Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
L'Express
par Christophe Carrière
C'est anxiogène, éprouvant, mais au bout du compte édifiant.
Transfuge
par Frédéric Mercier
Cette gestion extraordinaire de la durée [...] fait de ce film bien autre chose qu'un survival : une oeuvre ouverte à des questionnements politiques.
20 Minutes
par Caroline Vié
Utøya, 22 juillet revient sur ce drame qui a coûté la vie à 69 personnes, en adoptant le point de vue des victimes du terroriste et en livrant un suspense d’autant plus puissant qu’il est fondé sur la réalité.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
Bouleversant.
CinemaTeaser
par La Rédaction
Dégraissée de tout artifice, cette reconstitution de l’attaque de l’île d’Utoya en temps réel est absolument glaçante.
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
Reconstitution intérieure brute et virtuose, entre émotion et effroi, des attentats meurtriers de 2011 portée par la bouleversante Andrea Berntzen, "Utoya, 22 juillet" est une oeuvre terriblement éprouvante dont on ne sort pas indemne. Glaçant !
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Une expérience immersive qui nous prend au ventre et alerte sur les mouvements néo-fascistes en Europe.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
On ressent la peur panique, l’incompréhension, la confrontation brutale à la mort. Et en même temps, on se rend compte qu’un film ne peut pas faire comprendre ce qui dépasse l’entendement. L’horreur. Pour de vrai.
Le Parisien
par La Rédaction
Porté par la remarquable Andrea Berntzen (dont c’est le premier film), le drame est une performance cinématographique en même temps qu’un uppercut émotionnel.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télérama
par Frédéric Strauss
Voilà un film marquant, engagé, émouvant et politique, qui assume une fonction extrêmement utile de signal d’alarme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Daniel Blois
Un tour de force aussi choquant que bouleversant.
Culturopoing.com
par Thomas Roland
En refusant tout didactisme, en ne se réduisant qu'aux faits, Erik Poppe signe une œuvre malade, presque schizophrène, partagée entre la dénonciation socio-politique et la peinture d’un monde en proie au Mal.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Effet haletant garanti. Mais la méthode a des limites. On vit l’événement à travers les yeux de la jeune fille, et donc notre vision de la situation est subjective et limitée.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Céline Rouden
Malgré la performance technique et l’efficacité du procédé, il s’en dégage au final un sentiment de malaise quant au but réellement recherché par tout cela.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par La Rédaction
Ce fait divers tragique méritait sans doute mieux que cette reconstitution minutieuse et appliquée où l'on remarquera l'actrice principale, Andrea Berntzen, sorte de Jennifer Lawrence nordique.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Un vrai cauchemar éveillé, éprouvant. Le parti pris du cinéaste est osé et montre ses limites aussi dans la mesure où le mal n'est jamais montré ni identifié, mais vécu de l'intérieur, comme une ombre menaçante.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Première
par Gérard Delorme
À l’évidence, les multiples procédés utilisés posent des questions morales qui ne manqueront pas de diviser, mais cette ambiguïté fait aussi l’intérêt d’un projet trop complexe et réfléchi pour être jugé à la hâte.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Certains y verront un hommage vibrant aux victimes d’une attaque terroriste, d’autres dénonceront une récupération indéfendable, dans tous les cas, Utoya, 22 juillet est surtout l’occasion de théoriser sur la place de la caméra, et en cela c’est une réussite cinématographique catégorique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Erik Poppe signe un film bicéphale, où une tête poignante et digne répond à une autre, monstrueuse et abjecte. Dommage que cette dernière empoche la mise, brisant les réussites inaugurales, transmuant ce film mémoriel en une forfanterie maligne.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Si le procédé formel fascine, Utoya, 22 juillet s’enferme peu à peu dans son dispositif pour se réduire à une expérience de la mort en direct.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Pierre Eisenreich
Tout cela manque de subtilité et de profondeur d'analyse de cette tragédie cauchemardesque, ou bien révèle une certaine facilité difficilement acceptable par respect pour les morts, les vrais.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Comme série B d’horreur cynique à déguster un samedi soir, le film vaut son pesant de pop-corn. Comme lecture cinématographique d’un événement réel et tragique, on ne saurait imaginer pire.
Critikat.com
par Corentin Lê
L’horreur réellement vécue n’est pas là pour être comprise ni transmise (par une reproduction prétendument fidèle du chaos), mais seulement pour servir les effets de terreur et d’épouvante désirés par Poppe.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Les rares personnages fil rouge sont caricaturaux et trépassent face à une caméra qui semble se délecter d'agonies interminables. Plus grave : le cinéaste ne soulève aucune des questions pourtant primordiales et fait de son film un son et lumière complaisant dans sa forme, ambigu dans son fond.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Au final, il n'est pas grand chose à retenir de cette plongée horrifique, dont la lecture aurait mérité un point de vue susceptible de pouvoir élever le film au-dessus de l'exploit technique.
Libération
par Camille Nevers
Immersion dans la peau d’une victime imaginaire, le film en un seul plan d’Erik Poppe sur la tuerie de 2011 en Norvège joue la carte du sensationnel.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Express
C'est anxiogène, éprouvant, mais au bout du compte édifiant.
