Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Margherita Gera
Malgré quelques faiblesses, le film de M. Luthardt s’envisage comme un récit d’émancipation troublant et intemporel, qui met en lumière une actrice prometteuse.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Thierry Chèze
La demeure isolée va devenir le théâtre d'un huis clos où la révélation des secrets des protagonistes va nourrir les rebondissements du récit.
L'Obs
par S. G.
Il est question de réfugiés, de guerre, bien sûr (celle de l’Ukraine qui s’est engouffrée en Europe comme les personnages s’engouffrent chez Luise ?), mais – aussi et surtout – de guerre des sexes dans ce beau conte tendu sur l’émancipation d’une jeune femme.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Ma. Mt
Ce kammerspiel psychosexuel, librement transposé du Renard (1928), de D. H. Lawrence, se fait ainsi le théâtre de préoccupations théoriques qui ne rencontrent qu’incidemment le contexte de la Grande Guerre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Thierry Chèze
Mais l’intrigue se révèle trop mince pour tenir ainsi 100 minutes malgré la qualité de la réalisation tout en sobriété de ce quasi huis clos, créant sur la longueur une certaine artificialité et par ricochet une distance avec ce qui se déroule à l’écran.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Augustin Pietron-Locatelli
Mais les personnages sont à peine écrits et les dialogues en français sonnent un peu faux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
Malgré quelques faiblesses, le film de M. Luthardt s’envisage comme un récit d’émancipation troublant et intemporel, qui met en lumière une actrice prometteuse.
Ouest France
La demeure isolée va devenir le théâtre d'un huis clos où la révélation des secrets des protagonistes va nourrir les rebondissements du récit.
L'Obs
Il est question de réfugiés, de guerre, bien sûr (celle de l’Ukraine qui s’est engouffrée en Europe comme les personnages s’engouffrent chez Luise ?), mais – aussi et surtout – de guerre des sexes dans ce beau conte tendu sur l’émancipation d’une jeune femme.
Le Monde
Ce kammerspiel psychosexuel, librement transposé du Renard (1928), de D. H. Lawrence, se fait ainsi le théâtre de préoccupations théoriques qui ne rencontrent qu’incidemment le contexte de la Grande Guerre.
Première
Mais l’intrigue se révèle trop mince pour tenir ainsi 100 minutes malgré la qualité de la réalisation tout en sobriété de ce quasi huis clos, créant sur la longueur une certaine artificialité et par ricochet une distance avec ce qui se déroule à l’écran.
Télérama
Mais les personnages sont à peine écrits et les dialogues en français sonnent un peu faux.