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    The Lighthouse
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    266 critiques spectateurs

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    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 097 abonnés 3 970 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 janvier 2020
    Je n'avais pas apprécié The VVitch, mais j'attendais quand même pas mal The Lighthouse, notamment pour sa distribution et son esthétique. Mais malheureusement ça n'a guère plus pris chez moi que le film précédent. En fait je n'y vois qu'un exercice de style qui ne me déplaît pas, mais qui ne m'emporte pas non plus.

    Disons que j'aime bien l'idée de faire un film dans un format quasiment carré, où les éclairages, surtout sur les visages, sont là pour donner un côté expressionniste au film. Disons que esthétiquement ça en jette. Mais le problème, c'est que dès le départ on a cette mise en scène, ces lumières, qui montrent dès le début que ces deux personnages sont tarés... ils sont tarés avant même de mettre les pieds sur l'île... Et donc il n'y a pas réellement de mystère, de tension, d'implication pour les personnages, ils sont juste fous, la mise en scène nous le dit depuis le début.

    Bien sûr, je n'ai rien contre le fait de suivre des fous, mais clairement filmer pendant 1h50 des gens fous dans un phare, qui vont faire des trucs de fous, ben jamais ça ne m'a surpris, jamais ça ne m'a fait rentrer dans cette histoire que je trouve atrocement plate... dénuée de tout mystère, de toute ambigüité. C'est le pire pour un film qui se veut original de la sorte, je trouve ça attendu et convenu.

    Le type a un parti pris de mise en scène et il s'y tient tout le long, donc dès le début on sait que ça fait être beau, je ne retire pas ça au film, mais une fois la claque prise, ça ne se renouvelle pas et donc on s'y habitue jusqu'à que finalement ça ne fasse plus grand chose. Il n'y a pas réellement de gradation dans la mise en scène pour montrer la folie... Éventuellement un peu dans le montage, que j'ai bien aimé, puisque tout semble parfois s'accélérer dans les tâches quotidiennes dans le phare, on a un montage alterné que le même personnage qui fait différentes choses, ce qui renforce finalement la perte de repères temporels et l'impression du personnage d'être totalement perdu sur cette île...

    Mais pour moi ça n'est pas suffisant...

    Et même au niveau du jeu d'acteur que tout le monde loue... alors j'adore Pattinson dont la carrière est des plus intéressantes depuis qu'il a arrêté les romances idiotes à l'eau de rose façon Remember Me ou de l'eau pour les éléphants... mais là, clairement... ben il fait ce qu'on attend de lui, il est fou, pareil pour Dafoe. Plus que leur jeu d'acteur, c'est la mise en scène qui met en valeur leur folie et notamment la lumière.
    Bref, ils sont bons, pas de problème, mais je ne vois pas là une performance exceptionnelle, je vois de bons acteurs qui font ce qu'on leur demande correctement.

    En fait pour moi ce film manque d'âme, de mystère, il joue toutes ses cartes d'emblée et après il n'a plus grand chose à proposer de plus. Peut-être aurait-ce été mieux en court métrage ?
    islander29
    islander29

    876 abonnés 2 378 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 décembre 2019
    Le film en format carré et noir et blanc est un film qui vire peu à peu, graduellement à l'horreur….Autant dire qu' à la fin, on s'accroche à son siège, car tout ça pourrait être vécu par vous et moi, si on nous plaçait dans un phare (light house)...ON est à la veille du vingtième siècle dans un univers où la noirceur règne, vues les conditions de vie en général...Certaines scènes sont horribles, d'autres crues, d'autres fantastiques et on va souligner qu'il y en a beaucoup de "bonnes cinématographiquement"...Il y a de l'art dans le film ( lumières, cadrages, photo,) et la musique joue parfois un rôle remarquable….Tout ça fait que peu à peu on est envouté par le duo d''acteurs (Pattinson, Dafoe), le jeune et l'ancien, l'esclave et le maitre, l'humain et la bête et les goélands dont la présence n'est pas forcément réconfortante….La femme érotisée en sirène, poupée ou réalité reste dans l'ombre machiavélique….c'est un film dur, j'insiste, parfois dérangeant par ses désillusions sur l'âme humaine, sur la possibilité de vivre dans la promiscuité,....La lumière est insupportable finalement, en guise de morale…..C'est le mythe de Sisyphe condamné à porter son fardeau…..Le film est sombre, désespéré même, mais il est réalisé comme une œuvre d'art, ça c'est indiscutable….
    Fabien D
    Fabien D