Transfuge
Cette gestion extraordinaire de la durée [...] fait de ce film bien autre chose qu'un survival : une oeuvre ouverte à des questionnements politiques.
20 Minutes
Utøya, 22 juillet revient sur ce drame qui a coûté la vie à 69 personnes, en adoptant le point de vue des victimes du terroriste et en livrant un suspense d’autant plus puissant qu’il est fondé sur la réalité.
CNews
Bouleversant.
CinemaTeaser
Dégraissée de tout artifice, cette reconstitution de l’attaque de l’île d’Utoya en temps réel est absolument glaçante.
Ecran Large
Reconstitution intérieure brute et virtuose, entre émotion et effroi, des attentats meurtriers de 2011 portée par la bouleversante Andrea Berntzen, "Utoya, 22 juillet" est une oeuvre terriblement éprouvante dont on ne sort pas indemne. Glaçant !
Femme Actuelle
Une expérience immersive qui nous prend au ventre et alerte sur les mouvements néo-fascistes en Europe.
Le Journal du Dimanche
On ressent la peur panique, l’incompréhension, la confrontation brutale à la mort. Et en même temps, on se rend compte qu’un film ne peut pas faire comprendre ce qui dépasse l’entendement. L’horreur. Pour de vrai.
Le Parisien
Porté par la remarquable Andrea Berntzen (dont c’est le premier film), le drame est une performance cinématographique en même temps qu’un uppercut émotionnel.
Télérama
Voilà un film marquant, engagé, émouvant et politique, qui assume une fonction extrêmement utile de signal d’alarme.
Voici
Un tour de force aussi choquant que bouleversant.
Culturopoing.com
En refusant tout didactisme, en ne se réduisant qu'aux faits, Erik Poppe signe une œuvre malade, presque schizophrène, partagée entre la dénonciation socio-politique et la peinture d’un monde en proie au Mal.
L'Humanité
Effet haletant garanti. Mais la méthode a des limites. On vit l’événement à travers les yeux de la jeune fille, et donc notre vision de la situation est subjective et limitée.
La Croix
Malgré la performance technique et l’efficacité du procédé, il s’en dégage au final un sentiment de malaise quant au but réellement recherché par tout cela.
Le Figaro
Ce fait divers tragique méritait sans doute mieux que cette reconstitution minutieuse et appliquée où l'on remarquera l'actrice principale, Andrea Berntzen, sorte de Jennifer Lawrence nordique.
Le Point
Un vrai cauchemar éveillé, éprouvant. Le parti pris du cinéaste est osé et montre ses limites aussi dans la mesure où le mal n'est jamais montré ni identifié, mais vécu de l'intérieur, comme une ombre menaçante.
Première
À l’évidence, les multiples procédés utilisés posent des questions morales qui ne manqueront pas de diviser, mais cette ambiguïté fait aussi l’intérêt d’un projet trop complexe et réfléchi pour être jugé à la hâte.
aVoir-aLire.com
Certains y verront un hommage vibrant aux victimes d’une attaque terroriste, d’autres dénonceront une récupération indéfendable, dans tous les cas, Utoya, 22 juillet est surtout l’occasion de théoriser sur la place de la caméra, et en cela c’est une réussite cinématographique catégorique.
Les Fiches du Cinéma
Erik Poppe signe un film bicéphale, où une tête poignante et digne répond à une autre, monstrueuse et abjecte. Dommage que cette dernière empoche la mise, brisant les réussites inaugurales, transmuant ce film mémoriel en une forfanterie maligne.
Les Inrockuptibles
Si le procédé formel fascine, Utoya, 22 juillet s’enferme peu à peu dans son dispositif pour se réduire à une expérience de la mort en direct.
Positif
Tout cela manque de subtilité et de profondeur d'analyse de cette tragédie cauchemardesque, ou bien révèle une certaine facilité difficilement acceptable par respect pour les morts, les vrais.
Cahiers du Cinéma
Comme série B d’horreur cynique à déguster un samedi soir, le film vaut son pesant de pop-corn. Comme lecture cinématographique d’un événement réel et tragique, on ne saurait imaginer pire.
Critikat.com
L’horreur réellement vécue n’est pas là pour être comprise ni transmise (par une reproduction prétendument fidèle du chaos), mais seulement pour servir les effets de terreur et d’épouvante désirés par Poppe.
L'Obs
Les rares personnages fil rouge sont caricaturaux et trépassent face à une caméra qui semble se délecter d'agonies interminables. Plus grave : le cinéaste ne soulève aucune des questions pourtant primordiales et fait de son film un son et lumière complaisant dans sa forme, ambigu dans son fond.
Le Monde
Au final, il n'est pas grand chose à retenir de cette plongée horrifique, dont la lecture aurait mérité un point de vue susceptible de pouvoir élever le film au-dessus de l'exploit technique.
Libération
Immersion dans la peau d’une victime imaginaire, le film en un seul plan d’Erik Poppe sur la tuerie de 2011 en Norvège joue la carte du sensationnel.