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Votre avis sur L'Arme fatale ?
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J'ai bien aimé ce "buddy movie" qui nous montre certes des combats, course-poursuites et autres scènes d'action spectaculaire, mais possède aussi un intérêt autre que la simple castagne. Il nous laisse largement voir la naissance d'une relation d'amitié entre deux policiers de Los Angeles au gré de leurs pérégrination dans une Los Angeles saturée de trafics de drogue et de violence. Le policier dépressif et suicidaire, incarné par Mel Gibson, retrouvera le goût de la vie au contact de son coéquipier et de sa gentille famille (qui incarne d'une certaine façon le rêve américain, un peu comme un havre de paix dans la chaos). L'atmosphère est très années 80-90, avec une atmosphère moite, un commissariat bondé...et des relations franches entre les gens, à mille lieues du politiquement correct aseptisé qui sévit de nos jours. Il s'en dégage paradoxalement (vu l'âge du film) une certaine vitalité et une certaine fraicheur....qui contraste avec pas mal de production actuelles...
Premier volet d’une saga comptant à ce jour quatre films et une série TV, L’arme fatale fut un grand succès à sa sortie en 1987. Archétype du buddy movie, genre typiquement américain dans lequel deux flics antagonistes se doivent de collaborer, L’arme fatale est une réussite à bien des égards. Ses deux personnages sont bien construits, déjouant tous les clichés attendus, et il est difficile de ne pas se prendre au jeu de leur relation faite d’attraction et de répulsion. Mel Gibson et Danny Glover sont au sommet de leur talent et offrent des prestations mémorables. Si l’intrigue policière n’est pas très élaborée, le réalisateur Richard Donner accorde plus d’importance à nous plonger dans le Los Angeles nocturne, poisseux et interlope, avec cette patine et cette atmosphère propre aux années 80. C’est drôle, rythmé, émouvant, en un mot : très réussi.
Un duo explosif Mel GIBSON le policier taré et son coéquipier qui n'a pas le choix Danny GLOVERe l’action, humour,punchlines,des courses poursuites, des explosions,des cascades et des effets spéciaux, [le réalisateur ] nous fait partager une histoire d’amitié sur toile de fond policière. Richard maîtrise la technique exceptionnelle du cinéma d'action fin 80s. Il met en avant son expérience dont il fait encore la preuve, Richard Donner démontre un souci visuel d'aller au-delà de la simple solution d'efficacité et de distraire le public.La saga
spoiler:
continue avec le2,3,4 et bientôt le5.
2 étoiles - L'arme fatale
Mise en scène d'un autre temps ... images et bande son étonnement quelconques. A cela s'ajoute un scénario léger ... engoncé dans des stéréotypes. Il y a des scènes violentes, où la violence pour la violence l'emporte, avec un arrière fond idéologique. Cela dit, c'est un film qui accompagne très bien un temps de vaisselles ou de repassage.
Mise en scène d'un autre temps ... images et bande son étonnement quelconques. A cela s'ajoute un scénario léger ... engoncé dans des stéréotypes. Il y a des scènes violentes, où la violence pour la violence l'emporte, avec un arrière fond idéologique. Cela dit, c'est un film qui accompagne très bien un temps de vaisselles ou de repassage.
Mel Gibson, Danny Glover, Gary Busey, Mitchell Ryan, Tom Atkins, Darlene Love, Traci Wolfe. Un classique et l'un des meilleurs films d'action comédie et buddy movie de tous les temps. Gibson dans le rôle de Martin Riggs un flic non-conformiste suicidaire et franc-tireur qui s'est trompé de partenaire avec Roger Murtaugh Glover dans un grand rôle comique. Il se voit constamment rappeler son âge et le danger qu'il court a résoudre un homicide lié à la drogue de la fille d'un ami de Murtaugh. Busey qui est mémorable dans le rôle d'un mercenaire albinos M. Joshua insensible à la douleur. Il y a de grandes cascades et beaucoup de frissons grâce au barreur Richard Donner qui a également réalisé les suites (tiens je vais me le regarder pour le plaisir)...
On n'avait pas fait paire aussi mal associée que celle de Danny Glover - Mel Gibson depuis l'association Bourvil-de Funès, même si ces derniers promettaient moins de fusillades.
