son sourire narquois.