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    Frankie
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    57 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 11 décembre 2019
    Un scénario vide, un jeu d’acteur absent et une intrigue beaucoup trop lente pour captiver le spectateur...
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    637 abonnés 1 403 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 septembre 2019
    Pour ma part, j'ai trouvé "Frankie" d'Ira Sachs mi-figue mi-raisin. D'un côté, il y a quelque chose de très étonnant dans sa manière d'aborder les émotions de ses personnages. Ils sont traversés, secoués, mais toujours avec distance et sérénité. Mais d'un autre, le côté très théâtral de la mise en scène (parti pris de la caméra fixe) atténue l'intensité, et rend moins perceptible la complexité des personnages. Un peu à la façon d'une pièce de Tchekhov, les personnages, très bavards et chacun avec ses lubies, s'affrontent et s'embrassent, se retrouvent et se pleurent, et tout ça, en une journée (on retrouve l'unité de temps propre aux tragédies). C'est curieux et à la fois ennuyeux de regarder un film avec un tel décor (Sintra au Portugal) se contenter de faire de la caméra sur pied ! Du coup, on cherche à comprendre, à percevoir l'imperceptible nuance que le réalisateur américain a pu glisser à l'oreille de ses acteurs. Car oui, ce cinéma conceptuel mise tout sur ces derniers. Ici, ils sont très loin d'une performance larmoyante mais se contentent d'être là, dépouillés de toute démonstration de jeu. C'est assez déroutant ; c'est comme si le spectateur devait être aussi pommé qu'eux. Isabelle Huppert, bien que jouant une actrice égocentrique, fascine par son aisance à aller à contre-courant, à ne pas jouer ce qu'on pourrait attendre d'un personnage mourant. Les autres acteurs, bien que brillants, restent un peu sous son ombre. Ils sont plutôt dans l'écoute et "subissent" les humeurs de leur mère/femme/meilleure amie/ex-femme... Peut-être que dans son interrogation sur la maladie, Ira Sachs a voulu se dénuer de tout artifice cinématographique afin de se concentrer sur la vie, la vraie, celle qui prend des temps, et dit des choses anecdotiques. Mais je conçois qu'il faut être dans un certain "mood" pour recevoir cet objet étrange et le trouver palpitant. Sinon, on pique du nez comme ont pu le faire deux de mes voisins spectateurs et on se réveille en se disant qu'on a rien loupé...
    Bernard D.
    Bernard D.

    114 abonnés 613 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 30 août 2019
    Avec « Frankie » film franco-portugais tourné par un américain, Ira Sachs, on tenait un sujet certes déjà abordé mais en or à savoir l’annonce aux membres de sa famille que l’on va bientôt mourir et les réactions de chacun.
    Le premier problème est qu’on n’assiste pas à l’annonce et les protagonistes – une star internationale, Frankie, interprétée par Isabelle Huppert, son ancien et actuel mari, ses 2 enfants issus d’un père différent, et sa meilleure amie, Llene, sa coiffeuse attitrée … avec au début l’impression que tout le monde vient passer ses vacances au soleil dans une magnifique villa avec piscine. Le second problème est que le film se termine en queue de poisson avec filmés de très loin tous les protagonistes sur une sorte de promontoire face au soleil couchant … mais personne ne parle et tout le monde redescend et cut… mais au passage on voit très bien les traces de 4x4 qui ont permis de transporter les acteurs au point voulu.
    Entre les deux on a une succession de scénettes de valeur très inégale où chacun ne parle finalement que de ses propres problèmes, son premier mari lui disant même « tout ne tourne toujours autour de toi ». Deux personnes sont compatissantes mais sans « pleurnichage » car Frankie a dit « le plus dur c’est de voir les gens pleurer autour de soi ». Jimmy, l’actuel mari qui a bien du mal à cacher sa douleur et dont hélas l’image dans la mémoire de Frankie sera ternie par une scène vue de loin entre lui et Llen. Sinon Isabelle Huppert, est magnifique, mais égale à elle-même avec une foule de sentiments mais cachés par une froideur.
    Le montage du film est linéaire, rude et rien de permet in fine de donner du liant à cette histoire … dont le seul intérêt est de savoir qu’elle a été en grande partie, tournée à Sintra, un site magnifique situé à une vingtaine de km de Lisbonne même si on n’en voit que les jardins.
    Caine78
    Caine78

