Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
Femme Actuelle
par La Rédaction
Un festin pour les yeux, qui va vous régaler.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Gijs Naber, qui est presque le sosie de Florian Zeller, a la retenue ébahie requise par le rôle. Bien que muette, sa souffrance est infinie. Léa Seydoux rafle tous les suffrages, avec son chapeau-cloche et son petit manteau droit à col de fourrure.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Yves Jaeglé
Léa Seydoux trouve l’un de ses plus beaux rôles dans ce grand film à l’ancienne.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Louise Dumas
Au classicisme splendide de la facture de son film, Enyedi oppose, avec autant d’intelligence que de discrétion, l’originalité de sa réflexion sur le regard. Aux discours sur le « regard féminin » et « masculin », elle oppose la puissance d’une œuvre superbe et sans dogmatisme.
Transfuge
par Frédéric Mercier
Faussement classique, piégeux, coquin, romanesque, goguenard, L’Histoire de ma femme prend en fin de compte la forme d’un manuel féminin à l’attention des hommes pour en faire de meilleurs amants. Décidément, Enyedi s’avère une des plus originales cinéastes vivantes.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Une fresque brillante et passionnée sur les ravages de la jalousie et la solitude au sein du couple. Ildiko Enyedi réussit un tour de force dans cette œuvre dense et profonde.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
Le spectateur se laisse séduire tout autant que le héros par l’envie de percer à jour le secret de cette belle au passé mystérieux.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
À leurs bras et au fil de leurs rendez-vous manqués, de leurs infidélités, de leurs tromperies et de leurs jalousies, Ildikó Enyedi explore la complexité, le mystère et l’absolu des sentiments, la folie humaine qu’est la folie amoureuse.
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Ce sont les cendres d’un patriarcat à bout de souffle que la cinéaste observe s’étouffer dans une mise en scène sublimée par l’image du directeur de la photographie Marcell Rév.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Classique, solide et finalement envoûtant.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
L’Histoire de ma femme est un vieux chef-d’œuvre de la littérature hongroise de Milan Füst : du romanesque désuet, au charme délicieusement suranné, que fait sienne l’adaptation du livre par la réalisatrice Ildikó Enyedi. Elle exploite ce qu’il y a de plus insaisissable et obscur chez Léa Seydoux (...).
Le Monde
par Thomas Sotinel
Un film d'une belle qualité d'écriture illuminé par l'interprétation de Léa Seydoux.
Les Echos
par Adrien Gombeaud
La réalisatrice hongroise Ildikó Enyedi filme l'amour d'un marin et d'une Parisienne à la fin du XIXe siècle. Une fresque amoureuse folle à l’élégance classique.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
L’Histoire de ma femme a quelque chose de proustien, à la fois dans l’obsession amoureuse de son personnage, mais aussi dans la manière qu’a le film de saisir l’évanescence du temps et le mouvement de la vie.
Marie Claire
par Emily Barnett
Le pourrissement des coeurs est sondé dans un film étincelant à la facture faussement classique.
Public
par Sarah Lévy-Laithier
On craque pour ce triangle amoureux dysfonctionnel.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le film emmène le spectateur sur des chemins de traverse, emprunte de multiples registres, aventure, romanesque, huis clos, tandis que la cinéaste explore les âmes, nous égare, s’amuse, envoûte.
