Derniers Avis : OSS 117: Alerte rouge en Afrique noire - Page 9

Un troisième volet plutôt réussi, mêlant l'humour habituel dans son époque avec des clichés malheureusement à peine exagérés. Le duo Dujardin Niney est surprenant mais fonctionne bien.
Je déplore cependant la fin, qui nous laisse sur notre faim, c'est le cas de le dire.

OSS 117 (Jean Dujardin) part à la recherche de OSS 1001 (Pierre Niney) en Afrique. Le duo formé par les deux comédiens fonctionne bien, OSS 117 reste égal à lui-même : raciste et macho. Il y a quelques scènes sympathiques mais on n’éclate jamais de rire non plus. On retrouve le personnage et l’univers de OSS 117, ce qui n’est pas déplaisant. Le rythme n’est pas hyper soutenu même si on ne s’ennuie pas non plus.En fait tout est sympa mais sans plus, pas mémorable donc, mais pas désagréable non plus.

Jean Dujardin connait son personnage par coeur et, même si je le trouve moins intéressant que son Brice, continue de le faire fonctionner pour le plus grand plaisir du spectateur. Le changement le plus notable, et ce n'est pas surprenant est le changement de réalisateur. Après le facétieux Michel Hazanavicius, place au ténébreux et idéaliste Nicolas Bedos. En effet, ce 3e épisode a des atours plus sérieux, plus 1er degré, plus critique tout en rêvant ouvertement à un monde meilleur. La critique n'est pas qu'envers le colonisateur français mais aussi contre le politique africain (géniales scènes des sosies). Une façon de se moquer qui va gratter plus loin, moins dans l'exercice de style, plus dans l'utopie. C'est vrai au fond, que sommes nous aller embéter les africains avec nos théories étriquées ? La mise en scène est soignée profitant des cadres restés furieusement sauvage de l'Afrique. Bonne apparition de pIere Niney. Mon préféré de la série curieusement.

Je revois le film sur ma tv, et bizarrement je passe un meilleur moment qu'au cinéma.

Peut-être en attendions-nous trop à sa sortie... D'ailleurs, n'oublions pas que les 2 premiers opus n'étaient pas autant attendus.

Quoiqu'il en soit, second visionnage bien plus agréable que le premier. Le duo Dujardin-Niney fonctionne bien, OSS est égal à lui-même et même si l'histoire est un peu faiblarde, on passe finalement un moment sympa. A condition de ne pas attendre un chef-d'œuvre.

Oh la grosse déception. Les deux premiers Oss avec son espion « très français » m’avaient énormément fait rire, la promesse de le voir évoluer dans la Françafrique aurait pu faire des étincelles, las le film se vautre totalement en voulant faire une critique du politiquement correct qu’il ne réussit même pas. Les deux premiers Oss fonctionnaient aussi beaucoup sur la parodie des films des années 60 qui manque cruellement ici. En fait il semble y avoir une incompréhension totale de ce qui faisait le succès du personnage dans le film d’Hazanavicius, déjà dépassé et gaffeur dans les années 50 60, il est montré dans cette version comme un James Bond qui sait même replier une carte. Jean Dujardin même s’il semble bien s’amuser avec Pierre Niney semble d’ailleurs un peu perdu avec la direction que prend son personnage. La critique du post colonialisme est quasi inexistante. Pour reprendre une des répliques du deuxième non seulement il n’est pas drôle, mais il n’est même pas rigolo.

Excellente comédie avec un jeu d’acteurs plein de drôlerie. Le contraste Dujardin / Niney est très réussi, les répliques font mouche et les situations cocasses ont diverti adultes et ados :)
MERCI !!

Après 2 épisodes excellents, OSS 117 est de retour.
Cette fois c'est Nicolas Bedos à la réalisation, passant cette fois au années 80 le film peine à se renouveler...
Cependant l'intrigue, les personnages, l'humour et la prestation de Jean Dujardin et de Pierre Niney sont tout à fait acceptables...
Bref, un cran en dessous des deux premiers épisodes, mais cela reste un bon divertissement.

Quel film plat... Très rarement drôle. Je me suis fortement ennuyé. OSS117 a perdu dans ce film tout le piment qui faisait son charme. En même temps je ne suis pas surpris, c'était Nicolas Bedos à la réalisation. Je n'ai jamais compris son succès. Enfin bref film oubliable et à oublier!

Bon, les deux premiers m'ont fait sourire, mais là, stupeur; il n'ya rien d'autre que de la grossièreté, je me suis endormi devant peu de sourires. Stop !

OSS 117 revient plus de 10 ans après sa dernière mission au Brésil. Cette fois-ci, c'est à Nicolas Bedos que revient la lourde tâche de perpétuer les aventures du meilleur agent secret français. Alors ? Mission réussie ? Pas vraiment. Si Jean Dujardin est toujours aussi à l'aise dans le rôle de Hubert Bonisseur de la Bath, tout le reste est en deçà des deux premiers opus de Michel Hazanavicius. Moins drôle, moins irrévérencieux, moins inventif, ce troisième volet est beaucoup trop sage et l'intrigue beaucoup trop poussive pour permettre à ce troisième volet d'être au niveau de ses prédécesseurs. Reste tout de même le plaisir de revoir Jean Dujardin dans son meilleur rôle.

Le personnage principal est devenu trop vieux sa casse le personnage dommage, Pierre Niney le remplace mais il a pas trop de charisme du coup ça lui va pas, mais sinon le film est pas mal avec la même humour que dans les 2 premiers. A voir !

Un peu moins fin, un peu moins hilarant que les opus précédents, mais OSS 117 reste toujours aussi délicieusement raciste, patriote et mysogine. Jean Dujardin est toujours parfait dans le rôle, l'incarnant ici un peu vieillissant, dépassé, avec son orgueil démesuré et ses certitudes même si celles-ci commencent un peu à s'effriter.

je crois que le " moyen " est la note idéale pour le film. On rit un peu, on dénonce beaucoup de choses. malheureusement un film ne peut pas se reposer que sur des blagues politiquement incorrect pour fournir un scénario de bonne qualité.

c'est dommage, j'ai le sentiment de l'inachevé à la fin de la séance.

Ce n'est pas navet, on ne s'ennuie pas mais on regrettera la marque fabrique OSS diluée dans ce film d'aventure classique. Et pourquoi avoir rendu OSS vieillissant? il était bien plus rigolo et irrésistible dans le premier opus !

Bedos a tué Oss 117. Des blagues au mieux pas drôles voire franchement lourdes, une histoire idiote, je me suis rarement autant ennuyé devant un film alors que j'avais adoré les deux premiers.