    6 801 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 septembre 2019
    D'Ira Sachs, j'avais vu « Married Life » et « Brooklyn Village », plutôt pas mal. Pourtant, j'avais presque un mauvais pressentiment concernant « Frankie », malgré un casting séduisant. Est-ce justement la présence d'Isabelle Huppert qui m'a fait craindre l'ennui ? Toujours est-il qu'en définitive, celui-ci a été bel et bien présent, par intermittences, certes, mais présent. Cela ne passait pourtant pas trop mal, au début : d'ailleurs, je reconnais que globalement, ce qu'on à se dire les différents personnages est plutôt intéressant, ne manquant pas de pertinence sur la vie, les relations humaines ou l'art en général, certaines scènes ne m'ayant d'ailleurs pas laissé insensible, notamment celle entre Huppert et Greg Kinnear, très juste, où de façon plus générale la présence toujours délicieuse de Marisa Tomei. Mais bon, presque une heure quarante comme ça... On reste quand même dans une logique très intello, assez poseuse, avec pas mal d'entre-soi et un scénario statique, préférant enchaîner les échanges, les contacts entre protagonistes plutôt que d'offrir une vraie structure narrative, un récit construit avec rigueur de bout en bout. Alors je ne dis pas : dans sa logique de cinéma « élitiste », filmant avec soin ces décors et ayant un évident savoir-faire dans l'écriture, « Frankie » se tient. Maintenant, où est le plaisir, où est l'intérêt pour l'immense majorité des spectateurs ? Que retiendront-ils de ce film ? À l'image de l'interminable plan final (qui, pour le coup, et aussi bien composé soit-il, est vraiment une caricature ambulante), je suis sorti de là assez groggy, assistant précisément à ce que je craignais : beau, sans doute, mais surtout barbant.
    nicolas t.
    nicolas t.

    59 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 août 2019
    Joli film américain indépendant, qui décrit avec finesse et une élégance compassée
    la réunion d'amis et d'une famille au Portugal autour d'une actrice condamnée par un cancer généralisé.
    Les acteurs sont bons, Sintra magnifiquement filmée mais un certain ennui s'installe, tant les personnages
    hors sols et leurs petits problèmes sont peu passionnants. Il manque la cruauté et l'ironie d'un Woody Allen
    ou la tendresse d'un Tchekov à ce petit théâtre de nantis qui se regardent le nombril.
    Néanmoins l'émotion affleure devant les belles scènes de l'adolescente découvrant l'amour ou la réunion des deux amies.
    Huppert impériale est sobre, humaine comme on ne l'a pas vue depuis longtemps.
    diane.stehelin
    diane.stehelin

    1 abonné 8 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 septembre 2019
    Le thème est sinistre même si Isabelle Huppert joue remarquablement bien , l ambiance est si lourde , on sort plombé de ce film.
    selenie
    selenie

    6 346 abonnés 6 209 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 juin 2020
    L'économie générale (jeu, décor, dialogue... etc...) empêche toute empathie et donc toute émotion. Les discussions sont ennuyeuses et sans enjeu, en tous cas pour le spectateur (achat d'un appart à 3 millions, la perte d'un bracelet hors de prix, l'idylle adoslescente... etc...), rien ne permet de s'accrocher à un fil directeur et rien ne permet réellement de nous attacher. tandis qu'on se demande pourquoi avoir choisi la ville de Sintra tant les paysages restent bien secondaires et ce n'est l'artificialité de la dernière séquence qui sauvera la donne. On aura connu Ira Sachs plus inspiré que cette chronique inepte malgré le talent et le charme de quelques passages.
    Site : Selenie
    colombe P.
    colombe P.

    134 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 septembre 2019
    Un film très beau, très délicat, très émouvant, parfaitement bien mis en scène.
    Il sera juste trop lent pour certaines personnes qui n'aiment pas cela.
    Moi j'ai totalement adhéré.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 septembre 2019
    Isabelle Huppert, dans le nouveau film d’Ira Sachs, joue quasiment son propre rôle de comédienne reconnue, très digne et sobre, voire austère. A l’article de la mort, elle emmène le spectateur et sa famille à Sintra, au Portugal, un village typique à flanc de montagne. Eprise de beauté, elle souhaite organiser l’après pour sa famille recomposée dans un cadre idyllique. Cependant, sa fatigue et l’aura qui la suit jusque dans ce village, transforment ses plans.

    Le cadre qu’elle choisit pour les vacances en famille est réellement merveilleux; la mer est là mais se révèle un personnage secondaire ; la forêt montagneuse provoque des sensations puissantes et spirituelles. Le village aux mille couleurs s’enfouit dans le dédale de verdure, légèrement inquiétant. Les routes perdent les touristes dans cette ambiance de jungle.