D'ailleurs le succès de l'Arme Fatale tient essentiellement à ce duo disparate, avec Martin Riggs le sniper dépressif et Roger Murtaugh le flic "qui a passé l'âge de ces conneries" à deux doigts de la retraite.
Leur amitié naissante et l'évolution psychologique de Martin qui retrouvera gout à la vie en étant accueilli par la famille de son coéquipier compensent un scénario basique qui, si il promet poursuites-échange de tirs-action- n'a rien de bien exceptionnel.
Pour preuve, si personne ne doit se souvenir vraisemblablement de l'intrigue, tout le monde se rappelle pourtant de ce buddy-movie peut être un peu dépassé aujourd'hui mais référence pendant pendant des années.
D'ailleurs le succès de l'Arme Fatale tient essentiellement à ce duo disparate, avec Martin Riggs le sniper dépressif et Roger Murtaugh le flic "qui a passé l'âge de ces conneries" à deux doigts de la retraite.
Leur amitié naissante et l'évolution psychologique de Martin qui retrouvera gout à la vie en étant accueilli par la famille de son coéquipier compensent un scénario basique qui, si il promet poursuites-échange de tirs-action- n'a rien de bien exceptionnel.
Pour preuve, si personne ne doit se souvenir vraisemblablement de l'intrigue, tout le monde se rappelle pourtant de ce buddy-movie peut être un peu dépassé aujourd'hui mais référence pendant pendant des années.
Un duo d'acteurs charismatique, et mythique. Une histoire banale mais d'une bonne efficacité. Par contre, les voix françaises et les bruitages une catastrophe !
Un chef d oeuvre du genre . Je l avais vu une toute première fois en VHS et toutes les autres suites en salles. C est fun et historique dans le buddy movie en créant quasiment un genre cinématographique à part . L alchimie entre tous est communicative .
Un film d'action bien digne des année 80 avec tous ce qui en fait un succès mais aussi y a tout les ingrédients des film de cette période, flics qui tire dans tous les sens , action , explosion , duo qui fait des étincelle, parfois même des passage qui font sourire malgré quelque faux raccord visible par ci par là. Un duo de flic qui ne se connaissent pas Riggs , murthaud doivent faire équipe pour enquêter sur un meurtre mais les 2 coéquipier sont très différent un st plus calme poser , réfléchi, l'autre plus bourrin, suicidaire , tête brûler. malgré tout le duo arrive à cohabiter . Une bonne histoire avec une bonne réalisation des cascade plutôt de bon niveaux. même si tous n'est pas parfait ça reste un bon film d'action.
L'intrigue policière est plutôt mince, voire anorexique, mais ce qui est intéressant ici c'est la relation entre le vieux flic (Danny Glover) et le jeune casse-cou (Mel Gibson). Ce qui est primordial c'est le sauvetage de Martin Riggs qui, ayant perdu sa femme, est devenu une vraie loque humaine et suicidaire. Chaque intervention est une occasion pour lui de se faire tuer. Sa rencontre avec Roger Murtaugh (et la famille de ce dernier) sera un véritable miracle pour lui, une façon de voir la vie sous un nouvel éclairage. Ce film est le point de départ d'une belle et franche amitié.
Difficile pour moi de remettre ce film dans son contexte, mais dans l’absolu « L’arme fatale » ne mérite pas une tonne de louanges. Si l’association entre un flic à l’esprit tordu remarquablement interprété par Mel Gibson, et un coéquipier noir proche de la retraite est une franche réussite, le scénario, lui, connaît quelques creux. La dernière demi-heure notamment aura été pour moi un peu dure à suivre, je n’ai pas trouvé l’action prenante par son manque de crédibilité. Ne comprenant pas trop l’objectif des « méchants » de l’histoire ni leurs manoeuvres, quelques lassitudes m’ont gâché le plaisir. Même si ça reste un bon divertissement, intéressant à regarder ne serait-ce que par son humour et son jeu d’acteur, ce n’est pas la folie non plus.
