Mon compte
    L'Enfer du dimanche
    Note moyenne
    3,5
    7848 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur L'Enfer du dimanche ?

    214 critiques spectateurs

    5
    43 critiques
    4
    79 critiques
    3
    44 critiques
    2
    26 critiques
    1
    16 critiques
    0
    6 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    bsalvert
    bsalvert

    407 abonnés 3 576 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 juin 2020
    Un film bien mené par des acteurs qui jouent à fleur de peau, une musique omniprésente, un très bon moment de cinéma.
    caro18
    caro18

    172 abonnés 2 213 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 mars 2015
    Film passionnant sur le football américain et dans les coulisses avec un casting idéal.
    illuminati
    illuminati

    19 abonnés 311 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 novembre 2007
    Pas mal, mais aussitôt vu aussitôt oublié.
    Redzing
    Redzing

    1 113 abonnés 4 469 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 juin 2024
    Le sport en général, je m’en tamponne allègrement l’oreille avec une babouche. Et en particulier le football américain. J’étais tout de même curieux de découvrir la vision que pouvait en avoir Oliver Stone, alors qu’il sortait de l’apogée de sa carrière.
    Bonne nouvelle : « Any Given Sunday » est à des années lumières du mélodrame sportif sirupeux, ou de la success story conventionnelle. Mauvaise nouvelle : ce n’est pas toujours digeste.
    Le début donne le ton, présentant un match où tout va à 100 à l’heure. Les personnages vocifèrent et s’insultent, les blessures pleuvent, la caméra tremble, le montage ne tient pas en place, la musique est tapageuse. Et c’est rempli de dialogues techniques rigoureusement incompréhensibles pour les Européens.
    Le reste du film ralentit (un peu), mais dans l’ensemble ça reste lourd, et parfois même racoleur. Par exemple, le film cherche à souligner la beauferie du monde du football américain… et n’arrive pas toujours à éviter le piège de devenir lui-même beauf. Je note au passage une séquences aussi courte que gratuite de nudité masculine frontale, chose rare au cinéma !
    J’imagine que Stone a voulu utiliser un style percutant, voire frénétique, pour évoquer la violence de ce monde (sur et derrière le terrain). Néanmoins il a tendance à tomber dans l’hystérie. Et sur 2h40 c’est franchement long.
    Heureusement, « Any Given Sunday » a plusieurs atouts pour lui. Déjà, le portrait au vitriol du football américain. Propriétaire d’équipe cynique, entraîneur bourrin, médecin peu scrupuleux, joueurs qui ne sont que des bœufs débauchés et dopés, épouses trophées superficielles et intéressées. Tandis que le fric est partout, les contrats à renouveler guidant de nombreux choix. D’ailleurs, peu de personnages sont attachants, à part peut-être celui de Dennis Quaid, un vétéran blessé à deux doigts d’être éjecté.
    Malgré le chaos général, les personnages sont finalement bien écrits. Beaucoup n’ont que quelques courtes scènes, toutefois le choix des répliques et du montage permet de leur donner du corps. On comprend rapidement d’où ils viennent et quelle est l’origine des conflits.
    Il faut aussi dire que la distribution 4 étoiles y est pour beaucoup. Al Pacino est parfait en coach vociférant. James Woods est immédiatement détestable en médecin immoral. Cameron Diaz en propriétaire aux troubles desseins. Ainsi que quelques choix originaux, voire prémonitoires.
    Elizabeth Berkley, dont la carrière avait été anéantie peu avant par l’excessif « Showgirls » joue ici le rôle… d’une prostituée. Jamie Foxx, alors méconnu, incarne un joueur de seconde zone qui va devenir brutalement une superstar mégalo. Une sacrée ironie, quand on sait que Jamie Foxx lui-même a eu la réputation de devenir imbuvable sur les tournages quand il a commencé à être célèbre.
    Charlton Heston est également de la partie, le temps d’une furtive apparition. Un choix étrange, sachant que pour bien faire comprendre que le football est l’équivalent du cirque antique, Stone diffuse à un moment des images de… « Ben Hur » !
    « Any Given Sunday » est ainsi une œuvre qui ne fait pas dans la dentelle, ni sur le fond, ni sur la forme, et qui divisera son public.
    Santu2b
    Santu2b

