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    The Lighthouse
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    3,5
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    266 critiques spectateurs

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    eldarkstone
    eldarkstone

    229 abonnés 2 094 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 27 décembre 2019
    D'un ennui total, avec une histoire sans queue ni tête ... seule l'interpretation des acteurs assez bonne vaut le coup dans ce très mauvais film.
    Aurore E
    Aurore E

    1 abonné 8 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 31 janvier 2020
    Le synopsis m'avait inspiré mais j'ai vite regretté. Il se passe rien, le film le plus long et ennuyeux de tte ma vie. C'est redondant, que des beuveries et de la crasse ! Je déconseille fortement.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 29 janvier 2020
    William Dafoe et Robert Pattinson sauvent un peu l'honneur.
    Perso le film est long, trop long et se dirige à grand pas vers la folie dans le seul but de vouloir en faire trop, ça en devient lassant et donne une saveur de "je me la pète grave derrière ma caméra".
    S'en est dérangeant voir écurant par moment.
    j'ai tenu jusqu'au bout non sans difficulté. Le film n'en est pas moins mauvais mais pas vraiment d'intérêt à souffrir pendant deux heures. Il n'a rien d'un chef d'oeuvre, la mise en scène est anecdotique, la photographie très mauvaise, le format 4/3 inutile, seul le jeu d'acteur est bon, excellent même. Mais vraiment rien à faire ce film ne raconte rien et est prétentieux.
    Ernesto D.
    Ernesto D.

    13 abonnés 60 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 décembre 2019
    Film métaphysique dans un décor expressionniste d'Epstein ou , plus encore , du cinéma de Fritz Lang . Huis clos suffoquant ( on flirt avec les codes de l'horreur ) dans un noir et blanc poisseux mais artistiquement sublime . Dafoe et Pattinson livrent une performance fantastique ( au sens propre comme au figuré ) , un face à face hallucinant , dans un décor carcéral où le spectateur est pris en otage sans possibilité de sortie de secours : impossible d'échapper à cet affrontement infernal avant la fin du film . Le réalisateur ne nous laisse pas souffler une seconde , même les moments de relâchement ( les scènes sympathiques de beuveries ) et d'apparentes réconciliations entre les 2 hommes ( des fous rires complices ) sonnent faux et ne sont que des sas provisoires et temporaires de décompression pour le spectateur .
    A mesure que les 2 hommes perdent la raison ( jusqu'au délire final ) le film devient protéiforme , aux interprétations incertaines: réflexion sur la folie ou dénonciation de la subordination humaine ?
    Personnellement j'y ai vu un combat acharné entre 2 monstres dont on sait d'avance que personne n'en réchappera .
    La mise en scène austère sur fond sonore strident ( le bruit quasi-permanent des cornes de brume en fond musical angoissant tel un monstre tapis dans l'ombre rajoute au climat surréaliste du film ) , les cadrages serrés , le fracas du vent et le bruit grondant de l'océan donnent au film une dimension fantastique et inquiétante....pour notre plus grand plaisir .
    Pauline G.
    Pauline G.

    40 abonnés 561 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 février 2020
    Au cinéma comme lorsque je me confronte à n'importe quel autre forme d'art, je cherche à être bousculée, à repousser les limites de mon regard grâce au regard que d'autres posent sur notre monde et les phénomènes qui le composent. The Lighthouse remplit tout à fait ce rôle à mes yeux : le scénario, le parti pris esthétique, la qualité des personnages et des acteurs qui les incarnent. Tout y est. Je n'en dirai pas plus, à vous de découvrir les émotions qu'il suscitera chez vous.
    Kénan H
    Kénan H

    13 abonnés 91 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 janvier 2020
    L'histoire du film est très simple on assiste à deux gardiens de phare qui font des corvée, et au fur et à mesure du film on assiste à la folie, et aux hallucinations de ses personnages.

    Déjà les acteurs sont excellents, on ne peux pas
    nier que Pattinson est un très bon acteur, et Dafoe est incroyable.
    L'idée de base du film est très bonne, et la réalisation et le format d'image nous entraîne, dans ce rocher, et qu'est ce que c'est magnifiquement bien filmé .

    Un film, qui est très bons dans son ambiance, son atmosphère, et son image, mais malheureusement son côté épouvante aurait pu être plus pousser, et la fin me déçu.
    Barroul
    Barroul

    11 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 septembre 2020
    Ce film est incroyable. Les images, le son, les acteurs... que dire de plus. Ce film restera gravé dans les mémoires.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 24 décembre 2019
    A part le noir et blanc qui donne une certaine ambiance, ce film est d'un creux intersidérale!!
    Ni queue ni tête, lent, aucun suspens.
    NE PAS voir.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 24 mai 2019
    Robert Pattinson est également devenu l’un des acteurs les plus remarquables de sa génération, le plus fascinants dans son choix de rôle expérimental. "The Lighthouse" fera enfin taire les Pattinson Haters (s’ils regardent mêmeson film). Mais ce n’est pas la seule force de cette descente amoureuse dans la folie.

