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L'absence d'une compassion "préfabriquée" et d'une forme de misérabilisme, mais aussi de jugement, fait de "Midnight Ramblers" un film digne. Julian Ballester regarde ses "personnages" sans complaisance ni voyeurisme . L'attention à la dimension subjective de l'expérience comme à celle de sa réalité concrète écoute ce qui se passe au plus intime.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
[...] dans sa proximité avec les hommes et les femmes qu'il filme et la nudité de son regard sans romantisme de la perdition, il nous met en contact avec une tristesse commune, quelque chose dont la dope n'est que la substance intercalaire ou de transaction entre soi et le rien, la jugeote qui marche toute seule et la stase comateuse qui annule tout.
Filmant au ras du réel, sans trémolos ni misérabilisme, le réalisateur français Julian Ballester s’attache à regarder la réalité en face, ni plus ni moins, avec une forme d’empathie voire de complicité...
Culturopoing.com
L'absence d'une compassion "préfabriquée" et d'une forme de misérabilisme, mais aussi de jugement, fait de "Midnight Ramblers" un film digne. Julian Ballester regarde ses "personnages" sans complaisance ni voyeurisme . L'attention à la dimension subjective de l'expérience comme à celle de sa réalité concrète écoute ce qui se passe au plus intime.
L'Humanité
Cette vision aussi directe que compréhensive de la réalité est une bonne petite claque aux clichés sociologisants des médias simplistes.
Libération
[...] dans sa proximité avec les hommes et les femmes qu'il filme et la nudité de son regard sans romantisme de la perdition, il nous met en contact avec une tristesse commune, quelque chose dont la dope n'est que la substance intercalaire ou de transaction entre soi et le rien, la jugeote qui marche toute seule et la stase comateuse qui annule tout.
Télérama
Midnight Ramblers se déroule toujours la nuit, mais on est certain d’y avoir vu du soleil.
Les Inrockuptibles
Filmant au ras du réel, sans trémolos ni misérabilisme, le réalisateur français Julian Ballester s’attache à regarder la réalité en face, ni plus ni moins, avec une forme d’empathie voire de complicité...