Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Libération
par Jérémy Piette
"Face au vent" est à la fois aérien et pesant - profondément vivant, donc.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Baptiste Roux
Chronique d'un hiver ponctué par les "travaux et les jours" de la vie agricole et les chorégraphies improvisées "face au vent", l'oeuvre sait, avec une belle pudeur, recomposer par affleurement une histoire, en sceller la clôture et laisser advenir ses prolongements.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Certes, le rapport de cette femme à son art frise parfois l’orgueil, et l’agacement du spectateur n’est pas loin, pour autant, on saluera une esthétique du cinéma novatrice et adaptée à l’hommage qui est fait à l’immense Pina Bausch.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
La vraie force ici, c’est l’économie de paroles, les images brutes, désordonnées (...) Ces indéniables qualités esthétiques suppléent à l’évanescence du récit.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un film d’ombres et de lumières saisissant comme un tableau du Caravage.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La Rédaction
Un beau film sur les relations familiales compliquées qui pèche par son excès de détails et de retenue.
Télérama
par Nicolas Didier
Avec minutie, la cinéaste enregistre ce qui subsiste de vie à la ferme (récolte de patates, coupe de bois), répertoriant les objets qui peuvent être recyclés (un vélo) et ceux qui appartiennent irrémédiablement au passé (des sabots).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un film sauvé par une mise en scène énergique qui surligne un peu la psychologie de l’héroïne, mais offre au film une sensualité corrosive.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
Ici, l’âpreté a pour contrepartie l’extrême simplicité de l’argument, qui confine souvent à la banalité.
Première
par Christophe Narbonne
Cette pudeur affichée, cette retenue, finissent par se retourner contre le film qui tire rapidement à la ligne. Il aurait gagné à être beaucoup plus resserré et à nous épargner notamment les sempiternelles scènes de danse libératrices.
La critique complète est disponible sur le site Première
Libération
"Face au vent" est à la fois aérien et pesant - profondément vivant, donc.
Positif
Chronique d'un hiver ponctué par les "travaux et les jours" de la vie agricole et les chorégraphies improvisées "face au vent", l'oeuvre sait, avec une belle pudeur, recomposer par affleurement une histoire, en sceller la clôture et laisser advenir ses prolongements.
aVoir-aLire.com
Certes, le rapport de cette femme à son art frise parfois l’orgueil, et l’agacement du spectateur n’est pas loin, pour autant, on saluera une esthétique du cinéma novatrice et adaptée à l’hommage qui est fait à l’immense Pina Bausch.
L'Humanité
La vraie force ici, c’est l’économie de paroles, les images brutes, désordonnées (...) Ces indéniables qualités esthétiques suppléent à l’évanescence du récit.
Les Fiches du Cinéma
Un film d’ombres et de lumières saisissant comme un tableau du Caravage.
Ouest France
Un beau film sur les relations familiales compliquées qui pèche par son excès de détails et de retenue.
Télérama
Avec minutie, la cinéaste enregistre ce qui subsiste de vie à la ferme (récolte de patates, coupe de bois), répertoriant les objets qui peuvent être recyclés (un vélo) et ceux qui appartiennent irrémédiablement au passé (des sabots).
L'Obs
Un film sauvé par une mise en scène énergique qui surligne un peu la psychologie de l’héroïne, mais offre au film une sensualité corrosive.
Le Monde
Ici, l’âpreté a pour contrepartie l’extrême simplicité de l’argument, qui confine souvent à la banalité.
Première
Cette pudeur affichée, cette retenue, finissent par se retourner contre le film qui tire rapidement à la ligne. Il aurait gagné à être beaucoup plus resserré et à nous épargner notamment les sempiternelles scènes de danse libératrices.