    Maine dans les années 1890: Thomas Wake ( Willem Dafoe ), gardien de phare expérimenté, et son assistant, Ephraim Winslow ( Robert Pattinson)) commencent leur quart de travail de quatre semaines sur une petite île au large de la côte. Bien que le manuel stipule en fait que les deux équipes doivent alterner dans les équipes, le vieux marin ne laisse pas son jeune collègue se mettre au sommet de la tour. Au lieu de cela, Ephraim doit faire toutes sortes de travaux de bas niveau. Les tensions entre hommes augmentent, mais sont également interrompues par des moments d'intimité profonde (surtout lorsque l'alcool coule à flot). Lorsque les quatre semaines sont enfin terminées, une violente tempête s'installe, empêchant de quitter l'île. Peut-être même pendant des semaines et des mois ...

    Robert Eggers a écrit le scénario de "The Lighthouse" à l'origine uniquement parce que c'était avec son projet de coeur " The Witch""Juste ne pas aller de l'avant. Avec la limite sur une petite île, qui non seulement perd la réalité des deux gardiens de phares gallois bloqués à partir de 1801, mais construit aussi toutes sortes d’autres mythes et légendes, il calcula en revanche de meilleures chances, car si il est nécessaire, avec moins d'argent il pourrait être réalisé. Mais ensuite, comme vous le savez, tout se passa très différemment: "The Witch" était toujours filmé et devint non seulement le chouchou de la critique , mais aussi un succès au box-office (plus de 40 millions de dollars de recettes avec seulement quatre millions de dollars).

    et pourtant Eggers est revenu une fois à son ancien projet d’urgence. Cependant, "The Lighthouse" n’aurait guère eu l’air si il avait été réalisé il ya quelques années comme un débuts (sans parler du casting de deux stars de Hollywood). Eggers profite pleinement de sa liberté (financière) acquise entre-temps pour ne pas avoir à faire de compromis sur la mise en œuvre de sa vision artistique radicale. Le récit qu'il crée à partir des mythes pris et traqués par le mélangeur surréaliste est quelque chose de tout à fait propre, cauchemardesque. Et en termes de mise en scène, l'horreur gothique tombe même littéralement du cadre (hollywoodien):

    Dans le format quasi-carré 1,19: 1, vous ressentez l'étroitesse de la situation avant même que les deux gardes n'arrivent sur l'île Le format inhabituel utilise également pour le laisser plus tard "reporté" par son protagoniste, on peut attendre dans "Le Phare" pendant des moments aussi longs. Le film commence déjà déprimant et laisse la menace se poursuivre jusqu'à ce que le générique final continue à grossir. Si la proue du bateau dans l’un des premiers aménagements fend la mer déchaînée, on se croirait directement dans un poème épique silencieux - certes restauré - terriblement restauré, incluant le pathos rustique. Mais ce n’est pas étonnant, car il a été tourné sur du vieux matériel 35 mm noir et blanc avec des objectifs antiques des années 1930. Un tel effort peut être prétentieux, mégalomane ou même monstrueux à l’époque de la photographie numérique moderne. Mais il paye:

    Roma "aux images en noir et blanc les plus marquantes que nous ayons vues depuis longtemps.

    Scènes difficiles pour les amoureux des animaux

    Alors que Robert Pattinson, avec une moustache sauvage et un visage émacié, bat encore et encore un goéland (et son image de star adolescente) sur un rocher jusqu’à ce qu’il n’ait plus qu’une souche boueuse entre ses mains ensanglantées, Willem Dafoe joue ( " Van Gogh - Sur le seuil de l'éternité") Avec ses tirades dominatrices constamment contre son charme noueux naturel.

    Cependant, le duo n'invite pas plus intensément l'atmosphère déjà menaçante. Les deux font également contrepoids aux images surréalistes comme une horreur avec un humour inattendu (bien que convenablement noir). Donc, Dafoe joue avec Thomas dans l’une des scènes les plus remarquables (et particulièrement amusantes) du film, car Ephraim a juste calculé que ses compétences en cuisine ne suffisaient pas à être appréhendées. Mais qui après des débuts célèbres comme "The Witch" est un second personnage visuellement (sinon nécessairement thématique) encore plus enivrant comme "The Lighthouse", riez bien ...

