Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Repérages
par Grégory Schneider
(...) un va-et-vient permanent entre la violence la plus extrême et une forme de tendresse (...)
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Télérama
par Frédéric Strauss
(...) un polar sec et violent dont le principal propos est, très symboliquement, la fidélité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Urbuz
par Jean-Philippe Tessé
(...) imbibé de cet inépuisable principe ludique, Aniki, mon frère prend la forme d'une tragédie dérisoire et n'est jamais loin de la farce macabre et désespérée.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Cahiers du Cinéma
par Patrice Blouin
C'est (...) l'un des films les plus généreux de son auteur. Car l'acteur et le réalisateur imposent à leur nouvel entourage des règles (de conduite, de mise en scène) qui réclament, pour exister, une réponse active.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Elysabeth François
Elégante parabole sur la parité des syndicats du crime, Aniki, mon frère conquiert légitimement sa place parmi les chefs-d'œuvre de Kitano. Inutile donc de bouder son plaisir.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cinopsis.com
par Sylvie Jacquy
Kitano n'a jamais été aussi japonais qu'en terre étrangère et on en vient à se demander si il n'aurait pas atteint le sommet de son art…
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
par Anne-Laure Bell
Retravaillant ici les formes, Kitano évite (...) les grossières citations plaquées et certains plans convenus retrouvent une virginité oubliée dans sa mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Michel Guilloux
Takeshi Kitano revient avec Aniki mon frère au film de genre nippon dans lequel il excelle en le confrontant au cousin américain. Choc de cultures.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Pascal Mérigeau
L'humour de Kitano est toujours là, qui fait mouche plus souvent qu'à son tour, comme exalté par l'impeccable ordonnancement des poses et des attitudes, l'élégance dandy des figures, la logique implacable d'une mise en scène superbement maîtrisée.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
On retient d'Aniki mon frère une extrême violence, des scènes fulgurantes où perce un humour noir, sec comme un coup de revolver. Et un Kitano acteur, ange exterminateur (...), cruel mais touchant dans son désespoir (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Aniki, mon frère est un polar brillant qui méalnge retenue, lenteur et poésie.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
(...) Aniki raconte l´impossibilité de faire un bon film de genre au pays du film de genre, sans accepter d´en respecter les règles les plus convenues.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Alain Grasset
(...) Takeshi Kitano revient avec un film noir, sanglant, brutal, cruel, quoique ponctué d'humour. Ce polar brillant, qui lorgne du côté de « Reservoir Dogs » de Tarentino et du « Samouraï » de Melville, ne décevra pas les amateurs du genre.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
(...) un combat ludique et singulier sur le terrain du plus puissant pays de cinéma, un film qui prend naturellement sa place dans une oeuvre qui continue d'évoluer, tout en demeurant irréductible.
MCinéma.com
par Jean-Luc Brunet
(...) un film ambitieux mais sans prétention, et son auteur l'un des cinéastes les plus excitants de son époque. A ne pas louper !
Positif
par Olivier De Bruyn
Plutôt que de considérer Aniki comme une régression, on peut préférer y voir une sorte de sommet récapitulatif de cet aspect essentiel de l'oeuvre kitanesque. Avant, sans doute, de nouvelles aventures...
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Olivier De Bruyn
(...) Kitano délivre ici la quintessence de ses rêveries et de ses réflexions concernant la destruction et le pétage de gueule. Si Aniki s'avère moins surprenant que ses deux ouvrages précédents, il reste toutefois singulièrement foisonnant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Aden
par Philippe Piazzo
Comment admirer Kitano et ne pas être déçu ? Pour la première fois, Kitano reprend ses thèmes, son style surprenant fait de rimes visuelles, de plages d'attente ponctuées de jeux comme d'éclairs assassins fulgurants... sans rien y insuffler de nouveau.
La critique complète est disponible sur le site Aden
FHM
par F.B.
Ultra-violent, ultra-cadré, ultra-monté, le film en vient à "tuer" ce qu'il met en scène par une accumulation de cadavres.
La critique complète est disponible sur le site FHM
Le Figaro
par Claude Baignères
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaro Magazine
par Daniel Toscan du Plantier
L'absence d'ironie dévastatrice qui rééquilibrait dans ses oeuvres précédentes la violence exhibitionniste se fait lourdement sentir dans ce passage à l'Ouest. Kitano, l'acteur, reste heureusement impassible et n'a besoin de copier personne pour rester lui-même.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Libération
par Jean-Marc Lalanne
D'une élégance austère et sombre, Aniki mon frère manque un peu de corps et de souffle.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Repérages
(...) un va-et-vient permanent entre la violence la plus extrême et une forme de tendresse (...)
