Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Bande à part
par François-Xavier Taboni
Quatre ans après la révélation The Witch, Robert Eggers, en maniériste maniaque, enferme Willem Dafoe et Robert Pattinson dans un superbe huis clos lovecraftien.
Elle
par Françoise Delbecq
Une expérience unique et bouleversante.
La Septième Obsession
par David Ezan
Parmi la nouvelle génération des auteurs de genre américains,Robert Eggers s’est donc trouvé une place de choix avec ce second long métrage, perle noire qui combine brillamment son rigorisme artistique à un certain attrait populaire pour le film d’épouvante.
Ouest France
par Cédric Page
Un ovni à la beauté radicale et foudroyante.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un chef-d’oeuvre, tant du point de vue formel, esthétique que de l’écriture langoureuse et anxiogène. Certainement un film qui fera date dans l’histoire du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CNews
par La rédaction
Filmé en 35 mm et en noir et blanc, et optant pour le format carré, ce long-métrage qui fut présenté à la Quinzaine des réalisateurs au Festival de Cannes en mai dernier, plonge les spectateurs dans un climat oppressant et anxiogène dont ils ne ressortiront pas indemnes.
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Une intensité prodigieuse, remontée de l’abîme comme la matière noire, dévorante et furieuse qui semble le happer dès son ouverture, ne lâche pas un plan de The Lighthouse.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
En deux films, le réalisateur s'est imposé en nouveau passeur d'un folklore imaginaire particulièrement sordide.
Culturopoing.com
par Jean-François Dickeli et Olivier Rossignot
Si "The VVitch" se doublait d’un propos puissant et féministe, "The Lighthouse" se concentre sur la folie pure, invitant le spectateur à se perdre dans ses méandres. Eggers, se révèle définitivement être un cinéaste du glissement imperceptible, du tangible vers les ténèbres.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Etrange, âpre, cet oppressant huis clos se distingue par la géniale prestation de Willem Dafoe, et la beauté des images en noir et blanc.
L'Ecran Fantastique
par Cédric Coppola
Une réflexion mentale du plus bel effet.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Le noir et blanc est à la fois charbonneux et éblouissant, l’image, au format carré, rappelle l’expressionnisme muet, ça suinte la crasse, la sueur et les pulsions libidinales. « Quand deux hommes, résume le réalisateur, sont laissés seuls dans un phallus géant, cela n’augure rien de bon. »
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Le cinéaste passe quasiment deux heures à faire circuler en bocal fermé des flux de désirs ardents dont la folie constitue le point d’incandescence, ce moment où les fantasmes tous azimuts – de Pattinson surtout, affolant de tension sexuelle –, las de se prendre le mur (de l’autorité, de l’aliénation, de l’Atlantique), finissent par exploser en une gerbe libératrice et meurtrière. Alors seulement, la lumière sera.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana
En surrégime permanent, le récit empile les morceaux de bravoure et les soliloques avinés, trouvant dans ces enflures la matière même de sa monstrueuse beauté.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Alexandre Poncet
"The Lighthouse" est donc une proposition de fantastique particulièrement iconoclaste et déroutante, où la profondeur thématique et l'esbrouffe conceptuelle se côtoient à chaque instant.
Télérama
par Nicolas Didier
La grande prouesse du réalisateur, qui a fait ses gammes au théâtre en tant que directeur de production, consiste à laisser la parole proliférer : l’insulte proférée par Dafoe se déploie comme un kraken sorti du fond de sa gorge.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Dafoe et Pattinson livrent une performance ahurissante pleine de bruits et de fureur.
Ecran Large
par Simon Riaux
Orgie cinéphilique convoquant les plus grands maîtres du bizarre, du cadre et du noir et blanc, "The Lighthouse" se perd en courbettes et transgressions indignes d'un têtard pré-pubère, jusqu'à n'être plus qu'un hommage beau et creux.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Antoine Le Fur
Il n'y a pas à dire, c'est beau. Peut-être même qu'il n'y a pas eu plus beau cette année. Mais pas plus inabouti aussi.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le travail sur le son est aussi remarquable que le soin apporté au cadre. D’abord austère et déroutant, le drame exerce son pouvoir de fascination, à condition de lâcher prise.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par David Speranski
Cette expérience sensorielle confirme le talent de Robert Eggers, mais confine au simple exercice de style virtuose.
Première
par François Rieux
Mythologie grecque, histoires de fantômes et autres légendes de la mer... Eggers évite le gloubi-boulga en délivrant une œuvre à son image : radicale, sombre, jusqu’au-boutiste. Et s’impose comme l’un des cinéastes les plus iconoclastes (et weirdo) de notre époque.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Jean-Sébastien Massart
En petit magicien du cinéma de genre, Eggers aime révéler le secret de ses tours – et c'est ce qu'il s'efforce de faire une nouvelle fois dans The Lighthouse, même si cette fois, le tour que le film nous joue paraît un peu moins plat, un peu mieux gardé aussi.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Murielle Joudet
Reparti avec le prix Fipresci à la Quinzaine des réalisateurs à Cannes et le prix du jury au Festival de Deauville, The Lighthouse n’a pas été mieux résumé que par son réalisateur lui-même : « Rien de bon ne peut arriver quand deux hommes sont isolés dans un phallus géant. »
Le Figaro
par La Rédaction
On tue une mouette, on cite des poèmes avant de se saouler à l’alcool de contrebande et de danser la bourrée. Bref, au secours !