    La maison magnifique, qui accueille le couple formé par l’actrice avec son triste amant anglais, soulage les idées noires. Le premier plan voit Frankie tâter l’eau de la piscine, couverte d’un déshabillé somptueux, et le point de vue qui s’offre tout à coup, celui de la nageuse, coupe le souffle de beauté. Le décor est planté: une maison comme un palais de pierre et de verdure, qui incite à rêver, prendre le temps (celui qui passe trop vite au vu de la mort qui s’annonce), faire le point sur la famille. La lumière est verticale, très chaude.

    Les femmes sont les héroïnes de l’histoire. La suite sur https://cascaro.wordpress.com/2019/09/01/frankie-une-heroine-tragique-dans-un-portugal-de-reve/
    Yves G.
    Yves G.

    1 500 abonnés 3 517 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 28 septembre 2019
    Françoise Crémont alias Frankie (Isabelle Huppert) est une star internationale du cinéma. Atteinte d’un cancer incurable, elle sent sa fin s’approcher. Pour ses dernières vacances, à Cintra au Portugal, elle réunit tous ses proches : Michel, son premier mari (Pascal Greggory) qui a fait son "coming out" depuis qu’elle l’a quitté, Paul, le fils qu’elle a eu avec lui (Jérémie Rénier) qui va s’installer à New York après une énième déception amoureuse, Jimmy, son mari actuel (Brendan Gleeson), inconsolable du deuil à venir, Sylvia, la fille (Vinette Robinson) que celui-ci avait eu d’un premier lit, elle-même accompagnée de Ian, son mari, qu’elle s’apprête à quitter, et de Maya, sa fille en pleine crise d’adolescence. Complètent ce cercle strictement familial Ilene, l’ancienne coiffeuse de Frankie (Marisa Tomei) et Gary, son compagnon (Greg Kinnear), un chef opérateur qui a décidé de passer à la réalisation.

    On attendait beaucoup, à Cannes, en compétition officielle, du nouveau film de Ira Sachs, le réalisateur new yorkais, remarqué pour ses précédents films : "Brooklyn Village", "Love is strange", "Keep the Lights on"… La déception a été grande.

    Cet assemblage cosmopolite – un réalisateur new yorkais, une star française, des acteurs anglais, belge et irlandais, un tournage au Portugal – ne fonctionne pas. On dirait du Woody Allen pas drôle, du Rohmer sans élégance.

    Le scénario se déroule en une seule journée du lever jusqu’au coucher du soleil (filmé dans un long plan fixe comme un tableau de maître qui sauverait presque à lui seul le film si on lui manifestait une indulgence coupable). Il se déroule dans les rues et les environs de Cintra où les personnages, rarement immobiles, sont filmés en pleine déambulation, au point d’en devenir un tic.

    Chacun des neuf personnages est successivement montré en compagnie d’un autre. Les esprits mathématiques auront calculé que le nombre de possibilités s’élève à trente-six et que le film aurait pu être très très long. Heureusement certains face-à-face nous sont épargnés tandis que d’autres sont élargis à un troisième participant.

    Chaque dialogue est censé raconter une histoire : le coming out de Michel, le déménagement de Paul, le chagrin de Jimmy, la rupture de Sylvia, les amourettes de Maya, etc. Le récit est si kaléidoscopique qu’on ne s’attache à personne. Sinon peut-être à Isabelle Huppert qui – malgré le ras-le-bol que je ne manque pas d’exprimer à chacun de ses films – est impériale dans un film où, pour une fois, elle n’interprète pas le rôle d’une femme toxique.
    Laurent C.
    Laurent C.

    260 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 septembre 2019
    Aller voir "Frankie" c'est s'offrir de nouveau une rencontre avec Isabelle Huppert. D'autant quand le rôle annoncé est celui d'une comédienne malade, en fin de vie, dans un écrin merveilleux de l'Italie. Elle réunit ses enfants, les pères de ses enfants et une de ses meilleure amie, dont elle aimerait bien qu'elle se rapproche un peu plus de son fils. Mais voilà, une fois le pitch dressé, le film sonne formidablement en creux. En réalité, le cinéaste regarde des gens parler. Les conversations sont celles de personnes riches, qui n'ont pas d'autres préoccupations que de se regarder le nombril et de refaire leur petit univers feutré.

