Derniers Avis : Qu'est-ce qu'on a encore fait au Bon Dieu? - Page 13

Encore meilleur que le precedent.
Le rapport entre les parents et les beau-fils est superbement amene.
Le plaidoyer pour la France est mignon, meme s'il passe par de petites tricheries.
J'ai passe un excellent moment avec ce film.

Parfaitement réalisé et bien joué,mais pas drôle,la mayonnaise ne prend pas du tout ,quel dommage !Pourtant le film premier du nom était réussi...

Cette suite est aussi bon que le premier film , la première partie du film est trop lourde au niveau des cliché sur les quatre beau frère de la famille verneuille , trop de blagues lourdes sur les juifs , les algériens , les chinois ,les catholiques ,les africains , la deuxième partie du film est un peux légère et un peux drôle , la fin du film est prévisible , mais le film nous rappelle à tous que la tolérance en France est primordial pour vivre en parfaite symbiose avec les un et les autres sans faire d’amalgame .mercie au acteurs et réalisateur pour nous montrer qu’on peut tous s’aimer et se respecter en étant tous de pays différent ☺�

Après le carton du 1er épisode, une suite s'imposait, du moins financièrement... Les ressorts sont les mêmes, les défauts aussi. On joue sur les clichés, c'est parfois drôle, parfois lourd. Le casting fait le boulot, surtout Clavier et Lauby. Abittan est aussi mauvais que dans le 1er. Le réalisateur aurait tout de même pu éviter le discours pro-Taubira et pro-Macron qui sont loin d'apporter quelque chose dans ce genre de comédie basée sur la dérision.

Pas mal ....mais le premier était plus drôle. Ce qu'il manque a ce film c'est de ne pas avoir vu leur voyage et la rencontre avec les parents des gendres..ça aurait été sympa. CLavier est parfait... une bonne comédie quand-même. On passe un bon moment.

Une phrase, un cliché... Après l'immense succès du premier, il ne fallait pas s'attendre à beaucoup de changements de la part de Philippe de Chauveron et effectivement le réalisateur, qui a fait d'autres films du même genre depuis le premier, a gardé la même recette. On retrouve les mêmes réunions familiales chez les Verneuil avec les mêmes remarques censées être drôles sur les origines ou religions des beaux-fils. Ces derniers ont une part importante dans l'histoire, car ils décident de lancer un business ensemble qui se solde par un échec. A la suite de cela, ils décident de partir avec leurs épouses dans leurs pays d'origine, ce qui est évidemment déplait à Claude et Marie Verneuil qui vont tout faire pour que leurs gendres changent d'avis sur la France. Comme pour le premier, c'est un film sur le vivre ensemble, même si c'en a pas l'air à première vue, mais aussi sur la France, car pendant une bonne partie du film, les parents essaient de montrer que l'herbe n'est pas forcément plus verte ailleurs. J'avais trouvé le premier moyen et cette suite est au même niveau. On ne propose que du réchauffé, il n'y a rien d'original que ce soit au niveau de l'histoire ou de l'humour. Ils ne se sont pas foulés et ça se ressent. Pour autant, et comme pour le premier, c'est un film qui n'est pas déplaisant à suivre en grande partie grâce aux acteurs qui s'en sortent bien même si tout est surjoué. Au final, c'est comme pour le premier, c'est une petite comédie correcte, mais sans plus. Pas une suite nécessaire en tout cas.

La famille Verneuil revient pour de nouvelles péripéties. Mais que pourrait-il bien les perturber de nouveau ? Pas grand chose à priori.. Et le film terminé, on ne peut s’empêcher de penser que l’histoire choisie n’était pas une grande idée. Le caractère improbable de la situation ( spoiler: toutes les filles veulent quitter la France en même temps
) peut laisser perplexe. Pourtant, les 5 premières minutes constituaient un bon départ, le couple Verneuil en visite dans les belles-familles réparties au quatre coins du monde. Le choc des cultures auraient pu être stratosphériques et le duo Clavier/Lauby (seule véritable force du film finalement) mis à contribution pour une cause beaucoup plus drôle. Or, plus le film avance et plus l’ennui nous gagne mais heureusement pas au point de lâcher prise avant la fin, c’est déjà ça..

Quel ennui ! Du réchauffé, des dialogues ennuyeux saupoudrés de blagues qui ne font rire que le dialoguiste, les clichés finissent pas être d'un autre temps. De l'humour bien épais et bien gras envers lequel je n'accroche pas. Navet 1 !!!

