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    The Lighthouse
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    266 critiques spectateurs

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    Melvin Heurtebise
    Melvin Heurtebise

    3 abonnés 55 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 février 2020
    J'ai envie de lui donner le titre de chef d'œuvre mais je pense que j'ai besoin de retourner le voir. Rectification après le deuxième visionnage et une recherche approfondie je lui désert le titre de chef d'oeuvre absolu ! MON FILM PRÉFÉRÉE DE 2019! Une pure merveille.

    En tout cas ce que je peux affirmer à l'heure actuelle c'est que Robert Pattinson et Willem Defoe sont dantesque dans leurs rôles ! Les dialogues sont merveilleux, on dirait la finale de Wimbledon 2008 ça se rend coup pour coup!

    Certains plans sont magnifiques, on sent la folie s'emparer de Pattinson au fur et à mesure du film et on sent la solitude chez les deux protagonistes ne formant qu'une seule et même personne! Il y a un petit côté Freddie Mercury dans le film aussi notamment si on observe la forme phallique du phare niark...

    La bande son est génial aussi et attise l'angoisse de ce lieu sordide. Je pense aller le revoir pour saisir les subtilités du scénario en tout cas un conseil ce fut une belle découverte !
    Fabien D
    Fabien D

    183 abonnés 1 141 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 décembre 2019
    Sur le plan esthétique, the lighthouse est une merveille. Le noir et blanc somptueux, le cadrage expressionniste, le travail sur le son et la lumière : tout est magnifique à l'écran. Quant aux acteurs Robert Pattinson et Willem Dafoe, ils livres, aux confins de la folie, des performances incroyable. Or le film peine à sortir du simple exercice de style. Long à démarrer, redondant et au final, un peu vain, le film n'en demeure pas moins un bel objet visuel dans lequel les références mythologiques se mêlent parfaitement aux citations de Melville. Intéressant à défaut d'être un grand film métaphysique.
    Astrid R
    Astrid R

    22 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 décembre 2019
    Huis clos porté par deux acteurs incroyables!

    A mi chemin entre le conte et la plongée dans une folie progressive, on est projeté dans une ambiance très particulière d'un rare esthétisme.

    Les dialogues comme la musique sont impressionnants.

    Plusieurs interprétations ou niveaux de lectures sont possibles. A voir et à revoir !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 décembre 2019
    Juste excellent, film anti commercial qui laisse une grosse sensation de malaise. Allez le voir. C’est bon de voir que de superbes films d’horreur psychologique sont encore faits aujourd’hui
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 22 décembre 2019
    Perdu entre les phares que sont shining, shutter Island, La bête humaine et la tragédie grecque le film se perd, nous perd, et la direction artistique somptueuse parvient péniblement à nous sortir de l'ennui de ce naufrage
    Gilles C
    Gilles C

    1 abonné 8 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 décembre 2019
    Autant j'avais apprécié "The Witch", ici c'est différent. Un huit clos, du noir et blanc, un phare, l'idée de départ est intéressante. Après, faut s'accrocher ... ça parle beaucoup, ça picole, ça hallucine. Pas de scénario à proprement parler, plus une expérience visuelle et sensorielle au final. La fin, j'ai rien compris.
    lionelb30
    lionelb30

    446 abonnés 2 608 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 décembre 2019
    Passé l'ambiance singulière du début et la photos en noir et blanc pouvant donner du relief a l'histoire , la déception arrive vite. Le son trop fort et insupportable et ce huis clos pas crédible devient même ennuyeux. Reste quand même quelques scènes marquante.
    Tumtumtree
    Tumtumtree

    174 abonnés 534 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 décembre 2019
    The Lighthouse est un film radical. Dès les premiers plans, on sent bien qu'on s'engage dans un Eraserhead maritime et poisseux. Le format carré, couplé à un superbe noir et blanc, évoque la photographie des pionniers du XIXe siècle, mais aussi le fameux film polonais Ida. Comme attendu, le récit nous embarque dans le quotidien de deux gardiens de phare : le plus vieux est une épave de la vie surjouant une autorité totalitaire, son second est plus digne mais habité de secrets et de haine rentrée. Les pets, l'eau des chiottes, la crasse, la masturbation, les beuveries : rien ne nous est épargné. Rapidement, réel et imaginaire fusionnent, de sorte qu'on ne sait absolument plus où est la limite entre les deux. Souhaitant faire exploser tous les cadres, le cinéaste entraîne le spectateur dans les extrémités les plus glauques en un crescendo sans pause. L'irréalisme assumé nous coupe cependant d'une quelconque empathie pour les personnages, et le huis-clos devient creux et asphyxiant. Reconnaissons tout de même la performance hors normes des deux comédiens dont l'un déclame un texte épique tout en se faisant littéralement enterrer. On n'avait pas vu une telle mise à l'épreuve depuis Apocalypse pour un massacre. Bref, un film pour ceux qui aiment les expériences cinématographiques extrêmes.
    frederic M.
    frederic M.

