Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
I'm A Rocket Man
297 abonnés
3 152 critiques
Suivre son activité
1,0
Publiée le 9 janvier 2024
Pfff l'arnaque toi... j'ai pourtant vu des dizaines et des dizaines de docus animaliers (et beaucoup sur les loups dans tout ça) et je ne me suis jamais ennuyé comme ça ! Bon déjà il est vrai qu'on ne voit pas beaucoup les loups et c'est fâcheux mais c'est surtout que j'ai trouvé le photographe animalier fort antipathique ! Je l'ai trouvé 'too much', pas naturel, pas attachant, pas passionné... bref je l'ai trouvé insupportable ! Il en rajoute des caisses, il nous prend pour des andouilles (notamment lors de l'attaque nocturne par un sanglier) & franchement ce docu est le pire que j'ai jamais vu ! En plus sa voix off tape sur les nerfs car sa voix s'éraille et se casse et rien n'est plaisant dans son documentaire... un gros fiasco et au lieu d'en ressortir apaisé (comme après avoir vu des animaux & des beaux paysages) bah j'en suis ressorti avec les nerfs en pelote ! J'te jure...
A moins d'être un défenseur convaincu de la vie sauvage compatible avec la présence d'élevages, ce documentaire militant ne m'a pas convaincu du tout.
Prélever une partie du bétail élevé pour satisfaire la vie sauvage des loups reviendrait à les rendre dépendants de l'homme, à l'instar des animaux de zoo.
2021 0106/3 Hors un titre détourné-usurpé, c’est pas la B.B.C. non plus, mais à nouveau un pseudo-documentaire animalier franco-français égo-centré sur le nombril de celui qui s'y met en scène. On assiste donc d’abord à une très longue introduction du bipède concerné, qui, curieusement, cumule comportements ni très nature, ni très écolo. De temps à autres, quelques quatre pattes divers jusqu’à du volatile viennent détourner du sujet principal : J-M. Bertrand. En voix off du fumeur de longue date : J-M. Bertrand. En loup solitaire (mais toujours filmé pleine face) : J-M. Bertrand. C’est souvent, mais si J-M. Bertrand ne dort, c’est qu’il baffre. Autrement on peut entendre l'animal grommelé. Et comme s’il lisait dans les pensées du spectateur qui souffre, Il lui arrive même de jurer : «Ha je suis con !». C’est lui qui le dit, c’est lui qui voit. Nous on verra pas grand chose d’autre. Si, quand même en alpage et accessoirement, quelques loups en errance et autres bestiaux en survivance. Au final, on arrive pas bien à saisir si ce truc est donné comme plaidoyer animaliste premier degré. En tous cas J-M. Bertrand toujours, ne s’embarrasse pas de contradictions. Jusqu’à quelques bonnes ficelles de renard bien pendu et techniques de traçage. Où comment piéger dans une vallée tout ce qui y resterait à flinguer, grâce à de subtiles caméras à déclenchement de sales gueules. Machin fait donc son bonhomme de chemin. Normal c’est la mode. Même Manu est en marche. Mais à ce type de notoriété… Désolé, ici on marche pas avec les loups d’un naturel opportunisme teinté de cynisme. Pauvre nature.