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isakkk
14 abonnés
193 critiques
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0,5
Publiée le 16 janvier 2019
Une affreuse caricature que ce film, même Agnes Jaoui actrice magnifique arrive à être mauvaise. Les dialogues sont indigents et le film est un catalogue de caricatures... au secours !
Une belle leçon de tolérance, rires et petite larme garantis ! Agnès Jaoui incarne une main tournée vers le monde et vers les autres. Vous sortirez avec le sourire et l’envie de faire votre petit geste, vous aussi.
Tragicomédie bien enlevée. On peut disserter sur ce qui est véhiculé dans ce film sur la perception de l'immigration en général et sur l’investissement dans l'humanitaire en particulier. Peut-on en rire? Cela choquera peut-être certains. Je ne suis pas de cet avis. J'ai bien rigolé
"Les Bonnes intentions" est un bon film avec un bon scénario dommage que la fin ne soit pas plus dramatique et qui n'est pas un peu plus d'émotion, un peu long, les acteurs jouent trés bien leurs personnages et j'ai trouvé que le début du film est un peu trop rapide et ils auraient dû explique comment elle est arrivée à faire se job.
Question intéressante : faire preuve d'une générosité, d'une dévotion extrême est-il un risque pour notre vie familiale et son quotidien ? Gilles Legrand tente d'y répondre habilement, proposant différentes situations savoureuses à travers un scénario cohérent, soignant aussi bien ses répliques que ses personnages, principaux comme secondaires (non sans quelques stéréotypes). Il y a un réel plaisir à voir chacun évoluer, faire face à ses contradictions, devant faire face à des moments difficiles tout en restant fidèle à ses idéaux. À ce titre, les scènes entre Agnès Jaoui (excellente) et Tim Seyfi (pas mal du tout), notamment chez la conseillère conjugale, sont éloquentes, à l'image d'un ton séduisant dans son ensemble, parfois très drôle, n'hésitant pas à balancer quelques répliques vachardes du meilleur effet. Dommage que, cinéma français oblige, la forme soit quand même très basique, voire bancale, le réalisateur ne semblant souvent pas du tout quelle identité donner au film : c'en est presque assez triste. Mais pour le coup, j'ai envie d'être indulgent : si visuellement c'est pauvre, au moins est-ce donc compensé par un scénario (bien qu'un peu répétitif) et une écriture de qualité, offrant à la fois une vraie réflexion sur l'engagement (social) et un portrait de femme beaucoup plus subtil et nuancé qu'au premier abord, la présence d'excellents seconds rôles (Alban Ivanov et la très séduisante Claire Sermonne en tête) ne faisant qu'ajouter à la bonne impression générale. Un peu maladroit, sans doute, mais touchant.
Parodie particulièrement acide sur le bénévolat, ce film dérange autant qu'il amuse. L'aveuglement du personnage principal concurrence sa maladresse. Derrière la caricature, perce la problématique du dévouement quand celui-ci cherche autant, sinon plus, à régler ses propres difficultés que celles des autres. L'altruisme serait-il aussi une forme d'égoïsme ? Se répare-t-on en cherchant à réparer les autres ? Est-ce soi-même que l'on essaie de sauver en voulant sauver autrui ? Voilà ce qui est mis à nu, ce qui dérange, ce qui irrite à travers ce scénario. Les premières minutes donnent le ton du reste du long métrage. La scène finale cherche manifestement à réconcilier tout le monde à travers un contre-don venant compenser le don. Entre les deux, un long cheminement au cours duquel on a mal pour cette bénévole qui agit comme une gourde, malgré tous ses efforts.
Agnès Jaoui est en mal de reconnaissance, elle cherche à faire le bien autour d'elle mais ses bonnes intentions font souvent des dégâts. A n'en pas douter, l'intention de Gilles Legrand était bonne, elle-aussi, mais si quelques blagues font sourire, l'essentiel est trop caricatural pour que la comédie fonctionne. Un petit film pour dimanche soir pluvieux.
Agnès Jaoui est parfaite dans ce rôle d’humanitaire qui veut sauver le monde, ce qui provoque des scènes assez cocasses tout en nous faisant probablement nous demander ce que nous pourrions faire ou pas pour « aider ».
Vu la semaine dernière mais encore sous le choc.Une excellente surprise car j'y allais franchement à reculons depuis que je savais que le rôle d'Agnès Jaoui ressemblait beaucoup au sien dans "le (très décevant" sens de la fête". Mais rien à voir ! Quelle merveille ! Film solaire la aussi . Jaoui époustouflante de simplicité et de doute. Et pas du tout rempli de bonne conscience culpabilisante comme je le craignais . Au contraire ! Encore une fois EPATANT
Film gentillet mais trop facile, trop en surface, trop caricatural. Personnages plus qu’exagérés et qui couvrent toute la palette des stéréotypes : de la jolie slave aguicheuse à la chinoise travailleuse. Le personnage interprété par Agnes Jaoui est insupportable. Vu ce film en avant-première où le réalisateur disait qu’il espérait donner envie au public de s’engager. Et bien pas du tout! Pour avoir été prof bénévole d’alphabetisation et de Francais Langue Etrangere, il est rare de melanger les 2 qui n’ont rien à voir. C’est dommage, il y avait matière à une belle comédie sensible mais nous avons ici une farce qui tourne ces cours au ridicule alors qu’ils sont essentiels.
Un film joyeusement borderline qui s'interroge sur l'engagement citoyen. tout tourne un peu autour de question de la psy "qu'est ce le plus important pour vous, l'amour ou la reconnaissance ?". A coté de cette question existentielle, on a un film cocasse et réjouissant ou la bonne humeur l'emporte malgré quelques moments répétitifs La troupe de comédiens est réjouissante, haute en couleur. Les situations sont amusantes, tous ces gens cherchent à se parler, à se comprendre, avec ou sans psy. Agnès Jaoui dans un rôle qu'on devine proche de ses préoccupations y est excellente et il faut souligner une nouvelle performance XXL de Alban Ivanov. Borderline et Chaleureux
Décevant. Agnès Jaoui, toujours convaincante. Hélas, le film se veut drôle et plein de bonnes intentions mais tombe dans la caricature du bourgeois complexé par ses privilèges et manque de crédibilité.