Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Libération
par Laura Tuillier
Aux confins de la Syrie, de l’Irak et du Liban, Gianfranco Rosi capte et sublime, dans un documentaire tout en clairs-obscurs, des lambeaux d’existences intranquilles dans le sillage de la guerre contre Daesh.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Thierry Chèze
Une chef-d'oeuvre du genre.
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
En serpentant le long des frontières irakiennes, kurde, syrienne et libanaise, la caméra de Rosi ramène des visions inouïes de territoires meurtris par des décennies de tragédies et de malheurs. Notturno est une recherche obstinée, envers et contre tous les nationalismes, toutes les oppositions religieuses, de l’humanité qui subsiste.
Télérama
par François Ekchajzer
La beauté lumineuse de ce film déchirant opposant, elle aussi, son poids d’humanité à une pulsion de mort qui ne vise rien d’autre que l’anéantissement.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Ce document aussi glaçant que nécessaire, saturé de tristesse, saisit.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Rosi revient avec un film délicat sur un sujet brûlant : les zones frontalières dans le Moyen-Orient en guerre. Notturno interroge plus qu’il ne séduit, entre vacuité assumée du filmeur occidental et hommage plastiquement sublime à des exilés en leur propre terre.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Yann Tobin
Le cinéaste n’a rien perdu de son talent visuel – il est à la caméra – et livre une succession de tableaux saisissants, souvent d’une poétique beauté (par exemple, tout ce qui a trait à la famille du jeune chasseur) : clairs-obscurs oniriques, majesté de la nature, expressivité des visages.
Première
par Thierry Chèze
Rosi fascine par sa capacité à saisir ses moments sans jamais mettre le spectateur en position de voyeur. Et il impressionne par sa capacité à distiller du lyrisme dans cette tragédie sans nom, comme ce plan d’un cheval se tenant fièrement au milieu d’une rue. Son Notturno se vit comme un poème. Pari réussi donc.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
En filmant un quotidien qu'il faut bien que chacun vive avec un minimum d'énergie, Rosi dévie de l'allégorie d'une "nuit" politique d'où devrait s'extirper le Moyen-Orient pour affirmer qu'un film ne peut toucher au plus juste de l'humain dans toutes ses dimensions (de l'intime à la politique internationale) qu'en renonçant à la solidité de son propre point de vue.
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Avec ses longs plans-séquences, ce film hypnotique, aux clairs-obscurs insistants, par moment somptueux, ne fait que renforcer par son esthétique le mystère de sa signification. Comme si le soin extrême porté à la composition suffisait à lui donner du sens.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par B.P.
Le réalisateur, lauréat de l'Ours d'or à Berlin en 2016 pour Fuocoammare, fait raconter les malheurs de la Syrie et de l'Irak actuels par une poignée de personnages filmés dans leur quotidien : des enfants qui dessinent les exactions de Daech, une mère qui pleure son fils… Leur vie s'affiche dans une suite de plans fixes, admirablement composés, souvent silencieux.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Le film est d’une beauté crépusculaire époustouflante. Le problème est que cette beauté le confine au livre d’images et finit par nous mettre à distance du vécu de la population.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Le Monde
par Mathieu Macheret
Ce documentaire sur la situation au Moyen-Orient, aux images léchées et froides, procure un sentiment de gêne.
Libération
Aux confins de la Syrie, de l’Irak et du Liban, Gianfranco Rosi capte et sublime, dans un documentaire tout en clairs-obscurs, des lambeaux d’existences intranquilles dans le sillage de la guerre contre Daesh.
Ouest France
Une chef-d'oeuvre du genre.
Transfuge
En serpentant le long des frontières irakiennes, kurde, syrienne et libanaise, la caméra de Rosi ramène des visions inouïes de territoires meurtris par des décennies de tragédies et de malheurs. Notturno est une recherche obstinée, envers et contre tous les nationalismes, toutes les oppositions religieuses, de l’humanité qui subsiste.
Télérama
La beauté lumineuse de ce film déchirant opposant, elle aussi, son poids d’humanité à une pulsion de mort qui ne vise rien d’autre que l’anéantissement.
Le Journal du Dimanche
Ce document aussi glaçant que nécessaire, saturé de tristesse, saisit.
Les Fiches du Cinéma
Rosi revient avec un film délicat sur un sujet brûlant : les zones frontalières dans le Moyen-Orient en guerre. Notturno interroge plus qu’il ne séduit, entre vacuité assumée du filmeur occidental et hommage plastiquement sublime à des exilés en leur propre terre.
Positif
Le cinéaste n’a rien perdu de son talent visuel – il est à la caméra – et livre une succession de tableaux saisissants, souvent d’une poétique beauté (par exemple, tout ce qui a trait à la famille du jeune chasseur) : clairs-obscurs oniriques, majesté de la nature, expressivité des visages.
Première
Rosi fascine par sa capacité à saisir ses moments sans jamais mettre le spectateur en position de voyeur. Et il impressionne par sa capacité à distiller du lyrisme dans cette tragédie sans nom, comme ce plan d’un cheval se tenant fièrement au milieu d’une rue. Son Notturno se vit comme un poème. Pari réussi donc.
Cahiers du Cinéma
En filmant un quotidien qu'il faut bien que chacun vive avec un minimum d'énergie, Rosi dévie de l'allégorie d'une "nuit" politique d'où devrait s'extirper le Moyen-Orient pour affirmer qu'un film ne peut toucher au plus juste de l'humain dans toutes ses dimensions (de l'intime à la politique internationale) qu'en renonçant à la solidité de son propre point de vue.
La Croix
Avec ses longs plans-séquences, ce film hypnotique, aux clairs-obscurs insistants, par moment somptueux, ne fait que renforcer par son esthétique le mystère de sa signification. Comme si le soin extrême porté à la composition suffisait à lui donner du sens.
Le Figaro
Le réalisateur, lauréat de l'Ours d'or à Berlin en 2016 pour Fuocoammare, fait raconter les malheurs de la Syrie et de l'Irak actuels par une poignée de personnages filmés dans leur quotidien : des enfants qui dessinent les exactions de Daech, une mère qui pleure son fils… Leur vie s'affiche dans une suite de plans fixes, admirablement composés, souvent silencieux.
Les Inrockuptibles
Le film est d’une beauté crépusculaire époustouflante. Le problème est que cette beauté le confine au livre d’images et finit par nous mettre à distance du vécu de la population.
Le Monde
Ce documentaire sur la situation au Moyen-Orient, aux images léchées et froides, procure un sentiment de gêne.