Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Une expérience de cinéma totalement spirituelle et philosophique qui convoque tous les sens du spectateur. Proprement envoûtant et d’une prodigieuse intelligence.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Symptôme probable d'un certain formatage mondial du cinéma : il est de plus en plus agréable de se retrouver devant un film dont on aurait beaucoup de mal à déterminer d'où il est sorti pour arriver parmi nous, et de quelle époque il date.
L'Obs
par François Forestier
Soit on accepte son parti pris d’irréalité et on se laisse aller à la poésie de l’auteur, soit on est réfractaire et on s’en va. Pas de milieu possible.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Mathieu Macheret
L’Arbre, qui aurait pu verser dans le misérabilisme du sujet ou la morgue formaliste, échappe à l’un et à l’autre en rejoignant le territoire du conte. S’ouvrant sur l’image songeuse d’un enfant qui dessine sur la buée d’une vitre face à un village enneigé, il semble tout entier échappé d’un rêve.
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Par la radicalité de ses choix, cette expérience sensorielle sur la guerre fascine autant qu’elle inquiète.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Yann Tobin
Mais l’auteur, si doué soit-il, a tout simplement omis de se mettre à la place d’un spectateur de cinéma. Bref, voici un objet d’analyse idéal pour étudiants de licence, un candidat rêvé pour festivals pointus et pour critiques qui ne jurent que par Lisandro Alonso (pourquoi pas ?). Pour tous les autres, la projection de L’Arbre peut s’avérer une épreuve aussi pénible et laborieuse que le métier de son super-héros.
Première
par Thierry Chèze
Voici les trois temps d’un récit tout entier contenu dans ces trois phrases et qui ne se donne pas facilement. Il exige attention et patience dans son entame pour s’y glisser. Mais une fois embarqué dans son rythme lancinant, ce film bâti en six plans emporte par sa sensorialité visuelle et sonore (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Hélène Marzolf
La réalisation fait la part belle à la nature, à des plans fixes, dans lesquels l’homme s’insère, puis disparaît. On peut trouver le résultat hypnotique, ou rester extérieur à cette ode radicale à la lenteur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
Une expérience de cinéma totalement spirituelle et philosophique qui convoque tous les sens du spectateur. Proprement envoûtant et d’une prodigieuse intelligence.
Cahiers du Cinéma
Symptôme probable d'un certain formatage mondial du cinéma : il est de plus en plus agréable de se retrouver devant un film dont on aurait beaucoup de mal à déterminer d'où il est sorti pour arriver parmi nous, et de quelle époque il date.
L'Obs
Soit on accepte son parti pris d’irréalité et on se laisse aller à la poésie de l’auteur, soit on est réfractaire et on s’en va. Pas de milieu possible.
Le Monde
L’Arbre, qui aurait pu verser dans le misérabilisme du sujet ou la morgue formaliste, échappe à l’un et à l’autre en rejoignant le territoire du conte. S’ouvrant sur l’image songeuse d’un enfant qui dessine sur la buée d’une vitre face à un village enneigé, il semble tout entier échappé d’un rêve.
Les Fiches du Cinéma
Par la radicalité de ses choix, cette expérience sensorielle sur la guerre fascine autant qu’elle inquiète.
Positif
Mais l’auteur, si doué soit-il, a tout simplement omis de se mettre à la place d’un spectateur de cinéma. Bref, voici un objet d’analyse idéal pour étudiants de licence, un candidat rêvé pour festivals pointus et pour critiques qui ne jurent que par Lisandro Alonso (pourquoi pas ?). Pour tous les autres, la projection de L’Arbre peut s’avérer une épreuve aussi pénible et laborieuse que le métier de son super-héros.
Première
Voici les trois temps d’un récit tout entier contenu dans ces trois phrases et qui ne se donne pas facilement. Il exige attention et patience dans son entame pour s’y glisser. Mais une fois embarqué dans son rythme lancinant, ce film bâti en six plans emporte par sa sensorialité visuelle et sonore (...).
Télérama
La réalisation fait la part belle à la nature, à des plans fixes, dans lesquels l’homme s’insère, puis disparaît. On peut trouver le résultat hypnotique, ou rester extérieur à cette ode radicale à la lenteur.