Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Grâce au roman, Nicolas Boukhrief décomplexe son écriture et la libère du carcan scénaristique. « Trois jours et une vie », par le temps qu’il consacre à son installation, par sa structure à contretemps, a gardé une certaine forme littéraire, un peu surannée mais très prenante.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Closer
par La Rédaction
Entre polar noir et thriller, cette adaptation joue habilement avec nos nerfs.
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
On est saisi, dès le début, par l’ambiance pesante de ce thriller rural. On pense aux classiques de Chabrol, à ses villages lourds de silences... Prenant et bien mené.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Malgré son argument initial pas vraiment inédit (un drame, une enquête, des suspects), Trois jours et une vie s’éloigne fort opportunément de l’esthétique de téléfilm par des choix marqués.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Parisien
par La Rédaction
On ressort chamboulés et bluffés de ce marathon émotionnel, tenu par une mise en scène d'une redoutable efficacité et par des acteurs impeccables.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Michaël Ghennam
Nicolas Boukhrief fait équipe avec le romancier Pierre Lemaitre pour ce polar social dans la grande tradition du genre. On pardonne certaines facilités, pour retenir la complexité des portraits.
Ouest France
par Pierre Lunn
Un très beau film sur l'enfance qui pose une question passionnante : peut-on vivre et survivre en ayant été meurtrier ?
Première
par Gaël Golhen
Nicolas Boukhrief adapte le thriller de Pierre Lemaitre et signe, derrière une série B redoutable, un beau portrait d’enfance brisée.
La critique complète est disponible sur le site Première
Voici
par A.V.
Un drame psychologique lent, sobre, émouvant et intense.
L'Obs
par François Forestier
Ambiance très Simenon, étonnantes compositions d’acteurs (Charles Berling en bouseux énervé, Pablo Pauly en médecin dévoré de culpabilité et Sandrine Bonnaire impériale). Hélas, le film est trop long, et le rythme patine.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Nathalie Simon
En adaptant Trois jours et une vie, le livre de Pierre Lemaitre, Nicolas Boukhrief signe un thriller psychologique inégal.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par S.J.
Les lecteurs du roman noir ne seront jamais surpris mais apprécieront la mise en images intense, l’habillage sonore prenant et l’excellente interprétation de cette tragédie intimiste et étouffante.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Etude de mœurs et polar, le film radiographie une société minée par la culpabilité et le secret. Ecrit au cordeau, il est glaçant. Et porté par Pablo Pauly, découvert il y a deux ans dans « Patients », qui confirme un réel talent.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Michel Ciment
Ce récit de la disparition d'un enfant [...] dans un petit village des Ardennes est moins un thriller qu'un docu-drama héritier des romans non fictionnels tel que De sang-froid de Truman Capote.
Télérama
par Guillemette Odicino
Pas de suspense, ni de révélation fracassante : d’emblée, on sait que l’enfant a perdu la vie, et on connaît le (tout jeune) responsable de sa mort accidentelle. Ce qui compte, c’est l’après, la deuxième heure du film, plus tendue : dans une ambiance chabrolienne — que Sandrine Bonnaire sait parfaitement suggérer (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Cette très pâle adaptation du roman de Pierre Lemaitre, avec sa collaboration, souffre d’une mise en scène banale, d’un jeu sans épaisseur et d’une absence d’énergie.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Mathieu Macheret
En suivant le fil d’une culpabilité recuite sur plusieurs années, le film brosse le portrait d’une petite communauté villageoise mise à l’épreuve du temps. Il pâtit de ce rapport trop étroit aux conventions qui marque le cinéma de Boukhrief, faisant de ses films des objets très ouvragés, mais manquant de vie ou de respiration nonobstant son talent de conteur.
Les Inrockuptibles
par Léo Moser
Malgré une mise en scène soignée (…) et quelques partitions remarquables (…), [le film] manque cruellement de vertige et ne dépasse jamais sa condition de polar filmé. La faute à un personnage principal insipide (Pablo Pauly, unidimensionnel) et une volonté de psychologiser le récit trop lourdement appuyée.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marcos Uzal
Le film échoue alors à intéresser par delà son intrigue, et il déçoit en ramenant tout ce qu’il avait amorcé d’inquiétant et de trouble vers un déroulement étriqué et mesquin.