    13 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 décembre 2019
    Le vent, la pluie, la foudre, les éclairs et le tonnerre de Zeus frappent sans relâche les personnages de ce huis-clos en proie à une lutte sado masochiste à l’homosexualité latente.
    Ici, la folie, la crasse, la puanteur dans un vacarme incessant et oppressant, une tragédie empreinte de Mythologie grecque, des tableaux sublimes en noir et blanc, des dialogues Shakespeariens.
    Tout est surprenant dans ce chef d’oeuvres, le format, la couleur, la photo, la mise en scène dramatique où l’hédonisme et l’onanisme surprennent tour à tour et l’on se demande où les protagonistes nous entrainent et ce que l’on est en train de voir.
    Un cinéma d’art et d’essais des années 70.
    Sûrement pas un blockbuster, mais sans doute Brecht ne le démentirait pas; une œuvre d’art totalement à part…
    FM
    Ufuk K
    Ufuk K

    523 abonnés 1 488 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 décembre 2019
    " the lighthouse" présente cette année au festival de Cannes ne m'a pas convaincu. En effet en dépit de quelques images très forte surtout sur la fin du film, la présence de Robert Pattinson et Willem Dafoe et une ambiance assez angoissante, j'ai trouvé le scénario très brouillon, je ne qualifie pas ce film de film d'horreur il ne se passe quasiment rien. Décidément j'ai du mal avec ce réalisateur qui m'avait déjà déçu avec son précédent film " the witch".
    Dens
    Dens

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 décembre 2019
    Huis clos filmé en noir et blanc au format 4/3. Succession de scènes incohérentes, rien à retenir, je ne pense pas avoir déjà vu un film aussi mauvais. 2 heures de perdues.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 357 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 décembre 2019
    C’est compliqué.
    C’est compliqué parce que je ne sais pas comment trancher.
    Mais c’est peut-être un bon début ça.
    C’est peut-être même dire l’essentiel que de dire cela.
    « The Lighthouse » est un film pour lequel je n’arrive pas à avoir un avis – un ressenti – tranché. C’est un film qui se débat dans mon esprit, à moins que ce ne soit l’inverse.
    « The Lighthouse » n’est clairement pas une nature morte que je peux rouler dans n’importe quel tiroir de mon hippocampe.
    Non. « The Lighthouse » est vivant.
    Il séduit et dérange à la fois, comme une sirène qui frétille et qui hurle.

    Première évidence.
    « The Lighthouse » est beau.
    Beau pour les sens.

    Format carré. Cadres fixes. Noir et blanc.
    Robert Eggers nous renvoie par ces choix vers un cinéma d’antan et d’ailleurs.
    Un cinéma qu’il intemporalise et réactualise par une lumière sublime et des plans sans cesse travaillés. On se croirait soudain de retour dans le cinéma de Sergei Eisenstein. Avec ces visages éprouvés dont la subtile lumière fait ressortir toute l’usure de peau. Avec ces corps qu’on contorsionne dans un cadre si restreint, comme des travailleurs qu’on aliène.
    Ces sons… Enivrants… Entêtants… Dérangeants…
    L’expérience sensorielle est totale. Et comme une sirène qui attire par sa beauté mais déchire par ses chants stridents, « The Lighthouse » a tout pour charmer les amoureux d’un cinéma sensitif. Au risque de le broyer.

    Car – et c’est toute son ambivalence– ce « Lighthouse » séduit autant qu’il malmène.
    Routine. Impasse. Verbes creux. Tout est au service d’un emprisonnement des personnages qu’on cherche à s’étendre jusqu’au spectateur. L’épreuve est voulue et elle est parfois rude.
    Le principal ennemi devient le temps. De mon côté j’ai pas mal regardé ma montre. Ça n’avançait pas. Ça s’avançait plus…
    J’ai très vite eu l’impression que le film n’avait plus rien à dire et qu’il me fallait espérer une fin rapide.

    Mais j’ai malgré tout découvert un intérêt dans cette douleur.
    Un peu comme le personnage de Winslow, on est invité à ne plus résister. A sombrer.
    Après tout il y a quelque-chose de très séduisant à se laisser-aller dans ce film. Il y a toujours quelque-chose de beau à l’écran qui mérite qu’on s’y attarde. Et puis il y a cette sirène entêtante qui finit par nous faire perdre la boule.

    Accroché à la somptueuse richesse formelle de ce film et à la luminescence de Willem Dafoe (exceptionnel), j’ai accepté de sombrer.
    Sensation troublante. Plaisante. Flippante.
    Sur le final je me suis même mis à décoller.
    Combien de films m’ont fait ça ? Bien peu. J’avais l’impression de revivre une expérience digne d’« Eraserhead ».
    Et puis en fin de compte, la retombée.
    La frustration.

