Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
33 critiques presse
L'Express
par Christophe Carrière
On peut détester regarder une course automobile et, pourtant, réclamer quelques tours de piste supplémentaires quand ils sont filmés par l'excellent James Mangold.
Le Parisien
par La Rédaction
Quel film ! Au volant, le réalisateur James Mangold parvient à trouver l'équilibre parfait entre enjeux économiques de ce récit, histoire humaine entre Shelby et Miles, et scènes de courses grisantes et spectaculaires qui vont à 300 à l'heure.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
20 Minutes
par Caroline Vié
Les fans de sport automobile ne seront pas les seuls à se passionner pour la relation conflictuelle et fraternelle entre les deux hommes dans ce film très réussi.
CNews
par La rédaction
Ce long-métrage se démarque du traditionnel film de voitures en se concentrant sur une aventure humaine hors pair entre deux passionnés, et sur les émotions des personnages ressenties sur le bitume ou dans l’habitacle.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Si elle ne manque jamais de virtuosité dans ses séquences automobiles, la mise en scène, comme toujours chez Mangold, préfère l’élégance d’un certain classicisme à la frime tapageuse.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Closer
par La Rédaction
Un western moderne mené 200 à l'heure par James Mangold, et un Christian Bale encore bluffant.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Le Mans 66 ne se contente pas de rester au ras du sol de l’affrontement entre le constructeur américain Ford et l’italien au cheval cabré Ferrari, lors de l’édition 1966 de la célèbre course de 24 heures. Le Mans 66 est d’abord une histoire d’hommes, d’amitié entre le pilote Ken Miles et l’ex-pilote reconverti en patron d’écurie Carroll Shelby.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Elle
par Françoise Delbecq
Il est fascinant de voir un film issu des studios américains fabriqué à l'ancienne.
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Cette histoire vraie nous interroge sur la dérisoire vanité de l'espèce humaine, quand elle tourne ainsi en rond, en circuit fermé.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Son suspense est haletant de bout en bout, jusqu’à un final inattendu. Décapant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Nicolas Schaller
Ce film est un bonheur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Avec cet intérêt particulier que, si la technique a fait depuis des progrès considérables et si la façon de filmer la course démontre une virtuosité hors pair, celle-ci cherche moins l’effet pour l’effet, mais plutôt, en refusant les facilités du numérique, un classicisme en phase avec ce qu’était la réalité de la course automobile de l’époque.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Un film où la précision rivalise avec le suspense.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Dans la lignée de "Rush" (2013), de Ron Howard, le cinéaste américain place sa caméra au ras du bitume et filme les courses avec une virtuosité, une énergie et une intensité jubilatoires.
Le Point
par Mathilde Cesbron
Le Mans 66 est lent à l'allumage, mais une fois entraîné dans la course on se prend de passion pour la quête ambitieuse de ces fous du volant.
Les Fiches du Cinéma
par La rédaction
Film de courses de voitures le plus impressionnant depuis "Rush" de Ron Howard, "Le Mans 66" s’impose comme un biopic solide et à l’“ancienne”, axé bien davantage sur l’histoire d’amitié entre Ken Miles et Carroll Shelby que sur la rivalité entre Ford et Ferrari.
Libération
par Camille Nevers
Si on aime ça, les voitures rutilantes et les courses de F1, la vitesse sur circuit à perte de vue, le vintage sous le capot (Ferrari ou Ford), "Le Mans 66" est un divertissement de belle facture.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Une histoire humaine autant que mécanique, dans un film trépidant.
Positif
par Hubert Niogret
La qualité du récit et la maîtrise de la réalisation arrivent à susciter un certain suspense alors que l'issue est connue, en partie grâce à l"extraordinaire prestation de Christian Bale, prodigieux.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Dirigé par James Mangold (« Logan », « Wolverine »), « Le Mans 66 » suit cette épopée humaine autant que technologique. Belle course.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Un grand film, à voir séance tenante.
Télérama
par Marc Belpois
Un divertissement rutilant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Il faudra, cette année 1966, toute l'ingéniosité créative de Caroll Shelby, préparateur auto, et l'adrénaline de Ken Miles. Vibrations !