    249 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 février 2019
    À la fin des années 1990, Oliver Stone signe une immersion dans le football américain en racontant l'histoire d'une équipe et d'un entraîneur à la dérive. Comme souvent avec lui, il s'agit d'une épopée sportive effectuée sous le signe de l'hystérie et de la lourdeur. La première partie donne d'emblée le ton : assemblage d'images clippesques, mouvements de caméra à en donner le tournis, et surtout BO incessante et envahissante. Il y avait pourtant suffisamment matière : un casting haut de gamme, une histoire valable, pourquoi en faire des tonnes ? À aucun moment il fait ressortir la fièvre du jeu qu'il prétend capter, au lieu de cela, il s'adonne à souhait au racolage. La seconde partie est à la rigueur plus regardable et se distingue par quelques morceaux de bravoure portés par Pacino. Mais c'est bien maigre au vu du potentiel de départ. Enfin, Stone n'est pas un bon directeurs d'acteurs : tout le monde est en roue libre. Décevant.
    Charlotte28
    Charlotte28

    123 abonnés 2 001 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 juillet 2021
    D'emblée le rythme nous embarque grâce à une bande-son vibrante et une mise en scène dynamique afin de nous immerger dans l'ambiance survoltée de ces nouveaux jeux de gladiateurs dont nous sont exposés les risques physiques mais aussi les dangers liés à la médiatisation, à l'emprise de l'argent et au poids des sponsors. Soutenu par un casting enthousiaste de l'ambitieuse Cameron Diaz au belliqueux Jamie Foxx en passant par l'intense Al Pacino le récit sportif se double d'un cheminement initiatique quand un anonyme passe de l'ombre à la lumière tandis que son aîné se démène avec ses ténèbres intérieures, permettant ainsi sans didactisme ni pathos une réflexion sur les choix personnels et les ambitions intimes. Même sans connaître les règles du football américain on se laisse prendre au jeu de ce (faux) suspense fort bien mené - bien que la familiarité avec celles-ci doive apporter une plus-value. Un mètre-étalon du genre!
    BabsyDriver
    BabsyDriver

    80 abonnés 817 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 février 2013
    Oliver Stone signe avec "L'Enfer du Dimanche" son dernier grand film. Tout en remplissant le cahier des charges du film sportif (les matchs sont épiques et la victoire finale exaltante), il ne manque pas non plus de signaler avec férocité les déboires, l'orgueil et l'avarice qui règnent dans le sport aujourd'hui. Traînant sa lassitude d'un monde sportif qui n'en finit pas de se corrompre outrageusement, Al Pacino fait merveille face à un Jamie Foxx qui se révélait par ce rôle d'enfant gâté.
    Dawasta
    Dawasta

    64 abonnés 635 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 février 2014
    Oliver Stone nous fait découvrir un sport qui le passionne et que l'on connait peu. Il parvient à rendre son sujet intéressant en y présentant ses dessous peu glorieux. Corruption, dopage, magouilles et hypocrisie sans oublier la bestialité sur le terrain (le coup de l’œil m'avait marqué). Un sport qu'il compare de façon explicite aux jeux du cirque. Les images sont instables et le montage nerveux ce qui insuffle une certaine énergie au film. Au casting on retrouve beaucoup de grands noms, dont Al Pacino toujours aussi bouillonnant, Cameron Diaz qui change de son registre habituel et un premier vrai rôle pour Jamie Foxx. (Pas mal)
    bobbyfun
    bobbyfun

    40 abonnés 1 250 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 février 2020
    spoiler: Stone adresse une critique survoltée, survitaminée de cette institution que l'on appelle football américain.
    pelu
    pelu

    17 abonnés 1 074 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 janvier 2015
    Grosse intensité imposer par olivier stone durant tout le film , ne nous laissant aucun répit . outre l histoire de fond qui tourne autour du milieu du football , Oliver s en sert pour nous mettre en œuvre une histoire de passion d enjeux de jalousie et d envie... De superficiel et du concret de le fort et du travail , de l exemplarité et du leadership au milieu de ce gladiateurs modernes un peu perdu de ces jeunes noires qui deviennent des stars et qui perdent la tête ...la mise en scène de stone et à son image top ! Rythmée gros cadrages des lenteurs ... Les matchs sont vivants. Il nous régale aussi par ce casting fou fou !! Pacino qui est excellent , Cameron Diaz qui me surprend , James Woods, Jamie Fox a peine connu tout comme Aaron ackart , ll cool j , Dennis quaid pas mal quand même.. Un gros plus cette bande sonore au poil rhytmant le
    Film passant d un genre a un autre et totalement adapté. L histoire ma
    Foi simple s avéré prenante et on suit avec plaisir ces égos qui s entre choquent jusqu au dénouement vraiment bonnard !!
    Caine78
    Caine78

