Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
L'Express
par Christophe Carrière
Le documentaire gagne alors en humanité et en émotion, échappant à tout prosélytisme que devait forcément souhaiter le gouvernement.
L'Obs
par François Forestier
Pas de commentaires, rien que d’étonnantes images pour une leçon des ténèbres.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Positif
par Denitza Bantcheva
Abaturov précise (dans le dossier de presse) qu’il rejette « le système », pas les soldats, et il a bien su exprimer ce point de vue en les filmant.
Télérama
par Samuel Douhaire
Un documentaire vibrant d’humanité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Clémence Arrivé
Le montage met en garde, mais le regard du cinéaste pointe également une fascination et une tendresse pour les jeunes soldats.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Thibault Vicq
Le réalisateur laisse un goût d’inachevé dans sa représentation du deuil par le feu ardent de la présence, et de l’existence par la confrontation. L’illustration psychologique du soldat décédé par son entourage ne manque certes pas de vérité, mais manque de passerelles entre les univers dont il nous ouvre les portes.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Le cinéaste russe Alexander Abaturov signe un bel hommage à son cousin tué dans le Caucase.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Murielle Joudet
Les parents peinent pourtant à y retrouver les traits de leur fils. Cette partie endeuillée donne lieu à des séquences d’une pudeur déchirante, qui agissent comme la part d’impensé, le fond inconscient qui sourd sous les séquences guerrières.
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Un documentaire honnête, bien filmé, inabouti mais touchant dans son intention.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le Fils est certes une œuvre bien menée et tenue, mais sans vraie singularité. Le personnage-titre, autour duquel tout le film devrait s’organiser, reste accessoire, malgré quelques belles scènes émouvantes autour de la statue qu’un sculpteur modèle à son image.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
A la suite d’un décès, ce documentaire immerge dans le quotidien de recrues de l’armée russe sans livrer de contexte politique ni offrir de réel point de vue.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Libération
par Sandra Onana
Quoique soucieux d’exhiber l’endoctrinement des jeunes recrues [...], le regard d’Abaturov s’astreint souvent à une approche illustrative, comme dénuée d’une quelconque volonté d’interroger la réalité qu’il enregistre - ou peut-être contraint d’adopter une réserve prudente face à des services de sécurité intérieure dissuasifs.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Express
Le documentaire gagne alors en humanité et en émotion, échappant à tout prosélytisme que devait forcément souhaiter le gouvernement.
L'Obs
Pas de commentaires, rien que d’étonnantes images pour une leçon des ténèbres.
Positif
Abaturov précise (dans le dossier de presse) qu’il rejette « le système », pas les soldats, et il a bien su exprimer ce point de vue en les filmant.
Télérama
Un documentaire vibrant d’humanité.
Critikat.com
Le montage met en garde, mais le regard du cinéaste pointe également une fascination et une tendresse pour les jeunes soldats.
Culturopoing.com
Le réalisateur laisse un goût d’inachevé dans sa représentation du deuil par le feu ardent de la présence, et de l’existence par la confrontation. L’illustration psychologique du soldat décédé par son entourage ne manque certes pas de vérité, mais manque de passerelles entre les univers dont il nous ouvre les portes.
Le Figaro
Le cinéaste russe Alexander Abaturov signe un bel hommage à son cousin tué dans le Caucase.
Le Monde
Les parents peinent pourtant à y retrouver les traits de leur fils. Cette partie endeuillée donne lieu à des séquences d’une pudeur déchirante, qui agissent comme la part d’impensé, le fond inconscient qui sourd sous les séquences guerrières.
Les Fiches du Cinéma
Un documentaire honnête, bien filmé, inabouti mais touchant dans son intention.
L'Humanité
Le Fils est certes une œuvre bien menée et tenue, mais sans vraie singularité. Le personnage-titre, autour duquel tout le film devrait s’organiser, reste accessoire, malgré quelques belles scènes émouvantes autour de la statue qu’un sculpteur modèle à son image.
La Croix
A la suite d’un décès, ce documentaire immerge dans le quotidien de recrues de l’armée russe sans livrer de contexte politique ni offrir de réel point de vue.
Libération
Quoique soucieux d’exhiber l’endoctrinement des jeunes recrues [...], le regard d’Abaturov s’astreint souvent à une approche illustrative, comme dénuée d’une quelconque volonté d’interroger la réalité qu’il enregistre - ou peut-être contraint d’adopter une réserve prudente face à des services de sécurité intérieure dissuasifs.