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Contre toute attente, Le Mans 66 est une aventure réjouissante qui, certes, ne fait pas vraiment honneur à l’écologie et à la lutte contre le dioxyde de carbone, mais entraîne les spectateurs, même les moins passionnés de courses automobiles, dans un récit haletant et rythmé.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Un bolide viril et vrombissant tout droit sorti des années 50. (…) On peut prendre plaisir à cette vision quasi frelatée, couplée à une mise en scène sachant jouer de son épaisseur de trait.
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Appliqué mais peu inspiré du côté des hommes et leurs problèmes terrestres, James Mangold trouve des raisons de vibrer avec les voitures et leurs pilotes. Là, le cœur du film s'emballe et "Le Mans 66" décolle, autour d'un Christian Bale encore une fois impeccable.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
En définitive, bien que par moments agaçant, ce film d’action, d’éloquence sportive, de bravoure humaine et d’histoire industrielle tient ses promesses et va même au-delà.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Loris Hantzis
"Le Mans 66" est un modèle d’efficacité et de fluidité narrative qui nous rappelle à cet art de conteur d’histoire qui se perd peu à peu.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Spectaculaire mais un peu long, surtout pour des bolides censés rouler à 300 km/h.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
On trouve ainsi dans son film de quoi sustenter les amateurs de sensations de forte cylindrée, avec rugissements de moteur poussés à bloc, caméras embarquées dans les bolides, prises de vues au ras du bitume, coups tordus, branlebas électrique des stands, endurance des hommes et des machines, adrénaline de la course et des duels à mort qui s’y livrent.
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Mangold opère ici à sa vitesse de croisière (...), hélas en-deçà de ses meilleurs films (Logan, Knight and Day, Copland). Veillant à offrir au fan ce qu’il est venu chercher (des carrosseries chromées, des plans sur des jantes, des vrombissements de moteur) sans s’aliéner le néophyte, il filme à hauteur d’homme, sans génie mais avec un indéniable savoir-faire, cette histoire d’outsiders prêts à tout sacrifier à leurs rêves.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Sophie Benamon
Mais, car il y a un mais, Mangold passe totalement à côté du traitement des femmes. (...) La fausse note de ce divertissement de bonne tenue.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Josué Morel
Le Mans 66 prend sans ambiguïté le parti des créateurs tout en constituant, c’est pour le moins contradictoire, un modèle de film de studio formaté.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
On peut détester regarder une course automobile et, pourtant, réclamer quelques tours de piste supplémentaires quand ils sont filmés par l'excellent James Mangold.
Le Parisien
Quel film ! Au volant, le réalisateur James Mangold parvient à trouver l'équilibre parfait entre enjeux économiques de ce récit, histoire humaine entre Shelby et Miles, et scènes de courses grisantes et spectaculaires qui vont à 300 à l'heure.
20 Minutes
Les fans de sport automobile ne seront pas les seuls à se passionner pour la relation conflictuelle et fraternelle entre les deux hommes dans ce film très réussi.
CNews
Ce long-métrage se démarque du traditionnel film de voitures en se concentrant sur une aventure humaine hors pair entre deux passionnés, et sur les émotions des personnages ressenties sur le bitume ou dans l’habitacle.
CinemaTeaser
Si elle ne manque jamais de virtuosité dans ses séquences automobiles, la mise en scène, comme toujours chez Mangold, préfère l’élégance d’un certain classicisme à la frime tapageuse.
Closer
Un western moderne mené 200 à l'heure par James Mangold, et un Christian Bale encore bluffant.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le Mans 66 ne se contente pas de rester au ras du sol de l’affrontement entre le constructeur américain Ford et l’italien au cheval cabré Ferrari, lors de l’édition 1966 de la célèbre course de 24 heures. Le Mans 66 est d’abord une histoire d’hommes, d’amitié entre le pilote Ken Miles et l’ex-pilote reconverti en patron d’écurie Carroll Shelby.
Elle
Il est fascinant de voir un film issu des studios américains fabriqué à l'ancienne.
Femme Actuelle
Cette histoire vraie nous interroge sur la dérisoire vanité de l'espèce humaine, quand elle tourne ainsi en rond, en circuit fermé.
Franceinfo Culture
Son suspense est haletant de bout en bout, jusqu’à un final inattendu. Décapant.
L'Obs
Ce film est un bonheur.
Le Dauphiné Libéré
Avec cet intérêt particulier que, si la technique a fait depuis des progrès considérables et si la façon de filmer la course démontre une virtuosité hors pair, celle-ci cherche moins l’effet pour l’effet, mais plutôt, en refusant les facilités du numérique, un classicisme en phase avec ce qu’était la réalité de la course automobile de l’époque.
