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Votre avis sur Marche avec les loups ?
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C'est juste un superbe documentaire sur les loups et leur vie en France et il est très intéressant. Son réalisateur est drôle et il a l'air très intelligent et il s'y connaît en la matière. En plus les paysages Français son magnifiquement filmé. Allez voir ce très beau documentaire animalier vous ne le regretterez pas croyez-moi...
weihnachtsmann
Le premier film était davantage accès sur l’émerveillement de la nature face aux loups.
Ici les images sont belles et le chemin est intéressant mais JMB laisse trop déverser son amertume envers le genre humain.
On ne sait que trop tout cela et l’on sent bien que nous avons ici affaire à un amoureux de la nature. Le propos gâche du coup un peu le film avec son côté moralisateur malgré les superbes images.
Ici les images sont belles et le chemin est intéressant mais JMB laisse trop déverser son amertume envers le genre humain.
On ne sait que trop tout cela et l’on sent bien que nous avons ici affaire à un amoureux de la nature. Le propos gâche du coup un peu le film avec son côté moralisateur malgré les superbes images.
Sur la piste du loup : une ode à la vie sauvage dans des paysages superbes. On regrette simplement les commentaires marmonnés qui rendent la compréhension difficile...
Pfff l'arnaque toi... j'ai pourtant vu des dizaines et des dizaines de docus animaliers (et beaucoup sur les loups dans tout ça) et je ne me suis jamais ennuyé comme ça ! Bon déjà il est vrai qu'on ne voit pas beaucoup les loups et c'est fâcheux mais c'est surtout que j'ai trouvé le photographe animalier fort antipathique ! Je l'ai trouvé 'too much', pas naturel, pas attachant, pas passionné... bref je l'ai trouvé insupportable ! Il en rajoute des caisses, il nous prend pour des andouilles (notamment lors de l'attaque nocturne par un sanglier) & franchement ce docu est le pire que j'ai jamais vu ! En plus sa voix off tape sur les nerfs car sa voix s'éraille et se casse et rien n'est plaisant dans son documentaire... un gros fiasco et au lieu d'en ressortir apaisé (comme après avoir vu des animaux & des beaux paysages) bah j'en suis ressorti avec les nerfs en pelote ! J'te jure...
Après « La Vallée des Loups » sorti en 2017, c’est avec un plaisir non dissimilé que l’on retrouve Jean-Michel Bertrand avec « Marche avec les Loups ». Sa recette reste inchangée : à la fois simple et roborative, afin de livrer de magnifiques images d’une nature sauvage que l’on connait mal, alors qu’elle est à quelques pas de nos habitations. Notre amateur de faune indomptée va plus loin que dans son premier essai, il cherche à comprendre les déplacements des jeunes loups, chassés de leur meute pour aller fonder la leur. Ils devront éviter bien des dangers, dont la plupart sont liés à l’homme : zones urbaines, éleveurs en colère, quotas de chasse…
En France, le loup est un prédateur au statut mythique, entouré de croyances anciennes et très souvent diabolisé alors que son rôle (comme tout prédateur) est primordial.
Ne vous attendez pas à un documentaire pur et dur, nous sommes plus sur un carnet de voyage façon road movie -à pied-, au croisement de « Into The Wild » (pour le côté survie) et « The Wild » (pour les errements et réflexions). Un film qui prône le slow life (avec un équipement high tech), le respect des équilibres primordiaux auxquels sont soumis les animaux sauvages ainsi que le partage des territoires entre hommes et animaux.
Le ton est écolo, sans militantisme, une ode passionnée à la vie sauvage, au respect. Le tout narré de manière très personnelle, presque intime, avec une voix rocailleuse (normal me direz-vous, pour quelqu’un qui aime tant fouler la roche des montagnes).
Si les errances peuvent sembler monotones et si le peu de réponses apportées risquent d’en frustrer quelques-uns, le film est singulier, à l’image de son réalisateur. Un film bourru, authentique, décousu, mais aussi complètement attachant et qui donne une envie sauvage d’explorer ces lieux en les respectant au plus haut point.