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Positif
par Eithne O'Neill
En somme, "The Lighthouse" reste un des pires souvenirs filmiques de ces derniers temps.
Bande à part
Quatre ans après la révélation The Witch, Robert Eggers, en maniériste maniaque, enferme Willem Dafoe et Robert Pattinson dans un superbe huis clos lovecraftien.
Elle
Une expérience unique et bouleversante.
La Septième Obsession
Parmi la nouvelle génération des auteurs de genre américains,Robert Eggers s’est donc trouvé une place de choix avec ce second long métrage, perle noire qui combine brillamment son rigorisme artistique à un certain attrait populaire pour le film d’épouvante.
Ouest France
Un ovni à la beauté radicale et foudroyante.
aVoir-aLire.com
Un chef-d’oeuvre, tant du point de vue formel, esthétique que de l’écriture langoureuse et anxiogène. Certainement un film qui fera date dans l’histoire du cinéma.
CNews
Filmé en 35 mm et en noir et blanc, et optant pour le format carré, ce long-métrage qui fut présenté à la Quinzaine des réalisateurs au Festival de Cannes en mai dernier, plonge les spectateurs dans un climat oppressant et anxiogène dont ils ne ressortiront pas indemnes.
Cahiers du Cinéma
Une intensité prodigieuse, remontée de l’abîme comme la matière noire, dévorante et furieuse qui semble le happer dès son ouverture, ne lâche pas un plan de The Lighthouse.
CinemaTeaser
En deux films, le réalisateur s'est imposé en nouveau passeur d'un folklore imaginaire particulièrement sordide.
Culturopoing.com
Si "The VVitch" se doublait d’un propos puissant et féministe, "The Lighthouse" se concentre sur la folie pure, invitant le spectateur à se perdre dans ses méandres. Eggers, se révèle définitivement être un cinéaste du glissement imperceptible, du tangible vers les ténèbres.
Femme Actuelle
Etrange, âpre, cet oppressant huis clos se distingue par la géniale prestation de Willem Dafoe, et la beauté des images en noir et blanc.
L'Ecran Fantastique
Une réflexion mentale du plus bel effet.
L'Obs
Le noir et blanc est à la fois charbonneux et éblouissant, l’image, au format carré, rappelle l’expressionnisme muet, ça suinte la crasse, la sueur et les pulsions libidinales. « Quand deux hommes, résume le réalisateur, sont laissés seuls dans un phallus géant, cela n’augure rien de bon. »
Les Inrockuptibles
Le cinéaste passe quasiment deux heures à faire circuler en bocal fermé des flux de désirs ardents dont la folie constitue le point d’incandescence, ce moment où les fantasmes tous azimuts – de Pattinson surtout, affolant de tension sexuelle –, las de se prendre le mur (de l’autorité, de l’aliénation, de l’Atlantique), finissent par exploser en une gerbe libératrice et meurtrière. Alors seulement, la lumière sera.
Libération
En surrégime permanent, le récit empile les morceaux de bravoure et les soliloques avinés, trouvant dans ces enflures la matière même de sa monstrueuse beauté.
Mad Movies
"The Lighthouse" est donc une proposition de fantastique particulièrement iconoclaste et déroutante, où la profondeur thématique et l'esbrouffe conceptuelle se côtoient à chaque instant.
Télérama
La grande prouesse du réalisateur, qui a fait ses gammes au théâtre en tant que directeur de production, consiste à laisser la parole proliférer : l’insulte proférée par Dafoe se déploie comme un kraken sorti du fond de sa gorge.
Voici
Dafoe et Pattinson livrent une performance ahurissante pleine de bruits et de fureur.
Ecran Large
Orgie cinéphilique convoquant les plus grands maîtres du bizarre, du cadre et du noir et blanc, "The Lighthouse" se perd en courbettes et transgressions indignes d'un têtard pré-pubère, jusqu'à n'être plus qu'un hommage beau et creux.
L'Express
Il n'y a pas à dire, c'est beau. Peut-être même qu'il n'y a pas eu plus beau cette année. Mais pas plus inabouti aussi.
Le Journal du Dimanche
Le travail sur le son est aussi remarquable que le soin apporté au cadre. D’abord austère et déroutant, le drame exerce son pouvoir de fascination, à condition de lâcher prise.
Les Fiches du Cinéma
Cette expérience sensorielle confirme le talent de Robert Eggers, mais confine au simple exercice de style virtuose.
Première
Mythologie grecque, histoires de fantômes et autres légendes de la mer... Eggers évite le gloubi-boulga en délivrant une œuvre à son image : radicale, sombre, jusqu’au-boutiste. Et s’impose comme l’un des cinéastes les plus iconoclastes (et weirdo) de notre époque.
Critikat.com
En petit magicien du cinéma de genre, Eggers aime révéler le secret de ses tours – et c'est ce qu'il s'efforce de faire une nouvelle fois dans The Lighthouse, même si cette fois, le tour que le film nous joue paraît un peu moins plat, un peu mieux gardé aussi.
Le Monde
Reparti avec le prix Fipresci à la Quinzaine des réalisateurs à Cannes et le prix du jury au Festival de Deauville, The Lighthouse n’a pas été mieux résumé que par son réalisateur lui-même : « Rien de bon ne peut arriver quand deux hommes sont isolés dans un phallus géant. »
Le Figaro
On tue une mouette, on cite des poèmes avant de se saouler à l’alcool de contrebande et de danser la bourrée. Bref, au secours !
Positif
En somme, "The Lighthouse" reste un des pires souvenirs filmiques de ces derniers temps.