La critique complète est disponible sur le site Libération
CinemaTeaser
Grâce au roman, Nicolas Boukhrief décomplexe son écriture et la libère du carcan scénaristique. « Trois jours et une vie », par le temps qu’il consacre à son installation, par sa structure à contretemps, a gardé une certaine forme littéraire, un peu surannée mais très prenante.
Closer
Entre polar noir et thriller, cette adaptation joue habilement avec nos nerfs.
Femme Actuelle
On est saisi, dès le début, par l’ambiance pesante de ce thriller rural. On pense aux classiques de Chabrol, à ses villages lourds de silences... Prenant et bien mené.
La Voix du Nord
Malgré son argument initial pas vraiment inédit (un drame, une enquête, des suspects), Trois jours et une vie s’éloigne fort opportunément de l’esthétique de téléfilm par des choix marqués.
Le Parisien
On ressort chamboulés et bluffés de ce marathon émotionnel, tenu par une mise en scène d'une redoutable efficacité et par des acteurs impeccables.
Les Fiches du Cinéma
Nicolas Boukhrief fait équipe avec le romancier Pierre Lemaitre pour ce polar social dans la grande tradition du genre. On pardonne certaines facilités, pour retenir la complexité des portraits.
Ouest France
Un très beau film sur l'enfance qui pose une question passionnante : peut-on vivre et survivre en ayant été meurtrier ?
Première
Nicolas Boukhrief adapte le thriller de Pierre Lemaitre et signe, derrière une série B redoutable, un beau portrait d’enfance brisée.
Voici
Un drame psychologique lent, sobre, émouvant et intense.
L'Obs
Ambiance très Simenon, étonnantes compositions d’acteurs (Charles Berling en bouseux énervé, Pablo Pauly en médecin dévoré de culpabilité et Sandrine Bonnaire impériale). Hélas, le film est trop long, et le rythme patine.
Le Figaro
En adaptant Trois jours et une vie, le livre de Pierre Lemaitre, Nicolas Boukhrief signe un thriller psychologique inégal.
Le Journal du Dimanche
Les lecteurs du roman noir ne seront jamais surpris mais apprécieront la mise en images intense, l’habillage sonore prenant et l’excellente interprétation de cette tragédie intimiste et étouffante.
Paris Match
Etude de mœurs et polar, le film radiographie une société minée par la culpabilité et le secret. Ecrit au cordeau, il est glaçant. Et porté par Pablo Pauly, découvert il y a deux ans dans « Patients », qui confirme un réel talent.
Positif
Ce récit de la disparition d'un enfant [...] dans un petit village des Ardennes est moins un thriller qu'un docu-drama héritier des romans non fictionnels tel que De sang-froid de Truman Capote.
Télérama
Pas de suspense, ni de révélation fracassante : d’emblée, on sait que l’enfant a perdu la vie, et on connaît le (tout jeune) responsable de sa mort accidentelle. Ce qui compte, c’est l’après, la deuxième heure du film, plus tendue : dans une ambiance chabrolienne — que Sandrine Bonnaire sait parfaitement suggérer (...).
La Croix
Cette très pâle adaptation du roman de Pierre Lemaitre, avec sa collaboration, souffre d’une mise en scène banale, d’un jeu sans épaisseur et d’une absence d’énergie.
Le Monde
En suivant le fil d’une culpabilité recuite sur plusieurs années, le film brosse le portrait d’une petite communauté villageoise mise à l’épreuve du temps. Il pâtit de ce rapport trop étroit aux conventions qui marque le cinéma de Boukhrief, faisant de ses films des objets très ouvragés, mais manquant de vie ou de respiration nonobstant son talent de conteur.
Les Inrockuptibles
Malgré une mise en scène soignée (…) et quelques partitions remarquables (…), [le film] manque cruellement de vertige et ne dépasse jamais sa condition de polar filmé. La faute à un personnage principal insipide (Pablo Pauly, unidimensionnel) et une volonté de psychologiser le récit trop lourdement appuyée.
Libération
Le film échoue alors à intéresser par delà son intrigue, et il déçoit en ramenant tout ce qu’il avait amorcé d’inquiétant et de trouble vers un déroulement étriqué et mesquin.