Visionner ses films, c’est un peu comme retrouver une connaissance de rando, un homme qui aime profondément la nature, qui n’a pas peur de la savourer dans des conditions extrêmes. C’est profiter de son courage et sa ténacité pour nous livrer des images rares que nous pouvons admirer confortablement, au chaud.
Franchement, comment ne pas aimer un amateur de truffes en tous genres (animales et végétales) ?
En France, le loup est un prédateur au statut mythique, entouré de croyances anciennes et très souvent diabolisé alors que son rôle (comme tout prédateur) est primordial.
Ne vous attendez pas à un documentaire pur et dur, nous sommes plus sur un carnet de voyage façon road movie -à pied-, au croisement de « Into The Wild » (pour le côté survie) et « The Wild » (pour les errements et réflexions). Un film qui prône le slow life (avec un équipement high tech), le respect des équilibres primordiaux auxquels sont soumis les animaux sauvages ainsi que le partage des territoires entre hommes et animaux.
Le ton est écolo, sans militantisme, une ode passionnée à la vie sauvage, au respect. Le tout narré de manière très personnelle, presque intime, avec une voix rocailleuse (normal me direz-vous, pour quelqu’un qui aime tant fouler la roche des montagnes).
Si les errances peuvent sembler monotones et si le peu de réponses apportées risquent d’en frustrer quelques-uns, le film est singulier, à l’image de son réalisateur. Un film bourru, authentique, décousu, mais aussi complètement attachant et qui donne une envie sauvage d’explorer ces lieux en les respectant au plus haut point.
Visionner ses films, c’est un peu comme retrouver une connaissance de rando, un homme qui aime profondément la nature, qui n’a pas peur de la savourer dans des conditions extrêmes. C’est profiter de son courage et sa ténacité pour nous livrer des images rares que nous pouvons admirer confortablement, au chaud.
Franchement, comment ne pas aimer un amateur de truffes en tous genres (animales et végétales) ?
J'ai été voir le premier documentaire de Jean-Michel Bertrand intitulé "La vallée des loups" au cinéma en 2017 et j'avais beaucoup aimé sur sa passion de chercher et observer les loups. Trois ans plus tard, il récidive dans les salles obscures avec "Marche avec les loups" ou il met l'accent sur cette espère animale qui disparait en France avec la civilisation humaine urbaine. Jean-Michel Bertrand nous fait balader dans ses coins naturelles des hautes montagnes Alpines avec des images majestueuses qu'on a en France. Il filme les loups en suivant leurs traces avec les bons mots d'un amoureux et passionné de la nature. Il nous alarme aussi sur l'avenir des loups dans notre héxagone face a ceux qui craignent l'espèce animal comme étant dangereux. Un parcours de trois ans si j'ai compris bien filmé et bien raconté. Tout amoureux de la nature et des animaux y trouveront leurs comptes en allant voir ce beau documentaire.
Jean-Michel Bertrand n'est pas que lycophile : il a aussi le souci de l'équilibre entre contemplation de la nature (et quelle nature ! Superbes montagnes et faune sauvage !) et didactisme éclairé (à la bougie...).
Entre loups, lynx et corvidés, le réalisateur filme un ballet extraordinaire : celui du chasseur et celui du chassé, celui du dominant et du dominé. Sans compter l'Homme dont la nature est de ne pas faire de cadeau.... Jean-Michel Bertrand est un vrai philosophe à la voix éraillée.
Entre loups, lynx et corvidés, le réalisateur filme un ballet extraordinaire : celui du chasseur et celui du chassé, celui du dominant et du dominé. Sans compter l'Homme dont la nature est de ne pas faire de cadeau.... Jean-Michel Bertrand est un vrai philosophe à la voix éraillée.
J'ai toujours du mal à apprivoiser les documentaires : quelle est la part d'authentique et celle qu'on sacrifie à la beauté filmique ? Oui, Jean-Michel Bertrand est passionné et dort dans la montagne, mais il se garde bien de montrer quand il fait ses courses ou recharge son téléphone portable. Ce dilemme perpétuel me rend un peu hermétique.
