Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Positif
par Eric Derobert
[Un] film-poème d’une fulgurante beauté.
Le Figaro
par Éric Neuhoff
C’est spécial, unique, déconcertant.
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Roy Anderson signe un curieux poème en plans fixes et une réflexion belle et amusée sur l'absurdité de l'existence.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Cyrille Latour
En une trentaine de saynètes patiemment composées, Roy Andersson croque les petites lâchetés ordinaires et révèle, par en-dessous, les plaies encore ouvertes de la grande Histoire. Le maître du burlesque sous Prozac fait mouche.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Yannick Vely
D'une beauté blafarde à se damner.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Malgré sa beauté et sa maîtrise, cet assemblage de vignettes, plombé par une voix off, s’apparente parfois à une installation pour musée.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Même si ce formalisme appuyé confine à l’exercice de style, le cinéaste suédois affiche une audace stylistique qui enthousiasme ou un maniérisme qui laisse indifférent.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Première
par Frédéric Foubert
L’auteur de Chansons du deuxième étage redéploie ici son dispositif habituel : longs plans- séquences exprimant l’absurdité de l’existence, cadres fixes, dominante de beige… La nouveauté, c’est cette voix- off féminine (celle d’un ange ?) qui plane sur ces saynètes déprimantes et leur confère une grâce inédite.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Le Suédois Roy Andersson reste fidèle à ses tableaux vivants, qui sont toujours une méditation à la fois tragique et comique sur l’existence.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Roy Andersson semble avoir perdu le sens de l’humour, de l’ironie et de l’absurde qui caractérisaient certaines de ses œuvres précédentes, et l’univers morose de Pour l’éternité bascule rapidement dans un misérabilisme stérile.
Critikat.com
par Chloé Cavillier
Ressentir de l’empathie pour ces figures de perdants n’est pas chose aisée, tant la rigidité des cadres, les couleurs blafardes, les décors sophistiqués à l’extrême ou encore le jeu atone des acteurs corsètent l’émotion.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Mathieu Macheret
Parmi les films les plus exaspérants, ceux voués à délivrer des sentences définitives sur l’inanité de l’espèce humaine tiennent assurément le haut du pavé.
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Succession de sketchs à l’esthétique carton-pâte, le film de Roy Andersson s’enfonce dans les clichés misanthropes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
[Un] film-poème d’une fulgurante beauté.
Le Figaro
C’est spécial, unique, déconcertant.
Les Echos
Roy Anderson signe un curieux poème en plans fixes et une réflexion belle et amusée sur l'absurdité de l'existence.
Les Fiches du Cinéma
En une trentaine de saynètes patiemment composées, Roy Andersson croque les petites lâchetés ordinaires et révèle, par en-dessous, les plaies encore ouvertes de la grande Histoire. Le maître du burlesque sous Prozac fait mouche.
Paris Match
D'une beauté blafarde à se damner.
L'Obs
Malgré sa beauté et sa maîtrise, cet assemblage de vignettes, plombé par une voix off, s’apparente parfois à une installation pour musée.
La Croix
Même si ce formalisme appuyé confine à l’exercice de style, le cinéaste suédois affiche une audace stylistique qui enthousiasme ou un maniérisme qui laisse indifférent.
Première
L’auteur de Chansons du deuxième étage redéploie ici son dispositif habituel : longs plans- séquences exprimant l’absurdité de l’existence, cadres fixes, dominante de beige… La nouveauté, c’est cette voix- off féminine (celle d’un ange ?) qui plane sur ces saynètes déprimantes et leur confère une grâce inédite.
Télérama
Le Suédois Roy Andersson reste fidèle à ses tableaux vivants, qui sont toujours une méditation à la fois tragique et comique sur l’existence.
Cahiers du Cinéma
Roy Andersson semble avoir perdu le sens de l’humour, de l’ironie et de l’absurde qui caractérisaient certaines de ses œuvres précédentes, et l’univers morose de Pour l’éternité bascule rapidement dans un misérabilisme stérile.
Critikat.com
Ressentir de l’empathie pour ces figures de perdants n’est pas chose aisée, tant la rigidité des cadres, les couleurs blafardes, les décors sophistiqués à l’extrême ou encore le jeu atone des acteurs corsètent l’émotion.
Le Monde
Parmi les films les plus exaspérants, ceux voués à délivrer des sentences définitives sur l’inanité de l’espèce humaine tiennent assurément le haut du pavé.
Libération
Succession de sketchs à l’esthétique carton-pâte, le film de Roy Andersson s’enfonce dans les clichés misanthropes.