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Brillant et rassérénant, "Une affaire de famille" éclot comme la synthèse artistique d'un cinéaste au sommet de son art protéiforme, intimiste et puissante.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
En plus de questionner les frontières de la morale, Kore-eda ne juge pas ses personnages. Ces affreux, sales et méchants des temps modernes sont peu ou prou nos semblables. Dans le défilé des saisons, nous nous attachons à eux en dépit de leurs actes et avec l'idée que le film s'achève en leur laissant une seconde chance.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le cinéaste, réalisateur et auteur du scénario, démontre une fois de plus son talent de conteur d’histoire et de créateur de personnages. Un film magnifique, plein d’espoir, pas au sens galvaudé de "feel good movie", mais bien plus sensible : solaire.
Kore-Eda, dans un film qui donne la priorité aux liens du coeur sur ceux du sang, met à mal, l’air de rien, l’assise même de l’ordre social traditionnel. Dans un film tout de simplicité et d’émotion : un pur bonheur.
Palme d'or du dernier Festival de Cannes, le film de Hirokazu Kore-eda peint avec une discrète sensibilité un petit clan asocial et chaleureux dans un Tokyo dominé par la consommation.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
C’est d’une humanité rare, avec une écriture délicate et sensible qui ne force jamais le trait et sème des petits cailloux dans le récit que l’on récupère par la suite.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Au cœur de ce film fabuleux se dévoile pourtant une famille nucléaire bien concrète, un corps familial, fait de six personnages dont Kore-Eda n’a de cesse de montrer le lien organique, via ses acteurs réunis par les fils invisibles de sa mise en scène, comme une boîte à musique géante, faite de chair et de larmes.
La critique complète est disponible sur le site Première
A mesure que Kore-eda détricote les apparences qu’il nous a d’abord fait admettre et aimer, c’est l’aspect le plus douloureux, le plus poignant de son cinéma qui gagne la surface, achevant de faire de cette œuvre bouleversante l’un de ses meilleurs films.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Maîtrisée et attendue dans sa première partie, cette chronique familiale se transforme en récit poignant et profond dans sa seconde, renouant avec le meilleur de son auteur.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
"Choisir sa famille, cela évite de faux espoirs", entend-on dans ce film discret, gracieux et déchirant. Des adjectifs qu'on est ravi de voir, pour une fois, désigner une palme d'or.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Peintre délicat des atmosphères fragiles, Kore-Eda prend soin de poser ses tableaux dans un cadre stable où s’épanouissent et se déploient ses très belles images.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Jamais démonstratif, toujours plus complexe et nuancé qu’il n’y paraît, "Une affaire de famille" implique le regard du spectateur avec une minutie majestueuse, laissant longtemps après la séance une trace habile, mais loin d’être fugace, de son redoutable humanisme.
Succès d’entrées au Japon, « Une Affaire de famille » est une palme poil à gratter, impertinente, qui raye sérieusement l’image lisse d’un pays. Il en ressort une émotion neuve, peu rencontrée au cinéma, qui bouscule le cœur jusqu’aux dernières images.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Lauréat de la Palme d’or, le nouveau film de Kore-eda, d’une bienveillance jamais prise en défaut, consacre son sens du cadre, son attention aux détails et son art de la miniature.
Si ce portrait d'une famille de laissés-pour-compte volant par nécessité offre une très émouvante première partie, la suite s'achemine vers un conte moral épris de bons sentiments.
L’affaire de famille apparaît plutôt comme une affaire de redondance. Bien souvent, Kore-eda procède d’une stricte répétition du même à travers une logique de création du lien : unifier pour désunifier, construire pour déconstruire.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
20 Minutes
Palme d'or à Cannes, « Une affaire de famille » est un drôle de film, une fable sociale touchante et accessible à tous.
Bande à part
Brillant et rassérénant, "Une affaire de famille" éclot comme la synthèse artistique d'un cinéaste au sommet de son art protéiforme, intimiste et puissante.
CNews
En filmant au plus près, tel un documentaire, et toujours avec la même finesse, le cinéaste livre une chronique à la fois drôle et déchirante.
Cahiers du Cinéma
Belle et subversive affaire de famille, très légitimement couronnée.
Culturopoing.com
En plus de questionner les frontières de la morale, Kore-eda ne juge pas ses personnages. Ces affreux, sales et méchants des temps modernes sont peu ou prou nos semblables. Dans le défilé des saisons, nous nous attachons à eux en dépit de leurs actes et avec l'idée que le film s'achève en leur laissant une seconde chance.
Femme Actuelle
Une vraie merveille.
Franceinfo Culture
Le cinéaste, réalisateur et auteur du scénario, démontre une fois de plus son talent de conteur d’histoire et de créateur de personnages. Un film magnifique, plein d’espoir, pas au sens galvaudé de "feel good movie", mais bien plus sensible : solaire.
L'Express
Cette saga de l'intime se transforme sans en avoir l'air en drame émouvant nourri par un suspense que personne ne voit venir.