J'ai fini par adopter le film quand même. L'image et la musique y étaient pour beaucoup, mais il y a aussi quelque chose en plus, une ambiance qui plane et ne semble tenir à rien, qui nous tient compagnie et nous dissocie d'une scénarisation finalement accessoire. Ce sont les beaux moments qui comptent, et la beauté environnante dont il nous donne conscience. Pas de sentimentalisme bon marché donc, mais une œuvre qui peut emporter n'importe qui en nous rappelant à notre rapport au vivant.
J'ai fini par adopter le film quand même. L'image et la musique y étaient pour beaucoup, mais il y a aussi quelque chose en plus, une ambiance qui plane et ne semble tenir à rien, qui nous tient compagnie et nous dissocie d'une scénarisation finalement accessoire. Ce sont les beaux moments qui comptent, et la beauté environnante dont il nous donne conscience. Pas de sentimentalisme bon marché donc, mais une œuvre qui peut emporter n'importe qui en nous rappelant à notre rapport au vivant.
Un très beau film sur la nature la bienveillance envers les animaux et le respect du à tous fait par un homme patient et passionné qui nous donne de magnifiques images et une belle leçon. Seuls les agriculteurs bornés et les chasseurs débiles qui détruisent la nature s offusqueront de la protection du loup
Durant la première demi-heure, il nous est difficile de comprendre où le cinéaste a voulu nous amener; ensuite on se laisse absorbé par la beauté du paysage et des animaux sauvages et au final ce film est un vrai message destiné à nous faire saisir toute l'importance que l'on doit apporter à la préservation de la nature et plus particulièrement des animaux.
Une suite admirable au premier opus de Jean-Michel Bertrand. La magie opère à niveau : qu'elle est belle, cette vie sauvage qui palpite au coeur des montagnes ! Nous autres humains, y passons sans soupçonner tout ce qui se joue ici, occupés que nous sommes à profiter de notre plaisir personnel. La quête obstinée de Bertrand pour le loup l'amène à nouveau à une ouverture totale à ce que la Nature lui offre. Cette remontée vers le Nord permet de réaliser à quel point il est difficile pour des animaux sauvages, de conquérir de nouveaux territoires quand l'homme est implanté partout ! Une démonstration simplissime et d'une efficacité redoutable. Bravo M.Bertrand ! Film vu en avant-première au festival de la Salamandre à Morges. Bravo aussi à cette fantastique équipe !
Le point de départ du film est le suivi de jeunes loups qui quittent la meute. Le tournage s’étale du 6 janvier 2018 au 20 avril 2019. Le cinéaste s’aide de caméras automatiques qu’il pose et dont il reçoit les images (en cas de déclenchement) sur son smartphone.
spoiler:
Finalement, il part sur les traces d’un jeune loup qui a quitté les Alpes et découvre un couple dans le Jura et qui sera, probablement, à l’origine d’une nouvelle meute
. A son habitude, c’est avant tout un film sur la quête, plus que sur le loup ainsi qu’un film sur Jean-Michel Bertrand lui-même, nous livrant ses réflexions, ses digressions [sur le gypaète barbu (Gypaetus barbatus) qui a failli disparaitre ou sur les populations de loups et de renards qui se régulent d’elles-mêmes], ses doutes et ses joies (cf. confection d’une brouillade aux truffes). A voir donc comme un carnet visuel de voyage, reprenant le concept de caméra-stylo. Dommage que la chronologie ne soit pas clairement indiquée (insertion d’images de loups alors qu’ils n’ont pas encore été repérés). Cela n’est pas tout à fait un autoportrait puisque c’est Marie AMIGUET qui est derrière la caméra [comme pour « La vallée des loups » (2016)]. On suppose qu’elle partage son quotidien, sans se montrer (à la façon des émissions de téléréalité).
. A son habitude, c’est avant tout un film sur la quête, plus que sur le loup ainsi qu’un film sur Jean-Michel Bertrand lui-même, nous livrant ses réflexions, ses digressions [sur le gypaète barbu (Gypaetus barbatus) qui a failli disparaitre ou sur les populations de loups et de renards qui se régulent d’elles-mêmes], ses doutes et ses joies (cf. confection d’une brouillade aux truffes). A voir donc comme un carnet visuel de voyage, reprenant le concept de caméra-stylo. Dommage que la chronologie ne soit pas clairement indiquée (insertion d’images de loups alors qu’ils n’ont pas encore été repérés). Cela n’est pas tout à fait un autoportrait puisque c’est Marie AMIGUET qui est derrière la caméra [comme pour « La vallée des loups » (2016)]. On suppose qu’elle partage son quotidien, sans se montrer (à la façon des émissions de téléréalité).