L’Arme fatale est souvent apparentée à une comédie policière. Pourtant, cette image due essentiellement à ses suites est assez inadaptée au premier volet de la saga. En effet, ce dernier possède un ton assez dramatique. Il suffit de voir la récurrence de la thématique du suicide pour s’en convaincre
spoiler:
: la première séquence présente une femme se jetant d’un building, le héros Martin Riggs est présenté comme suicidaire (il va même jusqu’à tenter de se tirer une balle dans la tête), le même Riggs est chargé à un moment d’empêcher un homme de se jeter d’un immeuble (rappelant au passage la séquence similaire de L’Inspecteur Harry) …
En outre, le spectre des Guerres du Vietnam et du Laos est très présent spoiler: : Riggs est devenu un expert en arme à feu au cours de celles-ci, le père de la jeune fille suicidé est un ancien compagnon d’armes de Roger Murtaugh, le gang criminel découle d’un groupuscule de la CIA formée dans ce contexte historique… Cet aspect sérieux est d’ailleurs renforcé par l’enlèvement de la fille de Murtaugh qui se retrouve désormais au centre d’une intrigue qui le touchait déjà de près
.
Nous sommes donc face à un polar assez sérieux et rondement mené par un Richard Donner savant parfaitement mettre en avant ses personnages (il est un peu moins à l’aise pour filmer les scènes d’action). En effet, c’est l’alchimie du duo formé par Martin Riggs et Roger Murtaugh qui a fait le succès du film et qui apporte l’humour nécessaire pour éviter à celui-ci de tomber dans un côté dépressif qui aurait pu le rendre sinistre. Cet aspect du scénario de Shane Black a d’ailleurs permis de lancer la mode du buddy movie (avec 48 heures) qui a fait la joie d’Hollywood à la fin des années 80 et au début des années 90. Il faut dire que Mel Gibson (qui a obtenu le rôle après que toutes les stars de l’époque aient été envisagées et qui trouve un second personnage fétiche après en avoir fini avec la saga Mad Max) et Danny Glover semblent s’en donner à cœur joie et constituent un des duos les plus marquants de l’Histoire du cinéma.
L’Arme fatale premier du nom est donc un excellent polar, sans être un chef-d’œuvre, qui est toujours aussi efficace plus de 30 ans plus tard grâce à sa réussite dans l’écriture des personnages et à son mélange entre un ton très sérieux et des petites pincées d’humour qui permettent de rendre le tout plus acceptable pour le grand public. Un modèle de buddy movie policier.
En outre, le spectre des Guerres du Vietnam et du Laos est très présent spoiler: : Riggs est devenu un expert en arme à feu au cours de celles-ci, le père de la jeune fille suicidé est un ancien compagnon d’armes de Roger Murtaugh, le gang criminel découle d’un groupuscule de la CIA formée dans ce contexte historique… Cet aspect sérieux est d’ailleurs renforcé par l’enlèvement de la fille de Murtaugh qui se retrouve désormais au centre d’une intrigue qui le touchait déjà de près
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Nous sommes donc face à un polar assez sérieux et rondement mené par un Richard Donner savant parfaitement mettre en avant ses personnages (il est un peu moins à l’aise pour filmer les scènes d’action). En effet, c’est l’alchimie du duo formé par Martin Riggs et Roger Murtaugh qui a fait le succès du film et qui apporte l’humour nécessaire pour éviter à celui-ci de tomber dans un côté dépressif qui aurait pu le rendre sinistre. Cet aspect du scénario de Shane Black a d’ailleurs permis de lancer la mode du buddy movie (avec 48 heures) qui a fait la joie d’Hollywood à la fin des années 80 et au début des années 90. Il faut dire que Mel Gibson (qui a obtenu le rôle après que toutes les stars de l’époque aient été envisagées et qui trouve un second personnage fétiche après en avoir fini avec la saga Mad Max) et Danny Glover semblent s’en donner à cœur joie et constituent un des duos les plus marquants de l’Histoire du cinéma.
L’Arme fatale premier du nom est donc un excellent polar, sans être un chef-d’œuvre, qui est toujours aussi efficace plus de 30 ans plus tard grâce à sa réussite dans l’écriture des personnages et à son mélange entre un ton très sérieux et des petites pincées d’humour qui permettent de rendre le tout plus acceptable pour le grand public. Un modèle de buddy movie policier.
AMCHI
L'Arme fatale est quand même un exemple quasi parfait du buddy-movies à l'américaine (ce n'est bien sur pas le 1er film du genre mais il demeure de nos jours encore une référence du genre) qui réunit 2 antagonismes devenant super potes en affrontant de manière très soudée des épreuves qui renforceront leur amitié.