Télérama
par Frédéric Strauss
Sans céder à la facilité, Ildikó Enyedi s’empare des préoccupations actuelles sur les relations de pouvoir entre les deux sexes et les ouvre au questionnement, à l’incertitude fructueuse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
par Salim Belghache
L'Histoire de ma femme patine dans sa durée qu'il porte comme un fardeau avec en plus de cela un personnage masculin fade et tout bonnement antipathique. Jamais convaincant dans son portrait de l'obsession amoureuse, le nouveau long-métrage de Ildikó Enyedi reste à terre au lieu de nous embarquer dans un grand voyage rythmé par les tempêtes et les fracas.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Même si la longueur (près de trois heures) est injustifiée, le film montre bien, lorsque survient l’amant potentiel, la perversité et l’ambiguïté étouffante du ménage à trois en devenir.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Sans doute un peu empesé et trop étiré, L’Histoire de ma femme, sélectionné en compétition à Cannes l’année dernière, excelle cependant à décrire la complexité des rapports entre les hommes et les femmes.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
La Hongroise Ildiko Enyedi prend (un peu trop) son temps pour dessiner une fresque élégante et dense comme un roman du XIXe.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Adèle Bossard-Giannesini
L’Histoire de ma femme se veut une réflexion existentielle à travers la relation tumultueuse d’un couple. Après un début prometteur, le film plonge le spectateur dans un certain ennui duquel surnage quelques moments de mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Camille Nevers
L’Histoire de ma femme tient à ce paradoxe, que c’est une œuvre trop longue, fondée sur l’ellipse. Elle offre simultanément un effet d’engourdissement et de survol. Cela suffit à en dire l’intérêt, cette façon qu’il a de se traîner tout en glissant sur les choses, comme un navire dans les nappes du temps : c’est un film de marin qui peu à peu s’encalmine.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Indice, dans le “ma” du titre : L’Histoire de ma femme n’épousera jamais que le point de vue d’un mari, pendant près de trois heures. (…) La durée du film n’épaissit guère le propos, qui fait du récit d’apprentissage masculin une traversée à contre-courant et au ralenti.
Critikat.com
par Josué Morel
Il ne fallait probablement pas sept chapitres étalés sur près de 3h pour accoucher d’une pareille tautologie : un film fade sur une vie fade.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Paris Match
par Yannick Vely
« L'Histoire de ma femme » parait excessivement long (presque 3 heures), même s'il faut reconnaitre le talent formel de sa réalisatrice.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thierry Chèze
L'Histoire de ma femme appartient à cette catégorie de films où l'on rentre pantoufles aux pieds par peur d'abîmer un parquet soigneusement ciré, son classicisme étouffant le récit sous les dorures de la reconstitution historique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Femme Actuelle
Un festin pour les yeux, qui va vous régaler.
Le Figaro
Gijs Naber, qui est presque le sosie de Florian Zeller, a la retenue ébahie requise par le rôle. Bien que muette, sa souffrance est infinie. Léa Seydoux rafle tous les suffrages, avec son chapeau-cloche et son petit manteau droit à col de fourrure.
Le Parisien
Léa Seydoux trouve l’un de ses plus beaux rôles dans ce grand film à l’ancienne.
Positif
Au classicisme splendide de la facture de son film, Enyedi oppose, avec autant d’intelligence que de discrétion, l’originalité de sa réflexion sur le regard. Aux discours sur le « regard féminin » et « masculin », elle oppose la puissance d’une œuvre superbe et sans dogmatisme.
Transfuge
Faussement classique, piégeux, coquin, romanesque, goguenard, L’Histoire de ma femme prend en fin de compte la forme d’un manuel féminin à l’attention des hommes pour en faire de meilleurs amants. Décidément, Enyedi s’avère une des plus originales cinéastes vivantes.
aVoir-aLire.com
Une fresque brillante et passionnée sur les ravages de la jalousie et la solitude au sein du couple. Ildiko Enyedi réussit un tour de force dans cette œuvre dense et profonde.
20 Minutes
Le spectateur se laisse séduire tout autant que le héros par l’envie de percer à jour le secret de cette belle au passé mystérieux.
Dernières Nouvelles d'Alsace
À leurs bras et au fil de leurs rendez-vous manqués, de leurs infidélités, de leurs tromperies et de leurs jalousies, Ildikó Enyedi explore la complexité, le mystère et l’absolu des sentiments, la folie humaine qu’est la folie amoureuse.
L'Humanité
Ce sont les cendres d’un patriarcat à bout de souffle que la cinéaste observe s’étouffer dans une mise en scène sublimée par l’image du directeur de la photographie Marcell Rév.
La Voix du Nord
Classique, solide et finalement envoûtant.