On pourrait y chercher pendant des heures un quelconque fragment de cinéma, rien de tel là-dedans. Car cette suite se conforme à la laideur congénitale du format Philippe de Chauveron et, à ce titre, la première partie du film frôle la catastrophe : le cadrage hasardeux n’a d’égal que l’enchaînement des plus aléatoires de l’intrigue, les prestations laissent à désirer, les titres s’insèrent mal dans l’image (c’est dire !). Problème que l’on retrouve en guise de clausule, lorsque tout semble se résoudre sur un coup de baguette magique vraiment malvenu. En dépit de ce déficit cinématographique total, reste néanmoins la performance d’une poignée d’acteurs plutôt convaincants et à l’alchimie parfaite : le couple Clavier/Lauby fonctionne à merveille et porte à lui seul le comique, aidé par sa confrontation avec un autre duo savoureux mais trop absent, Nzonzi/Kamate. Car Qu’est-ce qu’on a encore fait au bon Dieu s’apparente davantage à une comédie de boulevard qu’à un film ; et c’est lorsque les acteurs s’emparent enfin d’une intrigue mal fichue que l’ensemble gagne en fluidité et en drôlerie. Moins faussement corrosif que le premier opus et plus généreux dans ses scènes comiques, le retour de la famille Verneuil s’avère être assez distrayant et fait preuve, lors de son segment médian, d’une dynamique burlesque qu’il serait injuste de bouder à la considération de la grande médiocrité qui l’entoure. Dommage également que la thématique de l’homosexualité ne serve que de prétexte à une revanche inter-familiale, sans délivrer une véritable réflexion sur sa place dans les familles (il n’y a d’ailleurs aucun baiser entre les actrices). Mais cette carence est à l’image du propos politique développé par le film : maladroit et unique support à l’escalade burlesque ici pas désagréable.

Pour une suite, le film s'en sort bien. Il joue avec une certaine aisance avec les débats actuels autour des origines ethniques, de l'intégration à l'identité française. Le scénario n'a pas grand intérêt mais les dialogues sont plutôt réussis. Mention particulière aux 4 gendres, qui mettent un certaine distance ironique avec leur personnage. Comme pour le premier opus, la réussite de film est de ne pas faire porter la xénophobie sur le seul personnage du père (Clavier) mais sur tous les autres, ce qui allège le côté manichéen attendu. Chose curieuse, les clichés racistes semblent exclusivement concerner les personnages masculin.

Si le premier opus se voyait sans déplaisir et possédait quelques bonnes scènes savoureuse, cette suite est tout simplement navrante, enchainant les clichés, poncifs et autres facilités. Un très mauvais boulevard ou Clavier cabotine à gros sabots et ou Ary Abittan est totalement grotesque à en faire des tonnes avec son personnage. Une ratade absolue.

Malgré un bon scénario, un rythme bien enlevé et quelques répliques assez drôles, l'ensemble n'est pas d'un grand niveau comique. Christian Clavier, Chantal Lauby et Ary Abittan sont plutôt bons mais assez mal servis par des dialogues peu recherchés. On attend toujours la grosse blague qui nous décrochera la mâchoire mais rien ne vient. Au final on passe un assez non moment, mais on est très loin de la franche rigolade.

Comédie divertissante où les préjugés entre les différences ethniques sont utilisées pour faire rire à l'instar du premier opus

Une si belle réussite, en 2014 (en termes d'entrées : plus de 12 millions, pour la seule France !) ne pouvait qu'appeler une suite, espérée aussi juteuse par les producteurs. Chose faite - ce "bis" sort début 2019.
La France est devenue invivable pour les quatre gendres Verneuil : le Juif ne se sent pas les coudées franches pour réussir dans les affaires, le Maghrébin est trop à l'étroit dans une pratique du barreau où il se communautarise à son corps défendant, le Chinois de Montreuil a peur de l'insécurité.... et l'Ivoirien acteur ne se voit proposer que des panouilles. Dûment soutenus par leurs moitiés angevines, ils s'apprêtent à s'exiler. Le notaire (qui part à la retraite) chinonais, alias Christian Clavier (plus chafoin que jamais - mais en version court sur pattes et bedonnant), et son épouse Marie (Chantal Lauby - dont la prestation ne sauvera rien - au rebours du premier opus), marris de voir leurs petits-enfants s'éloigner géographiquement, tentent alors le tout pour le tout, afin de conserver leur nichée multiculturelle à vue... La sauce étant par ailleurs allongée avec une intrigue bis, "taubiresque", concernant la branche rapportée ivoirienne....
Philippe de Chauveron et son coauteur tirent à la ligne comme jamais, et le premier tâcheronne à l'unisson, pour le volet "mise en scène". Au résultat : une resucée du "1", c'est-à-dire de la propagande vivre-ensembliste "light", et "humoristique". Du bien lourd, du bien indigeste.... Résultat en demi-teinte, côté box office : moitié moins d'entrées France, à fin mai 2019. Mon Dieu, préservez-nous d'un n° 3 !....

Certe, le film Français es à la ramasse dans pas mal de genre MAIS sur celui de la comédie: Rien à Dire! 1h30 de pure délire, franche rigolade et d'un soupçon de "A ouhai c'est vrai que le Français de base..." Sans être méchant. Les acteurs sont magnifique, un casting superbe, c'est énergique, on ne s'ennuie pas VRAIMENT! Gros point fort ultra "Chauvin" dans un sens sur les délices du terroir Français bien mis en avant et qui fait la part belle aux grande ville du pays, C'est tres rare que la campagne vol la vedette a la capitale. Aaaahh que sa fait du bien de rire autant. MERCI au Staff complet du film!