Tant que l'homme "moderne civilisé" (sic) ne comprendra pas que Gaïa s'autorégule depuis 5 Milliards d'années, il faudra des hommes passionnés comme Jean-Michel Bertrand pour le rappeler. Son animal fétiche semble être le loup et il rappelle à ceux qui privilégient le côté financier avant la Nature que l'équilibre se fait chaque année, quand une population augmente, les autres le font aussi pour éviter prolifération. Et quand la nourriture devient rare, les espèces diminuent et la chaine alimentaire se réduit aussi. C'est tout simple à comprendre pourtant ! Mais des craintes ancestrales persistent, accréditées par quelques attaques d'espèces d'élevage (et donc perte financière pour les éleveurs, je concède leurs difficultés de vivre mais détruire l'équilibre naturel est pire) Documentaire avec une belle quête et de belles images mais un peu erratique et trop scolaire. Il n'y est pas que question des loups (et surtout de la conquête de nouveaux territoires et formation de nouvelles meutes pas les jeunes loups exclus de leurs meutes initiales) mais aussi du gypaète barbu, chamois, lynx . . . On (sou)rit face à certaines situations (humaines et animales) mais je n'ai pas réussi à m'immerger dedans. Ça se regarde avec plaisir et compréhension mais ne fera pas avancer la cause de la protection et ne fera pas évoluer la vision de l'urbain sur le sauvage. Il manque une implication du spectateur . . . On reste spectateur, ça ne nous pousse pas à être acteur.
Magnifique documentaire sur l'insertion du loup dans les Alpes et le Jura réalisé par un homme en communion totale avec la nature et qui pose des questions fondamentales sur la place que les hommes devraient laisser au sauvage pour assurer son équilibre. Les propos sont très pertinents et intelligents comme l'allusion faite à la religion qui malheureusement enferme ou aliène et ne dirige pas les humains à découvrir la beauté de la nature . Des images sont même insupportables comme ce renard pendu a un arbuste qui montre a quel point certains d'entre nous sont cruels et ignorants (600 000 renards sont tués tous les ans en france ... .)
Film tout simplement magnifique qui nous rappelle que la nature n'appartient pas à l'homme, ce dernier n'est qu'un élément de la chaine. Superbes paysages. Mon cher et beau Jura, patrie du lynx, est mis à l'honneur dans le dernier tiers du film après avoir quitté nos belles Alpes.
Je n'ai aucune critique à formuler. Peut-être quelques longueurs par moment. J'ai eu la chance de voir un vrai loup dans la nature dans le secteur de Pontarlier. Oui, ce bel animal est de retour, il est en train de recoloniser son ancien territoire. Je trouve néanmoins dommage qu'on n'ait pas plus donné la parole aux bergers. On peut et on doit aussi se mettre à leur place. Quel choc pour eux lorsqu'ils découvrent des animaux morts et mutilés. La bonne volonté de tous, le dialogue permettront peut-être un jour de faire cohabiter tout le monde. Je le souhaite vraiment.
Prochainement, je vais emmener des amis au Parc des Loups à Vallorbe (CH) là où il s'ébattent au côté des ours.
Je n'ai aucune critique à formuler. Peut-être quelques longueurs par moment. J'ai eu la chance de voir un vrai loup dans la nature dans le secteur de Pontarlier. Oui, ce bel animal est de retour, il est en train de recoloniser son ancien territoire. Je trouve néanmoins dommage qu'on n'ait pas plus donné la parole aux bergers. On peut et on doit aussi se mettre à leur place. Quel choc pour eux lorsqu'ils découvrent des animaux morts et mutilés. La bonne volonté de tous, le dialogue permettront peut-être un jour de faire cohabiter tout le monde. Je le souhaite vraiment.
Prochainement, je vais emmener des amis au Parc des Loups à Vallorbe (CH) là où il s'ébattent au côté des ours.
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