Plus de 30 ans après ce polar d'action de Richard Donner reste très efficace et prenant, je l'avais adoré ado et la dernière fois que j'avais revu cette saga j'étais resté sur ma faim or cette fois-ci je les revois tous avec grand plaisir.
Ce premier opus est souvent considéré comme le meilleur et je dirais que c'est juste, c'est aussi le plus violent voire le plus sombre des 4 opus, on découvre les personnages assez rapidement, le scénario de Shane Black dans son genre est très bien écrit car on ne tourne pas autour du pot donc on rentre rapidement dedans.
Les personnages de Martin Riggs et Roger Murtaugh semblent avoir été crées pour Mel Gibson (rôle qu'il accepta de suite) et Danny Glover bien que plusieurs autres noms furent pressentis, les 2 acteurs ont une véritable alchimie à l'écran et rendent attachants ce duo apparemment mal assorti d'un chien fou et suicidaire et d'un flic respectable et père de famille.
L'action y assez présente avec des scènes tout à fait convenables (sauf peut-être le combat final entre Riggs et Joshua qui est mal monté), les scènes familiales coupent parfois le rythme du film mais elles font aussi parties du charme de cette saga.
Ce 1er volet comporte aussi de bons méchants avec ce duo formé du boss joué par Mitchell Ryan et de son homme de main joué avec délectation par Gary Busey.
Ce type de cinéma a été souvent imité et disparaît peu à peu, L'Arme fatale n'a rien révolutionné toutefois c'est du divertissement ricain de bonne qualité.
Plus de 30 ans après ce polar d'action de Richard Donner reste très efficace et prenant, je l'avais adoré ado et la dernière fois que j'avais revu cette saga j'étais resté sur ma faim or cette fois-ci je les revois tous avec grand plaisir.
Ce premier opus est souvent considéré comme le meilleur et je dirais que c'est juste, c'est aussi le plus violent voire le plus sombre des 4 opus, on découvre les personnages assez rapidement, le scénario de Shane Black dans son genre est très bien écrit car on ne tourne pas autour du pot donc on rentre rapidement dedans.
Les personnages de Martin Riggs et Roger Murtaugh semblent avoir été crées pour Mel Gibson (rôle qu'il accepta de suite) et Danny Glover bien que plusieurs autres noms furent pressentis, les 2 acteurs ont une véritable alchimie à l'écran et rendent attachants ce duo apparemment mal assorti d'un chien fou et suicidaire et d'un flic respectable et père de famille.
L'action y assez présente avec des scènes tout à fait convenables (sauf peut-être le combat final entre Riggs et Joshua qui est mal monté), les scènes familiales coupent parfois le rythme du film mais elles font aussi parties du charme de cette saga.
Ce 1er volet comporte aussi de bons méchants avec ce duo formé du boss joué par Mitchell Ryan et de son homme de main joué avec délectation par Gary Busey.
Ce type de cinéma a été souvent imité et disparaît peu à peu, L'Arme fatale n'a rien révolutionné toutefois c'est du divertissement ricain de bonne qualité.
Ce film d’action policier est vraiment très bien. C’est la première fois que je le voyais et ça se voit qu’il a inspiré des films comme BAD BOYS. Une chose est sûre, ça envoie. C’est véritablement un duo de feu qu’on a avec Mel Gibson et Danny Glover. Je comprends mieux pourquoi ce film est un classique et notamment sa réplique « J'ai passé l'âge de ces conneries ». Les deux ont un tempérament explosif. J’ai été particulièrement impressionné par Mel Gibson. J’adore son personnage et sa folie. Danny Glover est plus dans le calme et la réplique cinglante. Ils se complètent parfaitement. Les parties actions sont géniales. C’est dynamique et on ne s’ennuie pas. J’étais juste un peu déçu du déroulement de la fin qui patine un peu en comparaison au déroulé fluide du reste. Surtout que l’enquête policière n’est pas mal du tout. Il y a de bonnes ficelles. Au-delà de tout ça, il y aussi une bonne dose d’humour. Les deux flics aiment se chamailler. Beaucoup de moments m’ont bien fait rire. J’aime ces passages de légèreté pour encore mieux appuyer les passages plus sérieux. On passe agréablement de l’un à l’autre. Cela donne un état d’esprit global super.
Un polar culte et toujours efficace, mélange d'action et d'humour, porté par un duo Gibson/Glover qui fonctionne à merveille.
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