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Si "An Elephant Sitting Still" impressionne par sa noirceur, il fascine tout autant par sa capacité à y apporter une once de lumière, comme un espoir au cœur de la souffrance.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Déclinaison cinématographique des "Fleurs du mal", "An Elephant Sitting Still" est le chef-d’œuvre d’un jeune homme qui n’a pas su vivre avec le réel, qui a fait de cette douleur un film et qui y a mis ce qu’il lui restait d’optimisme.
[...] une œuvre-monde qui sonde les paramètres existentiels du mal de vivre plutôt que de s’y abîmer, à la fois ample roman social dressant le tableau circonstancié d’un réseau de désastres locaux et chant de désarroi quasi cosmique - un pied chez Zola, l’autre chez Nerval.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le film de Hu Bo, long de près de quatre heures, labyrinthique, d'une ampleur digne des grands romans russes ou latino-américains, frappe par sa noirceur absolue et son portrait désespéré de la Chine contemporaine.
Voilà l’étrange paradoxe de An Elephant Sitting Still et peut-être ce qui explique son succès : de ce désespoir, Hu Bo a réussi à tirer quelque chose de vivant, de vif, un film qui ne ressemble qu’à lui.
Un récit fleuve et labyrinthique de près de quatre heures porté par une mise en scène à fleur de visages désespérés, avec des acteurs époustouflants d'incarnation. Grandiose.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le premier (et dernier) film de Hu Bo opère une plongée dans une ville sinistre, où une poignée d’habitants se heurte à la violence et à la misère sociales. Une œuvre-fleuve dont la mélancolie accablante étouffe continuellement le récit et les personnages.
Outre la lassitude de voir la même scène se répéter, c’est surtout le poids de l’ensemble qui, associé au martelage d’un discours terrassant, fatigue le plus.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
Si "An Elephant Sitting Still" impressionne par sa noirceur, il fascine tout autant par sa capacité à y apporter une once de lumière, comme un espoir au cœur de la souffrance.
Les Inrockuptibles
Déclinaison cinématographique des "Fleurs du mal", "An Elephant Sitting Still" est le chef-d’œuvre d’un jeune homme qui n’a pas su vivre avec le réel, qui a fait de cette douleur un film et qui y a mis ce qu’il lui restait d’optimisme.
Libération
[...] une œuvre-monde qui sonde les paramètres existentiels du mal de vivre plutôt que de s’y abîmer, à la fois ample roman social dressant le tableau circonstancié d’un réseau de désastres locaux et chant de désarroi quasi cosmique - un pied chez Zola, l’autre chez Nerval.
Positif
Le film de Hu Bo, long de près de quatre heures, labyrinthique, d'une ampleur digne des grands romans russes ou latino-américains, frappe par sa noirceur absolue et son portrait désespéré de la Chine contemporaine.
Première
Premier et dernier long-métrage d’un jeune cinéaste chinois suicidé à l’issue du tournage de ce film-monstre d’une puissance incroyable.
Transfuge
Une splendeur mélancolique.
Cahiers du Cinéma
Voilà l’étrange paradoxe de An Elephant Sitting Still et peut-être ce qui explique son succès : de ce désespoir, Hu Bo a réussi à tirer quelque chose de vivant, de vif, un film qui ne ressemble qu’à lui.
L'Humanité
Un film à quatre personnages dont la beauté flagelle le morbide du paysage.
L'Obs
Un récit fleuve et labyrinthique de près de quatre heures porté par une mise en scène à fleur de visages désespérés, avec des acteurs époustouflants d'incarnation. Grandiose.
La Septième Obsession
"Still", silencieux, tel ce film choral, avant l’ultime barrissement, plein de rage contenue, de cette résignation finalement vaincue.
Le Figaro
Un chef-d'œuvre inégalé.
Le Monde
Un film crépusculaire et posthume.
Télérama
Une noirceur envoûtante.
Le Journal du Dimanche
Le périple est éprouvant mais le tableau saisissant : les personnages apparaissent piégés dans un labyrinthe impitoyable.
Les Fiches du Cinéma
Le premier (et dernier) film de Hu Bo opère une plongée dans une ville sinistre, où une poignée d’habitants se heurte à la violence et à la misère sociales. Une œuvre-fleuve dont la mélancolie accablante étouffe continuellement le récit et les personnages.
Critikat.com
Outre la lassitude de voir la même scène se répéter, c’est surtout le poids de l’ensemble qui, associé au martelage d’un discours terrassant, fatigue le plus.