Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Les frères Damiano et Fabio D’Innocenzo, réalisateurs jumeaux, signent un film sobre, dur et prometteur sur un milieu qui a baigné leur enfance.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Non sans évoquer les codes et les motifs du néoréalisme, ce premier long métrage, soigné et maîtrisé, privilégie la retenue au spectaculaire.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Marius Chapuis
"Frères de sang" est d’abord un regard fougueux sur la culpabilité. Comment elle tue comme un agent corrosif, brisant une fratrie jusqu’à l’incompréhension, détruisant de l’intérieur pour ne laisser qu’une coquille, l’apparence de ce qu’on a été.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Un film noir intense porté par deux comédiens exceptionnels.
Télérama
par Frédéric Strauss
Au réalisme très convaincant du film s’ajoute une mélancolie poignante : il s’agit de la jeunesse qui s’efface, de l’adieu à la vie normale, à la vie tout court. Intense.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Antoine Le Fur
S'il est vrai que le scénario n'est pas d'une originalité folle et qu'il se révèle finalement assez prévisible, l'ambiance et l'esthétique de "Frères de sang" n'en finissent pas d'envoûter le spectateur.
L'Obs
par François Forestier
C'est court, précis, tragique : du cinéma sec, qui manifeste la découverte de nouveaux talents. Une nouvelle vague italienne ?
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le sordide de l’histoire tiendrait de la farce noire s’il ne nourrissait un réalisme tragique.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Un long-métrage attachant, plein d’idées et porté par la révélation d’un jeune talent brut, Matteo Olivetti.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Ce récit d’apprentissage sur la perte de l’innocence et la corruption de la jeunesse séduit par sa mise en scène qui joue la carte de l’immersion, ce qui compense une intrigue sans surprise.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Fondant leur récit initiatique aux images sépia d'un film de gangsters néoréaliste, les réalisateurs finissent eux aussi par foncer à toute allure dans cet univers de bonhommes, abandonnant sur la route la relation intense des deux amis.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Fabien Baumann
[...] on ne perçoit jamais la détresse d'une génération mais uniquement les minauderies de deux réalisateurs débutants qui s'escriment à filmer la vingt-troisième resucée de "Gomorra" depuis dix ans.
20 Minutes
Les frères Damiano et Fabio D’Innocenzo, réalisateurs jumeaux, signent un film sobre, dur et prometteur sur un milieu qui a baigné leur enfance.
Les Fiches du Cinéma
Non sans évoquer les codes et les motifs du néoréalisme, ce premier long métrage, soigné et maîtrisé, privilégie la retenue au spectaculaire.
Libération
"Frères de sang" est d’abord un regard fougueux sur la culpabilité. Comment elle tue comme un agent corrosif, brisant une fratrie jusqu’à l’incompréhension, détruisant de l’intérieur pour ne laisser qu’une coquille, l’apparence de ce qu’on a été.
Ouest France
Un film noir intense porté par deux comédiens exceptionnels.
Télérama
Au réalisme très convaincant du film s’ajoute une mélancolie poignante : il s’agit de la jeunesse qui s’efface, de l’adieu à la vie normale, à la vie tout court. Intense.
L'Express
S'il est vrai que le scénario n'est pas d'une originalité folle et qu'il se révèle finalement assez prévisible, l'ambiance et l'esthétique de "Frères de sang" n'en finissent pas d'envoûter le spectateur.
L'Obs
C'est court, précis, tragique : du cinéma sec, qui manifeste la découverte de nouveaux talents. Une nouvelle vague italienne ?
Le Monde
Le sordide de l’histoire tiendrait de la farce noire s’il ne nourrissait un réalisme tragique.
Paris Match
Un long-métrage attachant, plein d’idées et porté par la révélation d’un jeune talent brut, Matteo Olivetti.
Le Journal du Dimanche
Ce récit d’apprentissage sur la perte de l’innocence et la corruption de la jeunesse séduit par sa mise en scène qui joue la carte de l’immersion, ce qui compense une intrigue sans surprise.
Les Inrockuptibles
Fondant leur récit initiatique aux images sépia d'un film de gangsters néoréaliste, les réalisateurs finissent eux aussi par foncer à toute allure dans cet univers de bonhommes, abandonnant sur la route la relation intense des deux amis.
Positif
[...] on ne perçoit jamais la détresse d'une génération mais uniquement les minauderies de deux réalisateurs débutants qui s'escriment à filmer la vingt-troisième resucée de "Gomorra" depuis dix ans.