    Conclusion: Un film fantastique photographié et formidable joué la descente dans la folie. Non seulement pour les fans de "The Witch" et les monstres mythiques de HP Lovecraft, mais aussi pour tous les amis du cinéma d’horreur aussi ambitieux que esthétique.
    Michèle G
    Michèle G

    44 abonnés 26 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 décembre 2019
    Robert Eggers... Un nouveau maître du genre fantastique. À donner à ce huis clos en noir et blanc une incontestable force déconcertante. Un monde dans lequel le corps "pelliculaire" devient à part entière un personnage qui absorbe les autres. Une traversée où la lumière n'est pas même une source de salut. Un univers oppressant. Une interprétation à couper le souffle jusqu'à une mise en terre... à nous faire trop vite oublier que l'on est en mer. Un film où l'on croit se perdre, mais où l'on retrouve la puissance d'un cinéma innovant...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 décembre 2019
    Juste excellent, film anti commercial qui laisse une grosse sensation de malaise. Allez le voir. C’est bon de voir que de superbes films d’horreur psychologique sont encore faits aujourd’hui
    Charles R
    Charles R

    52 abonnés 424 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 décembre 2019
    A tous ceux qui aiment un cinéma classique et mesuré, qui ont le goût des intrigues bien ficelées et sans grande surprise, ce film n'est absolument pas recommandé. "The Lighthouse", signé Robert Eggers, le réalisateur de "The Witch", est un film atypique, provocateur, où le mauvais goût est parfois érigé en valeur artistique, même s'il est indéniablement paré de poésie. Voici donc l'histoire de deux hommes, tous deux gardiens de phare sur une île déserte, l'un âgé et s'érigeant en maître tyrannique, l'autre jeune et acceptant d'abord une rude soumission avant de chercher à intervertir les rôles et à accaparer pour ce faire les clés de la lanterne du phare. Le tout dans une atmosphère glauque où la tempête est omniprésente et où les déluges de boissons alcoolisées sont propices à une violence et à une exacerbation des passions. A cela s'ajoute le fantôme d'une sirène qui devient un objet de désir de la part des deux hommes et nous vaut des scènes oniriques qui relèvent du cauchemar. Précisons qu'il s'agit d'un film en noir et blanc et que c'est le format carré qui a été retenu. Voilà qui n'est pas banal et qui renforce l'aspect atypique de l’œuvre de Robert Eggers. Autant le dire : c'est un chef-d’œuvre d'une beauté à couper le souffle et réjouissant pour l'amateur de références tant littéraires que cinématographiques. Car le film est parcouru de mythes littéraires et philosophiques - citons entre autres Œdipe, les sirènes de l'Odyssée et bien sûr Prométhée (la dernière image est drôle - si l'on peut dire - de ce point de vue). Mais il faut encore mentionner le capitaine Achab - du reste cité clairement dans le film - et surtout l'univers de Beckett puisque l'on reconnaîtra facilement le duo Vladimir-Estragon qui devient sur la fin Pozzo-Lucky à moins qu'il ne faille songer aussi au duo sado-masochiste de Hamm et de Clov dans "Fin de partie". Bref, pas une seconde à s'ennuyer, tant le film est propice à un décryptage savant fait de clins d’œil permanents. Et l'on ne saurait oublier l'influence de cinéastes dont l'inévitable Stanley Kubrick, celui de "Shining", on l'aura deviné. Bien sûr, il faut encore saluer la performance des deux acteurs Willem Dafoe et Robert Pattinson, le premier nous régalant de tirades à la puissance éminemment shakespearienne. Enfin, la bande son est une authentique merveille : dès le début du film, le spectateur est agressé par des sons de sirènes, puis giflé par la tempête qui sévit autour du phare, puis ce sont des grincements, des feulements, des bruits sourds ou percutants, - éblouissante musique de Mark Korven, d'une rare intensité. Vous l'aurez compris : c'est un film à voir absolument, même s'il est profondément dérangeant. On n'en remerciera que davantage Robert Eggers, un cinéaste qui compte désormais...
    OceanShadow
    OceanShadow

    9 abonnés 70 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 février 2020
    Fascinant / 20
    Une histoire incroyable et psychotique, une image en noir et blanc et un format carré oppressant à souhait. The Lighthouse nous emporte dans son délire halluciné et ne nous lâche pas. Interprété magistralement par deux fantastiques acteurs : Robert Pattinson (si jamais il y en a encore qui en doute) et Willem Dafoe. Laissez-vous gagner par la folie avec eux, c'est une expérience qui vaut le coup.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 27 avril 2020
    À quel moment ce film fait peur ?
    J'ai rigolé presque tout le long !
    Ce film est cru, avec des scènes violentes ou sexuelle, donc on est parfois surpris, interloqué devant l'absurde de la scène.

    À quel moment ce film est un thriller ?
    Recherche t-on un tueur ? Non.
    Il n'y a pas de suspense insoutenable, on sait qui est qui dès le début. spoiler: On suit juste la descente au enfer d'une personne fragile psychologiquement, qui devient violente en plus de paranoïaque.


    À quel moment c'est un bon film ?
    Ça n'en est pas un PARCEQUE l'histoire est banale, terriblement psychotique mais plate et informe.

    Le seul point positif, c'est le travail sur la lumière, ce qui donne parfois des jolies vues.
    YannP
    YannP

    3 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 janvier 2020
    Willem Dafoe est impressionnant, Pattinson étonnant. Deux grandes performances d'acteurs au service d'un film malheureusement inutile, prétentieux et vide.
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