    183 abonnés 1 141 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 décembre 2019
    Sur le plan esthétique, the lighthouse est une merveille. Le noir et blanc somptueux, le cadrage expressionniste, le travail sur le son et la lumière : tout est magnifique à l'écran. Quant aux acteurs Robert Pattinson et Willem Dafoe, ils livres, aux confins de la folie, des performances incroyable. Or le film peine à sortir du simple exercice de style. Long à démarrer, redondant et au final, un peu vain, le film n'en demeure pas moins un bel objet visuel dans lequel les références mythologiques se mêlent parfaitement aux citations de Melville. Intéressant à défaut d'être un grand film métaphysique.
    DanDan
    DanDan

    87 abonnés 272 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 novembre 2019
    Film visuel surprenant..dur à regarder..un peu lent au début..à voir avec des sous titres car les accents très British de William Defoe et Robert Pattinson sont dur à comprendre en anglais..le film fait penser au"salaire de la peur" de clousot...Robert Pattison dans la pluie et le charbon fait penser à Yves Montand et Jean Gabin dans "la grande illusion" ou "la bête humaine"..entrain de devenir dingue sur cette île avec ce phare dans un brouillard constant... ce phare qui pourrait être le 3eme acteur du film..Defoe est aussi extraordinaire à son habitude...et puis y a même une sirène..c'est dire Robert Eggers le réalisateur qui avait juste réaliser "The Witch" un film d"horreur en 2015..a beaucoup de talent...et Robert Pattison brille par son interprétation vertigineuse..chaque image en pause de ce film peut être une photo d'art moderne noir, sombre et mystérieuse..on pense aussi à David Lynch à ces débuts....voilà à voir attention à la fin surprenante à souhaits..
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    702 abonnés 2 747 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 mai 2020
    Rattrapage de The Lighthouse, film déroutant venu d'un autre temps. Une plongée philosophique étonnante sur la solitude, la perversité humaine, ses désirs, ses obsessions et surtout ses faiblesses. Quant aux deux acteurs, ils sont tous simplement incroyables.
    Cinévore24
    Cinévore24

    349 abonnés 718 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 décembre 2019
    Une oeuvre à l'esthétique hallucinatoire et fantasmagorique, avec un soin tout particulier apporté au son.
    Un objet filmique, hypnotique et déstabilisant, sur l'ennui, la solitude et le basculement progressif vers la folie.
    Un vrai duo de cinéma, laissé à l'abandon et en quête d'une lumière dans l'obscurité.
    Zeitnot33
    Zeitnot33

    4 abonnés 278 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 décembre 2019
    filmé en format 4/3, pourquoi?
    Ceci n'apporte strictement rien, à part un écran plus petit.
    Beaucoup de longueurs.
    Théâtral.
    Allez voir un autre film.
    Remi S.
    Remi S.

    19 abonnés 135 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 décembre 2019
    Là où le cinéma d'horreur contemporain aurai pu rester coller à des films et sagas sans saveur et tension comme celle *Conjuring*, de nombreux auteurs sont venus s'emparer du genre et proposer des œuvres plus intrigantes et intéressantes les unes que les autres. David Robert Mitchell et son teen-movie horrifique *It Follows*, Jordan Peele et sa psychologie, Ari Aster avec un ton orignal et intriguant, mais aussi Pascal Laugier avec *Ghostland*. Mais un seul parmi cette vague de cinéastes m'a le plus parlé via son traitement fortement esthétique donné à l'horreur, et ses contes tout droit sortis du passé : Robert Eggers.

    Apres avoir mis à l'épreuve une famille chrétienne face aux dangers redoutable d'une sorcière dans le sous-estimé *The Witch*, Robert Eggers quitte la campagne et la foret de la Nouvelle-Angleterre pour installer ses protagonistes au beau-milieu de l'océan déchaîné, entre les 4 murs d'un phare étrange.

    L'histoire pourtant simple, laisse place à un véritable cauchemar articulé entre ivresse, folie et horreur : Deux gardiens de phare sur une île mystérieuse et reculée de Nouvelle-Angleterre dans les années 1890.

    Le bateau amenant Thomas Wake ( Willem Dafoe ) et Ephraim Winslow ( Robert Pattinson ) à leurs destination, transperce le brouillard inquiétant qui surplombe la mer. La petite Île apparaît rapidement, avec en son sol un phare et une maison laissés à l'abandon. Pas un mot n'est échangé entre les nouveaux arrivants et l'équipe précédente. L'isolation commence.
    Le rapport de force entre les deux personnages est rapidement posé. Thomas et le chef ( grâce à sa grande expérience de l’Île ), Ephraim est ''l’élève''. Là où l'un se coltine les taches ingrate et inintéressante, l'autre s'occupe du symbole du phare : la lumière.