Télérama
(...) un polar sec et violent dont le principal propos est, très symboliquement, la fidélité.
Urbuz
(...) imbibé de cet inépuisable principe ludique, Aniki, mon frère prend la forme d'une tragédie dérisoire et n'est jamais loin de la farce macabre et désespérée.
Cahiers du Cinéma
C'est (...) l'un des films les plus généreux de son auteur. Car l'acteur et le réalisateur imposent à leur nouvel entourage des règles (de conduite, de mise en scène) qui réclament, pour exister, une réponse active.
Chronic'art.com
Elégante parabole sur la parité des syndicats du crime, Aniki, mon frère conquiert légitimement sa place parmi les chefs-d'œuvre de Kitano. Inutile donc de bouder son plaisir.
Cinopsis.com
Kitano n'a jamais été aussi japonais qu'en terre étrangère et on en vient à se demander si il n'aurait pas atteint le sommet de son art…
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
Retravaillant ici les formes, Kitano évite (...) les grossières citations plaquées et certains plans convenus retrouvent une virginité oubliée dans sa mise en scène.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Takeshi Kitano revient avec Aniki mon frère au film de genre nippon dans lequel il excelle en le confrontant au cousin américain. Choc de cultures.
L'Obs
L'humour de Kitano est toujours là, qui fait mouche plus souvent qu'à son tour, comme exalté par l'impeccable ordonnancement des poses et des attitudes, l'élégance dandy des figures, la logique implacable d'une mise en scène superbement maîtrisée.
Le Figaroscope
On retient d'Aniki mon frère une extrême violence, des scènes fulgurantes où perce un humour noir, sec comme un coup de revolver. Et un Kitano acteur, ange exterminateur (...), cruel mais touchant dans son désespoir (...)
Le Journal du Dimanche
Aniki, mon frère est un polar brillant qui méalnge retenue, lenteur et poésie.
Le Monde
(...) Aniki raconte l´impossibilité de faire un bon film de genre au pays du film de genre, sans accepter d´en respecter les règles les plus convenues.
Le Parisien
(...) Takeshi Kitano revient avec un film noir, sanglant, brutal, cruel, quoique ponctué d'humour. Ce polar brillant, qui lorgne du côté de « Reservoir Dogs » de Tarentino et du « Samouraï » de Melville, ne décevra pas les amateurs du genre.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
(...) un combat ludique et singulier sur le terrain du plus puissant pays de cinéma, un film qui prend naturellement sa place dans une oeuvre qui continue d'évoluer, tout en demeurant irréductible.
MCinéma.com
(...) un film ambitieux mais sans prétention, et son auteur l'un des cinéastes les plus excitants de son époque. A ne pas louper !
Positif
Plutôt que de considérer Aniki comme une régression, on peut préférer y voir une sorte de sommet récapitulatif de cet aspect essentiel de l'oeuvre kitanesque. Avant, sans doute, de nouvelles aventures...
Première
(...) Kitano délivre ici la quintessence de ses rêveries et de ses réflexions concernant la destruction et le pétage de gueule. Si Aniki s'avère moins surprenant que ses deux ouvrages précédents, il reste toutefois singulièrement foisonnant.
Aden
Comment admirer Kitano et ne pas être déçu ? Pour la première fois, Kitano reprend ses thèmes, son style surprenant fait de rimes visuelles, de plages d'attente ponctuées de jeux comme d'éclairs assassins fulgurants... sans rien y insuffler de nouveau.
FHM
Ultra-violent, ultra-cadré, ultra-monté, le film en vient à "tuer" ce qu'il met en scène par une accumulation de cadavres.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaro Magazine
L'absence d'ironie dévastatrice qui rééquilibrait dans ses oeuvres précédentes la violence exhibitionniste se fait lourdement sentir dans ce passage à l'Ouest. Kitano, l'acteur, reste heureusement impassible et n'a besoin de copier personne pour rester lui-même.
Libération
D'une élégance austère et sombre, Aniki mon frère manque un peu de corps et de souffle.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com