    Du fait d'un scénario des plus vides, l'interprétation des comédiens demeurent très en deçà de ce que l'on peut attendre de pointures comme Huppert, Greggory, ou Resnier. Les comédiens obéissent sagement à un fil mal écrit, ennuyeux. Eux-mêmes semblent totalement sidérés par le vie sidéral de cette histoire. Le temps semble terriblement long et l'agacement finit par surgir chez le spectateur, incapable de s'identifier à ces personnages stéréotypés. Il faudrait qu'un certain cinéma n'oublie pas son spectateur et prenne la mesure que les acteurs ou les réalisateurs ne sont qu'une infime minorité du vrai monde.
    joelle g
    joelle g

    92 abonnés 879 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 11 septembre 2019
    une vraie deception ....de tres bonnes critiques mais visiblement ...pas pour moi..
    ce film donne l'impression d'etre un brouillon...
    de très belles photographies...le Portugal ...ça donne envie d'y partir ....
    de beaux dialogues un peu comme au theatre.....
    parfois mal joué.....meme très mal joué....
    et tout cela en vrac....les scenes raccord sont absentes ...
    du coup ce film semble à l'état d'ébauche ....et en devient d'un ennui mortel ...au point que j'ai falli quitter la salle ...
    sararemi
    sararemi

    6 abonnés 157 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 septembre 2019
    Excellent, du grand Huppert. Beaucoup d'émotion, de retenue et d'élégance dans son rôle. Cette actrice est vraiment dans le peloton de tête.
    Jorik V
    Jorik V

    1 279 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 novembre 2019
    On ne peut pas dire que l’on reconnaisse vraiment le cinéma d’Ira Sachs ici et le « Frankie » risque de décevoir pas mal des amateurs de ce cinéaste discret à la filmographie cohérente avec des thèmes récurrents et similaires. Une œuvre qui n’est pas sans rappeler celle de Woody Allen, elle en a des faux airs en tout cas, avec une tendance à des long-métrages tout de même plus sensibles et doux-amers et souvent axés sur des amours gays. Comme l’octogénaire, Sachs a fait de New-York sa ville de prédilection et comme lui, il aime à filmer les tourments de la vie, du couple et des rapports humains. Or, ici, après une demi-douzaine de films dans la Grosse Pomme, il choisit aussi de s’exiler pour aller tourner en Europe. Et c’est pour un film choral sans véritable ligne directrice qui restera peut-être l’un des films les moins marquants de la sélection officielle cannoise 2019. Le sujet? On y voit une actrice célèbre demander à des proches de la rejoindre à Sintra se sachant condamnée par un cancer. Et… c’est tout.



    Sans pour autant être déplaisant, le metteur en scène signe certainement là son film le plus faible et le plus anecdotique avec « Frankie ». D’aucuns diront que ce long- métrage ne raconte rien et ne va nulle part. Ce n’est pas faux, il faut juste se laisser prendre par ces errances dans les rues de la magnifique cité portugaise. Celle-ci est très bien mise en valeur sans pour autant passer par les lieux touristiques (voir le magnifique et très long plan final). C’est parfois envoûtant, parfois évanescent, parfois un peu monotone et vain aussi car il est vrai que cela ne va nulle part. Mais « Frankie » ne manque pas non plus d’intérêt, notamment par la grâce de ses acteurs et de cette distribution internationale. Et Sachs va à l’encontre de ce que proposent en général les films avec une mosaïque de personnages ou de retrouvailles en famille : il ne propose aucune scène de groupe hormis le plan final muet. Et c’est un peu dommage, voire frustrant sur ce point, même si cela sort des sentiers battus et évite un passage obligé.



    On doit donc se satisfaire durant une heure et demie, sans pour autant que le film ne paraisse trop long, d’échanges entre bourgeois et artistes nantis qui déambulent dans les rues et les parcs de cette illustre ville. Certaines séquences sont intéressantes (celles avec Jérémie Rénier), d’autres beaucoup moins (celles avec la jeune adolescente sur la plage). Il semblerait que Sachs a choisi avec son scénario d’isoler tous les personnages pour les faire se rencontrer indépendamment en doublon, autour de la présence tutélaire d’une Isabelle Huppert dans un rôle confortable. Le spectateur flâne donc comme les personnages mais l’argument est tout de même mince pour un auteur qui nous a offert de beaux drames bordés d’émotion par le passé. Et là est le problème, au vu du sujet on devrait être touché et ému. Ce qui n’est jamais le cas. « Frankie » est donc un film particulier, pas désagréable mais totalement inutile.


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    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 189 abonnés 5 197 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 février 2021
    Je suis pas vraiment emballé. On dirait du Woody Allen de province.
    Les personnages se confient mais rien de transparaît de tout ça.
    C’est très gênant également d’entendre IH et JR avec d’autre voix que la leur en doublage....
    L’image n’est pas très belle pourtant la région a de quoi.
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