    Robert Eggers pose au fur et à mesure les pierres d'un récit habitée par l'étrange. Les rencontres étranges et les événements auxquels va assister Ephraim vont rapidement l’amener à s'interroger sur son compagnon de phare. Mais l'alcool, unique ravitaillement sur place, va s'avérer comme un désamorçage des doutes et des questionnements.
    Ivresse, boulot, misère vont faire tourner les personnages et le spectateur au point de perdre la notion du temps, à l'image de ses deux horloges sur le mur affichant des heures différentes. Mais inévitablement, nous savons que le personnage de Thomas cache quelque chose, en haut du phare, au contact de la lumière.
    C'est un affrontement permanent d'ailleurs entre les deux protagonistes, concernant l’accès à ce niveau. L’expérimenté Thomas refuse que le jeune Ephraim accède à cette opportunité. Qu'il y'a t'il là où règne la seul lumière de l’Île ?

    Le format 1.19:1, et le 35mm en noir et blanc augmente ce sentiment de claustrophobie et de tristesse du lieu. *The Lighthouse* est avant-tout une aventure sensorielle et hypnotique ! La complexité et l'étrangeté du récit nous invite évidement à ressortir de la salle, plein de mystère dans la tête. Sirènes, désir inassouvi, mouette mystérieuse, vie secrète des personnages jusqu’à même l'intervention des mythes comme le dieu Triton nous entraînent au cœur des mystères de l'océan qui nous rongeront la tête. Ce n'est pas hasard d'ailleurs que Robert Eggers fait encore une fois appelle aux vieux contes qui se racontait entre marins à la fin du XIXème siècle ( comme l'était aussi *The Witch* ).

    Dans sa mise en scène ultra maîtrisée et esthétisée, la caméra de Robert Eggers vogue entre les étages et les actions mystérieuse des personnages, capte les visages déboussolés, et filme une mer déchaînée spectatrice et actrice de la détresse des protagonistes ( enfin surtout celle de Ephraim, tant qu'il est encore lui ).

    Dans son originalité et son mystérieux, *The Lighthouse* ne peut nous faire sortir indemne de ce phare. Robert Eggers propose encore une fois, une oeuvre complètement hypnotisante qui pimente et pousse le genre horrifique vers le haut.
    garnierix
    garnierix

    237 abonnés 462 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 décembre 2019
    Qu’on n’aille pas voir ce film pour se distraire, résoudre une énigme, pleurer ou même avoir peur ––contrairement à sa catégorisation horreur / épouvante ––éventuellement on pourra en sortir écœuré ou se sentir sale sur soi. Ce film est un bijou pour les amateurs de bijoux cinématographiques, sans plus ––il y aurait un plus s’il y avait vraiment une histoire, de quoi avoir peur, de quoi pleurer... Tout est dans la théâtralisation de l’image, des sons, de la musique, des acteurs et des mots ––qu’importe si tout est vide de sens. Synopsis : deux hommes bizarres se retrouvent ensemble pour assurer la garde d’un phare, et deviennent de plus en plus bizarres, dans l’enfer gris des eaux atlantiques d’une île canadienne, à la fin du 19ème siècle. La question qu’on se pose est alors : pourquoi ce film ? pourquoi d’immenses acteurs en sont ? ––Dafoe (le Christ, le Bouffon Vert) et Pattinson (le vampire de Twilight). Mais c’est comme si l’on se demandait pourquoi Lovecraft a créé Cthulhu, ou pourquoi Nostradamus a accouché de prédictions. C’est la création, irrépressible, celle d’un artiste qui est tombé dedans et qui n’en sortira plus : l’auteur (Robert Eggers), c’est le fantastique qui le fascine et la force qui consiste à réveiller les sens des gens. Et donc là, avec ce film, c’est ce qui se passe. Et on aime ou on n’aime pas. Pour la question de l’horreur, c’est réglé dès le départ puisqu’on sourit des flatulences sonores du vieux triton joué par Dafoe : on sait que ce ne sera pas un film d’horreur. Dès le départ aussi, on sait qu’on est dans l’investigation esthétique : on n’a sans doute pas produit de film dans ce format carré depuis l’entre-deux guerres, plus le noir et blanc ––ce noir et blanc là s’avère si percutant, si beau… Ajoutez une bande son au carré noir et blanc, qui à elle seule donne envie d’halluciner ; plus la violence de l’isolement, du froid et de la tempête ; sans oublier l’ingrédient essentiel bien sûr qui est la folie de deux hommes. Il y a une folie qui semble mature (Dafoe), qui parle comme le capitaine Haddock et qui se pose les mêmes problèmes que lui, par exemple quand il est au lit doit-il dormir avec la barbe au-dessus du drap ou en-dessous ––mais certains penseront qu’il parle comme Shakespeare. L’autre (Pattinson) est plutôt la folie en construction, très fortement teintée de sexualité à fleur de peau (qu’on ne peut décrire ici sous peine d’être censuré). La fin est une allusion au mythe de Prométhée, on ne se sait pas trop pourquoi, mais ce n’est pas grave : l’image est sublime. Ce film perturbe et c’est bon ––c’est un chef d’œuvre, bien qu’il manque de sens ou de fantastique assumé. A.G.
    temtem75
    temtem75