L'Humanité
Un grand film, porté par une saine colère et débarrassé du carcan de la morale.
La Voix du Nord
Une Palme du cœur amplement méritée.
Le Dauphiné Libéré
Kore-Eda, dans un film qui donne la priorité aux liens du coeur sur ceux du sang, met à mal, l’air de rien, l’assise même de l’ordre social traditionnel. Dans un film tout de simplicité et d’émotion : un pur bonheur.
Le Figaro
Palme d'or du dernier Festival de Cannes, le film de Hirokazu Kore-eda peint avec une discrète sensibilité un petit clan asocial et chaleureux dans un Tokyo dominé par la consommation.
Le Monde
Hirokazu Kore-eda émerveille et bouleverse.
Les Inrockuptibles
Palme d’or 2018, le portrait d’une famille confrontée à la précarisation de la classe ouvrière. L’art méticuleux et sensible de Kore-eda à son sommet.
Ouest France
Une leçon de cinéma qu'on garde longtemps en tête.
Paris Match
C’est d’une humanité rare, avec une écriture délicate et sensible qui ne force jamais le trait et sème des petits cailloux dans le récit que l’on récupère par la suite.
Positif
"Une affaire de famille" est un grand film réaliste, poétique, humaniste.
Première
Au cœur de ce film fabuleux se dévoile pourtant une famille nucléaire bien concrète, un corps familial, fait de six personnages dont Kore-Eda n’a de cesse de montrer le lien organique, via ses acteurs réunis par les fils invisibles de sa mise en scène, comme une boîte à musique géante, faite de chair et de larmes.
Rolling Stone
Pour son treizième film, Kore-Eda synthétise avec brio toute son œuvre. Magnifique.
Transfuge
"Une affaire de famille", bouleversante histoire d'un clan de criminels ordinaires vivant dans une maison délabrée, a des airs de comédie douce-amère.
Télérama
A mesure que Kore-eda détricote les apparences qu’il nous a d’abord fait admettre et aimer, c’est l’aspect le plus douloureux, le plus poignant de son cinéma qui gagne la surface, achevant de faire de cette œuvre bouleversante l’un de ses meilleurs films.
Voici
Kore-eda creuse son délicat sillon sur les liens du sang, dans ce drame politiquement incorrect pour le gouvernement nippon.
BIBA
[...] une merveille de tendresse [...].
CinemaTeaser
D’une grande justesse émotionnelle et sociopolitique, cette chronique familiale bouleverse.
Ecran Large
Maîtrisée et attendue dans sa première partie, cette chronique familiale se transforme en récit poignant et profond dans sa seconde, renouant avec le meilleur de son auteur.
L'Obs
"Choisir sa famille, cela évite de faux espoirs", entend-on dans ce film discret, gracieux et déchirant. Des adjectifs qu'on est ravi de voir, pour une fois, désigner une palme d'or.
La Croix
Peintre délicat des atmosphères fragiles, Kore-Eda prend soin de poser ses tableaux dans un cadre stable où s’épanouissent et se déploient ses très belles images.
La Septième Obsession
Jamais démonstratif, toujours plus complexe et nuancé qu’il n’y paraît, "Une affaire de famille" implique le regard du spectateur avec une minutie majestueuse, laissant longtemps après la séance une trace habile, mais loin d’être fugace, de son redoutable humanisme.
Le Journal du Dimanche
Une Palme d'or du coeur méritée.
Le Parisien
Succès d’entrées au Japon, « Une Affaire de famille » est une palme poil à gratter, impertinente, qui raye sérieusement l’image lisse d’un pays. Il en ressort une émotion neuve, peu rencontrée au cinéma, qui bouscule le cœur jusqu’aux dernières images.
Le Point
Un film bouleversant.
Les Fiches du Cinéma
Lauréat de la Palme d’or, le nouveau film de Kore-eda, d’une bienveillance jamais prise en défaut, consacre son sens du cadre, son attention aux détails et son art de la miniature.
Libération
Sur une trame attendue, ce portrait travaillé emprunte finalement d’autres voies que celles de la mièvrerie et du film dossier.
Marianne
Une chronique tendre et délicate.
Sud Ouest
Jamais sans doute un film de Kore-eda n'avait pris ainsi, en flagrant délit d'injustice, l'ordre social et la loi.
Télé 7 Jours
Le cinéaste nippon Hirokazu Kore-eda brosse le portrait d'une étonnante tribu, entre douceur bienveillante, humour et critique sociale noire.
Télé Loisirs
Le cinéaste explore avec empathie et délicatesse les rapports entre ses personnages.
Marie Claire
Si ce portrait d'une famille de laissés-pour-compte volant par nécessité offre une très émouvante première partie, la suite s'achemine vers un conte moral épris de bons sentiments.
Critikat.com
L’affaire de famille apparaît plutôt comme une affaire de redondance. Bien souvent, Kore-eda procède d’une stricte répétition du même à travers une logique de création du lien : unifier pour désunifier, construire pour déconstruire.