    6 695 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 août 2012
    Manifestement, Oliver Stone n'a pas eu la main légère pour réaliser cette « grande épopée sportive » . Matchs de football américain filmés hystériquement, bande-originale assourdissante et omniprésente, volonté de racoler à plusieurs reprises... Beaucoup d'éléments étaient présents pour faire de « L'Enfer du dimanche » un spectacle infréquentable. Reste que Stone, malgré tous ces défauts, reste un réalisateur talentueux, capable de nous intéresser à un sport dont on se contrefout et d 'envoyer une bonne dose d'adrénaline aux moments cruciaux. Fort d'un casting plutôt bien exploité (hormis James Woods, pourtant génial en seulement quelques scènes) et d'un scénario étonnamment dense, le plaisir est ainsi inégal, mais loin d'être totalement absent, la façon de présenter les différents aspects et enjeux du football y étant notamment pour beaucoup. C'est qu'Oliver Stone parvient plutôt bien à observer les choses en profondeur, certains dialogues s'avérant particulièrement pertinents, à l'image des relations houleuses entre Tony D'Amato et Christina Pagniacci. Bref, ce que le film perd en subtilité et finesse, il le gagne en énergie et puissance : pas sûr que c'était le meilleur calcul qui soit, mais il a au moins le mérite d'être efficace.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 24 février 2013
    Au départ j'ai eu peur d'assister à un énième film de sport avec l'équipe dans le trou qui va bravement se relever au dernier match. Heureusement c'est assez différent ici (du moins dans un premier temps), Oliver Stone dresse un portrait peu flatteur du sport moderne devenu un bizness, véritable jeux du cirque. Je dois dire qu'à ce niveau c'est plutôt réussi, ensuite il y a beaucoup d'images de jeu ce qui rallonge le film sans apporter grand chose mais c'est un peu mieux tourné qu'un invictus par exemple.
    Dpmmage que le réalisateur finisse par baisser son pantalon avec cette fin en queue de poisson en demi happy end qui ne correspond pas à ce qu'il nous a montré durant tout le film, But the show must go on!
    Don Keyser
    Don Keyser

    73 abonnés 1 641 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 juin 2015
    Long-métrage montrant les multiples facettes du football américain, "L'Enfer du dimanche paraît réaliste sur certains points et le scénario est assez bien écrit. Toutefois, la réalisation n'est pas à la hauteur ne parvenant pas à choisir entre documentaire et fiction puis avec une mise en scène donnant parfois mal à la tête. Enfin, les acteurs sont convaincants surtout Al Pacino qui est excellent. Ainsi, le film reste divertissant sans pour autant captiver réellement.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 27 février 2019
    Ce film est comme le sprint du 100 mètre, un départ tonitruant plein de bonnes intentions, sûr de lui et de la fierté gagnante jusqu’à la ligne d’arrivée pour sceller sa victoire insolente avec les lauriers comme il se doit, puis survient l’impensable claquage. Même pour un expérimenté acharné bien échauffé pendant l’entraînement comme ce réalisateur qui n’arrive pas à prévoir une telle situation prétentieuse. La fresque de l’enjeu sportif en Amérique, le bilan est dressé et une vision se résumant au tableau de bord -White and Black-, du hard rock et rap bourré de clichés, le service call girl encaisse les chèques des joueurs pas lésés. Cameron Diaz, fille à papa héritière de son gros club de gladiateurs modernes, c’est la patronne qui discute marketing avec le cameo, un vieux acteur de « Ben Hur » plus archive footage, la réalisation est fan pour mettre en scène le prince esclave des romains antiques. Le big match d’Oliver Stone dans son film doublé en français par un commentateur à l’accent américain dominical de Canal, ça me rappelle des souvenirs juste divertissants sans plus, un sport dont je ne comprends que dalle. Cela se résume à grand coup de bande son musical, d’aucune tactique ni stratégie à tirer, de tuyau à filmer et la pression du stress comme le montre la forme du jeu publicitaire autour d’Al Pacino. Après « Friday Night Lights », ca ne me passionne guère le football rugby américain raconté de cette façon par les scénaristes, prière, plaquage bam ouch et son but touche au -down- de l’atterrissage entre les deux poteaux, je préfère la suite des événements « Money ball, le stratège », le base-ball me dit quelque chose. Tony Montana « Scarface » fait un coup du sombrero à la boss des requins émoustillé par sa révélation médiatisé de retraité lâcheur, la série de revers continue pour une conversation enfin cassé, le sacré chute de pigeon pour faire sortir des mots grossiers.
    titiro
    titiro

    50 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 décembre 2011
    C'est le genre de film qui remue les tripes. Extrêmement impressionnant au cinéma, "L'enfer du dimanche" défile de bout en bout comme un rien. En plus d'un casting ahurissant, Oliver Stone effectue une mise en scène époustouflante (mes yeux et mes oreilles se souviennent encore du match final, et pourtant ça commence à dater). Ce film laisse un souvenir impérissable, de même que la performance incroyable d'un Al Pacino en transe, complètement possédé. Et le pire dans tout ça, c'est que je ne connais quasiment rien au football américain.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top