Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
En s’approchant du naturalisme et célébrant la vie sur un mode hédoniste, le film atteint une forme d’harmonie au diapason de la présence cosmique que son intrigue évoque sans la préciser.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Ouest France
par T.C.
Le charme opère par la puissance tranquille d’une histoire envoûtante qui joue avec le spectateur en multipliant les interrogations sans en apporter les clés.
Femme Actuelle
par La rédaction
Un film à la fois romantique, social, drôle, fantastique et qui fait voyager.
Les Fiches du Cinéma
par Keiko Masuda
Kôji Fukada montre la nature à la fois dans ce qu’elle a de plus beau, à travers des paysages de mangrove ou de plage paradisiaque, et, métaphoriquement, à travers un personnage surnaturel, la puissance qu’à chaque instant elle peut déployer contre nous.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Yannick Vely
Avec «Le Soupir des vagues», Koji Fukada signe deux films en un : le premier, fascinant, tisse un lien entre le cinéma de fantôme japonais et la légende allemande du Joueur de flûte de Hamelin est une légende allemande, le second, plus conventionnel, suit une jeune femme nippone à la recherche du lieu choisi par son père pour disperser ses cendres.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Samuel Douhaire
Une fable fantastique, un message écologique tout en douceur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Thomas Grignon
C'est davantage dans la mise en scène des atermoiements sentimentaux que le film convainc, lorsque les tâtonnements amoureux se trouvent redoublés par la barrière de la langue.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Bien malin qui saisira le sens de ce film sibyllin, entre marivaudage à la Rohmer et fable symboliste, cultures bouddhiste et monothéiste (que représente ce messie sorti des eaux ?). Pas désagréable pour autant, la poésie langoureuse de l’image filant comme une caresse.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Aussi insolite que poétique, le récit à la lisière du fantastique parle de racines, du deuil et d’animisme, de somptueuses images à l’appui.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Positif
par Bernard Génin
Au spectateur d’entrer ou non dans le côté contemplatif du film, dans son univers délicatement onirique, entre fantastique et réalisme.
Première
par Thierry Chèze
Le Soupir des vagues inspire plus de questions qu'il n'apporte de réponses mais laisse le spectateur libre de choisir sa piste pour l'explorer. Une bulle de poésie.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Si le titre et le sujet annonçaient un récit poétique et vibrant, le traitement énigmatique du film ne tient pas toutes ses promesses.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le personnage de Laut introduit une dimension fantastique qui va perturber ce qui apparaissait comme une chronique de l’adolescence. Sa présence va prendre, in fine, une dimension allégorique un peu attendue.
L'Humanité
En s’approchant du naturalisme et célébrant la vie sur un mode hédoniste, le film atteint une forme d’harmonie au diapason de la présence cosmique que son intrigue évoque sans la préciser.
Ouest France
Le charme opère par la puissance tranquille d’une histoire envoûtante qui joue avec le spectateur en multipliant les interrogations sans en apporter les clés.
Femme Actuelle
Un film à la fois romantique, social, drôle, fantastique et qui fait voyager.
Les Fiches du Cinéma
Kôji Fukada montre la nature à la fois dans ce qu’elle a de plus beau, à travers des paysages de mangrove ou de plage paradisiaque, et, métaphoriquement, à travers un personnage surnaturel, la puissance qu’à chaque instant elle peut déployer contre nous.
Paris Match
Avec «Le Soupir des vagues», Koji Fukada signe deux films en un : le premier, fascinant, tisse un lien entre le cinéma de fantôme japonais et la légende allemande du Joueur de flûte de Hamelin est une légende allemande, le second, plus conventionnel, suit une jeune femme nippone à la recherche du lieu choisi par son père pour disperser ses cendres.
Télérama
Une fable fantastique, un message écologique tout en douceur.
Critikat.com
C'est davantage dans la mise en scène des atermoiements sentimentaux que le film convainc, lorsque les tâtonnements amoureux se trouvent redoublés par la barrière de la langue.
L'Obs
Bien malin qui saisira le sens de ce film sibyllin, entre marivaudage à la Rohmer et fable symboliste, cultures bouddhiste et monothéiste (que représente ce messie sorti des eaux ?). Pas désagréable pour autant, la poésie langoureuse de l’image filant comme une caresse.
Le Journal du Dimanche
Aussi insolite que poétique, le récit à la lisière du fantastique parle de racines, du deuil et d’animisme, de somptueuses images à l’appui.
Positif
Au spectateur d’entrer ou non dans le côté contemplatif du film, dans son univers délicatement onirique, entre fantastique et réalisme.
Première
Le Soupir des vagues inspire plus de questions qu'il n'apporte de réponses mais laisse le spectateur libre de choisir sa piste pour l'explorer. Une bulle de poésie.
aVoir-aLire.com
Si le titre et le sujet annonçaient un récit poétique et vibrant, le traitement énigmatique du film ne tient pas toutes ses promesses.
Le Monde
Le personnage de Laut introduit une dimension fantastique qui va perturber ce qui apparaissait comme une chronique de l’adolescence. Sa présence va prendre, in fine, une dimension allégorique un peu attendue.