Le Dauphiné Libéré
L’Histoire de ma femme est un vieux chef-d’œuvre de la littérature hongroise de Milan Füst : du romanesque désuet, au charme délicieusement suranné, que fait sienne l’adaptation du livre par la réalisatrice Ildikó Enyedi. Elle exploite ce qu’il y a de plus insaisissable et obscur chez Léa Seydoux (...).
Le Monde
Un film d'une belle qualité d'écriture illuminé par l'interprétation de Léa Seydoux.
Les Echos
La réalisatrice hongroise Ildikó Enyedi filme l'amour d'un marin et d'une Parisienne à la fin du XIXe siècle. Une fresque amoureuse folle à l’élégance classique.
Les Inrockuptibles
L’Histoire de ma femme a quelque chose de proustien, à la fois dans l’obsession amoureuse de son personnage, mais aussi dans la manière qu’a le film de saisir l’évanescence du temps et le mouvement de la vie.
Marie Claire
Le pourrissement des coeurs est sondé dans un film étincelant à la facture faussement classique.
Public
On craque pour ce triangle amoureux dysfonctionnel.
Sud Ouest
Le film emmène le spectateur sur des chemins de traverse, emprunte de multiples registres, aventure, romanesque, huis clos, tandis que la cinéaste explore les âmes, nous égare, s’amuse, envoûte.
Télérama
Sans céder à la facilité, Ildikó Enyedi s’empare des préoccupations actuelles sur les relations de pouvoir entre les deux sexes et les ouvre au questionnement, à l’incertitude fructueuse.
Ecran Large
L'Histoire de ma femme patine dans sa durée qu'il porte comme un fardeau avec en plus de cela un personnage masculin fade et tout bonnement antipathique. Jamais convaincant dans son portrait de l'obsession amoureuse, le nouveau long-métrage de Ildikó Enyedi reste à terre au lieu de nous embarquer dans un grand voyage rythmé par les tempêtes et les fracas.
L'Obs
Même si la longueur (près de trois heures) est injustifiée, le film montre bien, lorsque survient l’amant potentiel, la perversité et l’ambiguïté étouffante du ménage à trois en devenir.
La Croix
Sans doute un peu empesé et trop étiré, L’Histoire de ma femme, sélectionné en compétition à Cannes l’année dernière, excelle cependant à décrire la complexité des rapports entre les hommes et les femmes.
Le Journal du Dimanche
La Hongroise Ildiko Enyedi prend (un peu trop) son temps pour dessiner une fresque élégante et dense comme un roman du XIXe.
Les Fiches du Cinéma
L’Histoire de ma femme se veut une réflexion existentielle à travers la relation tumultueuse d’un couple. Après un début prometteur, le film plonge le spectateur dans un certain ennui duquel surnage quelques moments de mise en scène.
Libération
L’Histoire de ma femme tient à ce paradoxe, que c’est une œuvre trop longue, fondée sur l’ellipse. Elle offre simultanément un effet d’engourdissement et de survol. Cela suffit à en dire l’intérêt, cette façon qu’il a de se traîner tout en glissant sur les choses, comme un navire dans les nappes du temps : c’est un film de marin qui peu à peu s’encalmine.
Cahiers du Cinéma
Indice, dans le “ma” du titre : L’Histoire de ma femme n’épousera jamais que le point de vue d’un mari, pendant près de trois heures. (…) La durée du film n’épaissit guère le propos, qui fait du récit d’apprentissage masculin une traversée à contre-courant et au ralenti.
Critikat.com
Il ne fallait probablement pas sept chapitres étalés sur près de 3h pour accoucher d’une pareille tautologie : un film fade sur une vie fade.
Paris Match
« L'Histoire de ma femme » parait excessivement long (presque 3 heures), même s'il faut reconnaitre le talent formel de sa réalisatrice.
Première
L'Histoire de ma femme appartient à cette catégorie de films où l'on rentre pantoufles aux pieds par peur d'abîmer un parquet soigneusement ciré, son classicisme étouffant le récit sous les dorures de la reconstitution historique.