    Un plan final et une question.
    Tout ça pour quoi ? Pour aller vers où ? N’y avait-il pas plus intéressant à faire que conclure sur cette impasse sans relief ? Sans ouverture.
    Et c’est là que m’est soudainement revenu un souvenir. Celui de « The Witch » du même Robert Eggers. Un film très beau lui aussi. Un film d’atmosphère. Mais un film peinait à raconter quelque-chose...
    En cela, le cadet surpasse l’ainé puisque la folie, mise en cœur de ce dispositif, fait du fond la forme et vice-versa. Un résultat bien supérieur à cette exploration de l’esprit bigot sous feu d’intrigue anesthésiée que fut « The Witch ».

    Néanmoins la fin de ce « The Lighthouse » rappelle ce qu’est au fond le cinéma de Robert Eggers. Un cinéma des sens. Mais un cinéma qui a du mal à dépasser cette seule dimension.
    Pour certains, cela sera amplement suffisant. Et tant mieux pour eux.
    Pour d’autres, comme moi, l’idée d’un manque va laisser une terrible sensation de frustration.
    On pourra dire que chercher à dire des choses à travers cette expérience des sens, ce serait abimer l’œuvre. Peut-être ont-ils raison. Mais moi je ne suis pas convaincu.
    Je ne peux m’empêcher d’avoir cette impression d’avoir vu un chef d’œuvre amputé de quelque-chose de majeur.
    Mais de cela, moi-même je n’arrive même pas à m’en convaincre pleinement.

    Peut-être ai-je besoin de laisser vivre ce film en moi encore un peu.
    Peut-être que dans quelques mois ou quelques années, mon discours aura considérablement changé, criant au chef d’œuvre.
    Alors laissons vivre ce « The Lighthouse ».
    Laissons vivre ce beau cinéma…
    Et sombrons tant que c’est bon…

    Mais bon… Après ça ne reste que mon point de vue. Donc si vous n’êtes pas d’accord et que vous voulez qu’on en discute, n’hésitez pas et venez me retrouver sur lhommegrenouille.over-blog.com. Parce que le débat, moi j’aime ça… ;-)
    FaRem
    FaRem

    8 812 abonnés 9 648 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 décembre 2019
    Les phares n'ont apparemment jamais eu autant la côte puisque je n'ai jamais vu autant de films se déroulant dans ce lieu isolé. Après avoir vu un film romantique, fantastique, de peur et un thriller, ce sera difficile pour moi de placer ce film dans une seule catégorie tant il est étrange. Réalisé par Robert Eggers à qui l'on doit le très bon "The Witch", je n’en attendais pas moins. Pour faire une petite comparaison avec le précédent film, celui-ci est plus abstrait et ressemble très souvent à un exercice de style. Le film est également moins pesant en terme d'ambiance et de tension même s'il y a des moments bien pesants qui se font malheureusement trop rares. Tantôt fascinant, tantôt un peu ennuyeux, "The Lighthouse" est un film qui intrigue de par son atmosphère et son histoire qui mêle fantasmes et réalité. On peut y voir des références et des symboles, mais un deuxième visionnage est probablement nécessaire pour tout comprendre. Je peux dire la même chose des dialogues, car ayant vu le film en VO, j'ai laissé passer certaines choses à cause de la façon de parler du personnage de Willem Dafoe. Ce n'est ni une critique ni un reproche, car ça fait entièrement partie de la personnalité du personnage. Ce dernier et Robert Pattinson sont d'ailleurs très convaincants. Si l'histoire ne m'a pas plus branché que ça, j'ai vraiment apprécié l'ambiance fantasmagorique et l'esthétique du film avec ce superbe noir et blanc. Ce qui manque, c'est un peu plus de consistance au niveau de l'histoire. J'ai préféré "The Witch" qui est bien plus prenant et efficace, mais "The Lighthouse" est quand même pas mal.
    Cinévore24
    Cinévore24

    349 abonnés 718 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 décembre 2019
    Une oeuvre à l'esthétique hallucinatoire et fantasmagorique, avec un soin tout particulier apporté au son.
    Un objet filmique, hypnotique et déstabilisant, sur l'ennui, la solitude et le basculement progressif vers la folie.
    Un vrai duo de cinéma, laissé à l'abandon et en quête d'une lumière dans l'obscurité.
    Paulino
    Paulino

    2 abonnés 34 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 janvier 2020
    The lighthouse vu aujourd'hui super film d'horreur noir et blanc, les acteurs sont excellent, très bien réaliser.le meilleur film d'horreur 2019. Ce film d'horreur restera dans mon cœur
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