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Un visiteur
1,5
Publiée le 22 février 2020
A moins d'être un défenseur convaincu de la vie sauvage compatible avec la présence d'élevages, ce documentaire militant ne m'a pas convaincu du tout.
Prélever une partie du bétail élevé pour satisfaire la vie sauvage des loups reviendrait à les rendre dépendants de l'homme, à l'instar des animaux de zoo.
tres beau film animalier avec de beaux paysages et un discours écolo très intéressant (2e opus d'un film très bien déjà) je vous conseille vivement de voir ce film si vous aimez la nature ou tout simplement si vous voulez passer un bon moment. film à recommander absolument autour de vous
Superbe à tout niveau. Si vous aimez la nature et les grands espaces, a voir absolument. Un grand bravo a l'équipe du tournage pour la patience dont ils ont dû faire preuve pour nous offrir 1h30 de bonheur.
Ce film m'évoque un mélange de Walden et de l'Appel de la fôret. De très belles images, une voix off à la diction retenue, presque hésitante, et une formidable invitation à découvrir la nature à l'état sauvage.
Trop court ! On voudrait qu'un tel enchantement dure des heures . Que de splendeurs ! La vraie vie est là, pas dans les mesquineries dont l'époque actuelle nous gave Merci monsieur Bertrand. .
C'est très beau, très sensible. Peu à peu, on aime ces loups qui font peur... Sans trop insister, Jean-Michel Bertrand développe un appel à la cohabitation avec le sauvage qui engage le devenir du monde. Sans ce rapport à la nature, non de domination mais où chacun est à sa place, pas d'avenir sur terre ! Ce n'est pas un film anti-chasseur ou éleveur, c'est un film écologique et passionnant.
Le photographe Vincent Munier a l'habitude de dire que notre monde ne mourra pas par manque de merveilles mais par manque d'émerveillement. Merci Jean-Michel Bertrand de participer au rayonnement de la nature sauvage que nous autres, prédateurs et colonisateurs suprêmes, avons presque éradiqué. Un film à la façon d'une inspiration: "redevenir la nature", avec des veillées sous les étoiles, des retraites en forêt et en montagne, le regard rivé sur les animaux qui les peuplent -encore un peu...
Vraiment un film magnifique et passionnant, il y a même du suspense amoureux. Et le héros n'est pas seulement le loup, mais notre marcheur-naturaliste et la performance technologique de sa démarche. Admirable à de nombreux points de vue.
film tourné dans ma region. je suis sortie de la salle, admirative, mais aussi avec une certaine melancolie. ce film m a rappele mon enfance, ou je passais des heures à regarder le manège d une fourmis trimbaler une petite branche, il est passe ou le temps de la contemplation ? et puis cette nature que l on pietine, que l o tue, que l on gaspille.
2021 0106/3 Hors un titre détourné-usurpé, c’est pas la B.B.C. non plus, mais à nouveau un pseudo-documentaire animalier franco-français égo-centré sur le nombril de celui qui s'y met en scène. On assiste donc d’abord à une très longue introduction du bipède concerné, qui, curieusement, cumule comportements ni très nature, ni très écolo. De temps à autres, quelques quatre pattes divers jusqu’à du volatile viennent détourner du sujet principal : J-M. Bertrand. En voix off du fumeur de longue date : J-M. Bertrand. En loup solitaire (mais toujours filmé pleine face) : J-M. Bertrand. C’est souvent, mais si J-M. Bertrand ne dort, c’est qu’il baffre. Autrement on peut entendre l'animal grommelé. Et comme s’il lisait dans les pensées du spectateur qui souffre, Il lui arrive même de jurer : «Ha je suis con !». C’est lui qui le dit, c’est lui qui voit. Nous on verra pas grand chose d’autre. Si, quand même en alpage et accessoirement, quelques loups en errance et autres bestiaux en survivance. Au final, on arrive pas bien à saisir si ce truc est donné comme plaidoyer animaliste premier degré. En tous cas J-M. Bertrand toujours, ne s’embarrasse pas de contradictions. Jusqu’à quelques bonnes ficelles de renard bien pendu et techniques de traçage. Où comment piéger dans une vallée tout ce qui y resterait à flinguer, grâce à de subtiles caméras à déclenchement de sales gueules. Machin fait donc son bonhomme de chemin. Normal c’est la mode. Même Manu est en marche. Mais à ce type de notoriété… Désolé, ici on marche pas avec les loups d’un naturel opportunisme teinté de cynisme. Pauvre nature.
de belles images pour les amateurs de la nature , l'ouverture a la reflexion , un bon moment je regrette juste de voir beaucoup plus le narrateur que les loups eux memes