    1 abonné 39 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 décembre 2019
    Ce film est une vraie catastrophe, on s'ennuie à mourir du début jusqu'à la fin.
    L'intrigue est pathétique. Seul le jeu des acteurs arrive à sauver ce film d'un chao sans nom.
    On ne comprend rien du début jusqu'à la fin. La bande son est A FOND, à en perdre ses tympans, j'ai du metttre mes boules quies.
    On nous promet de l'horreur, euh pardon ? Même pas peur, ah oui, c'est parce que je me suis endormi tout le long....
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 24 décembre 2019
    Sans queue ni tête. Film ennuyeux et incompréhensible. Et je ne vois pas le cote épouvante non plus. Bref, une perte de temps.
    frederic M.
    frederic M.

    13 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 décembre 2019
    Le vent, la pluie, la foudre, les éclairs et le tonnerre de Zeus frappent sans relâche les personnages de ce huis-clos en proie à une lutte sado masochiste à l’homosexualité latente.
    Ici, la folie, la crasse, la puanteur dans un vacarme incessant et oppressant, une tragédie empreinte de Mythologie grecque, des tableaux sublimes en noir et blanc, des dialogues Shakespeariens.
    Tout est surprenant dans ce chef d’oeuvres, le format, la couleur, la photo, la mise en scène dramatique où l’hédonisme et l’onanisme surprennent tour à tour et l’on se demande où les protagonistes nous entrainent et ce que l’on est en train de voir.
    Un cinéma d’art et d’essais des années 70.
    Sûrement pas un blockbuster, mais sans doute Brecht ne le démentirait pas; une œuvre d’art totalement à part…
    FM
    Guigs B
    Guigs B

    13 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 janvier 2020
    1 étoile pour l’esthétique, 1 étoile pour le jeu des deux acteurs.
    Le reste, ne vaut pas le coup. Un court métrage aurait suffi.
    C’est long, beaucoup trop long, pour peu de chose.
    Un film horrifique d’auteur, qui ne surprend pas, ne fait pas peur, est exempt de suspens et de scénario.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 janvier 2020
    Bravo À Robert Eggers, mise en scène surprenante, dialogues incisifs et jeu d'acteurs exquis. Chapeau bas à Robert Pattinson la révélation de ce film sans nul doute. Son interprétation toute en retenu dans la quiétude du phare puis rugissante en écho des vagues qui les entourent. J'ai encore plus apprécié ce film la deuxième fois, je le recommande vivement.
     Kurosawa
    Kurosawa

    591 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 mai 2021
    L'escroquerie de la fin d'année 2019 vient donc de Robert Eggers qui signe un film d'horreur imbitable, visiblement sous référence becketienne mais sans avoir rien compris à Beckett. En additionnant le format carré à un noir et blanc cafardeux et à un jeu d'acteur particulièrement outrancier, on se retrouve face à un film formellement éculé qui réussit l'exploit d'inventer son propre académisme tant son dispositif est fixe et fonctionne en vase clos. On se fout en effet très vite de savoir ce qu'attendent nos deux ivrognes perdus dans leur phare puisque la bizarrerie à l'oeuvre ne comporte aucun signe déchiffrable : la complaisance est totale et le schéma scénaristique répétitif dont il est question en est ici la preuve. Pour rendre l'absurde passionnant, il faut avoir un sens de l'infime variation et du détail (ce que Beckett possède) dont Eggers est dépourvu. On doit donc subir d'innombrables scènes de beuverie qui composent avec des monologues au discours pseudo mythologique et des images oniriques impossibles à interpréter avant d'arriver à un final abscons qui nous achève pour de bon. 'The lighthouse" est une véritable purge auteuriste qui confirme la mise en valeur injustifiée de jeunes "masters of horror" comme Robert Eggers ou encore Ari Aster, ce dernier ayant déjà sévi avec le déprimant "Midsommar".
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