Le Figaro
Un film où la précision rivalise avec le suspense.
Le Journal du Dimanche
Dans la lignée de "Rush" (2013), de Ron Howard, le cinéaste américain place sa caméra au ras du bitume et filme les courses avec une virtuosité, une énergie et une intensité jubilatoires.
Le Point
Le Mans 66 est lent à l'allumage, mais une fois entraîné dans la course on se prend de passion pour la quête ambitieuse de ces fous du volant.
Les Fiches du Cinéma
Film de courses de voitures le plus impressionnant depuis "Rush" de Ron Howard, "Le Mans 66" s’impose comme un biopic solide et à l’“ancienne”, axé bien davantage sur l’histoire d’amitié entre Ken Miles et Carroll Shelby que sur la rivalité entre Ford et Ferrari.
Libération
Si on aime ça, les voitures rutilantes et les courses de F1, la vitesse sur circuit à perte de vue, le vintage sous le capot (Ferrari ou Ford), "Le Mans 66" est un divertissement de belle facture.
Ouest France
Une histoire humaine autant que mécanique, dans un film trépidant.
Positif
La qualité du récit et la maîtrise de la réalisation arrivent à susciter un certain suspense alors que l'issue est connue, en partie grâce à l"extraordinaire prestation de Christian Bale, prodigieux.
Sud Ouest
Dirigé par James Mangold (« Logan », « Wolverine »), « Le Mans 66 » suit cette épopée humaine autant que technologique. Belle course.
Télé 7 Jours
Un grand film, à voir séance tenante.
Télérama
Un divertissement rutilant.
Voici
Il faudra, cette année 1966, toute l'ingéniosité créative de Caroll Shelby, préparateur auto, et l'adrénaline de Ken Miles. Vibrations !
aVoir-aLire.com
Contre toute attente, Le Mans 66 est une aventure réjouissante qui, certes, ne fait pas vraiment honneur à l’écologie et à la lutte contre le dioxyde de carbone, mais entraîne les spectateurs, même les moins passionnés de courses automobiles, dans un récit haletant et rythmé.
Cahiers du Cinéma
Un bolide viril et vrombissant tout droit sorti des années 50. (…) On peut prendre plaisir à cette vision quasi frelatée, couplée à une mise en scène sachant jouer de son épaisseur de trait.
Ecran Large
Appliqué mais peu inspiré du côté des hommes et leurs problèmes terrestres, James Mangold trouve des raisons de vibrer avec les voitures et leurs pilotes. Là, le cœur du film s'emballe et "Le Mans 66" décolle, autour d'un Christian Bale encore une fois impeccable.
La Croix
En définitive, bien que par moments agaçant, ce film d’action, d’éloquence sportive, de bravoure humaine et d’histoire industrielle tient ses promesses et va même au-delà.
La Septième Obsession
"Le Mans 66" est un modèle d’efficacité et de fluidité narrative qui nous rappelle à cet art de conteur d’histoire qui se perd peu à peu.
La Voix du Nord
Spectaculaire mais un peu long, surtout pour des bolides censés rouler à 300 km/h.
Le Monde
On trouve ainsi dans son film de quoi sustenter les amateurs de sensations de forte cylindrée, avec rugissements de moteur poussés à bloc, caméras embarquées dans les bolides, prises de vues au ras du bitume, coups tordus, branlebas électrique des stands, endurance des hommes et des machines, adrénaline de la course et des duels à mort qui s’y livrent.
Les Inrockuptibles
Mangold opère ici à sa vitesse de croisière (...), hélas en-deçà de ses meilleurs films (Logan, Knight and Day, Copland). Veillant à offrir au fan ce qu’il est venu chercher (des carrosseries chromées, des plans sur des jantes, des vrombissements de moteur) sans s’aliéner le néophyte, il filme à hauteur d’homme, sans génie mais avec un indéniable savoir-faire, cette histoire d’outsiders prêts à tout sacrifier à leurs rêves.
Première
Mais, car il y a un mais, Mangold passe totalement à côté du traitement des femmes. (...) La fausse note de ce divertissement de bonne tenue.
Critikat.com
Le Mans 66 prend sans ambiguïté le parti des créateurs tout en constituant, c’est pour le moins contradictoire, un modèle de film de studio formaté.