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John Do
1 abonné
64 critiques
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0,5
Publiée le 16 janvier 2022
Que c'est mauvais. Lourd m, sans saveur voir un peu malaisant dans plusieurs scène à propos du racisme.rien à voir avec les deux premier volet. Je trouve une fois de plus pierre niney sur côté au possible,. Je le trouve pas du tout à sa place dans ce dernier opus. Ou Comment bousiller une franchise
J'ai pas aimé du tout ce 3 volet, nul de chez nul ..histoire bidon , un Pierre Niney pas du tout à sa place....scenario Fade, réalisation nul ......une vrai déception par rapport aux autres
Jean Dujardin après plus de dix ans de pause, reprend le rôle emblématique d’OSS 117 qui lui colle à la peau. Michel Hazanavicius s’étant retiré du projet, c’est Nicolas Bedos qui se place derrière la caméra avec l’appui non négligeable au scénario de Jean-François Halin qui est à l’origine de la transposition parodique à l’écran de l’espion né de l’imagination de Jean Bruce. Le héros ayant un peu vieilli, l’action est judicieusement déplacée sous l’ère giscardienne alors que la « Françafrique » est encore pleinement à l’œuvre. L’occasion pour Hubert Bonnisseur de La Bath de déployer à pleine gorge et avec toute la candeur qui le caractérise son humour lourdingue où racisme bon teint et machisme clairement assumé font bon ménage. On sourit malgré tout souvent même si l’on peut par instants penser que le scénario surfe un peu trop opportunément sur la vague actuelle qui déferle sur les consciences occidentales en pleine introspection. Cette réserve mise à part, on ne peut que constater que Jean Dujardin fait totalement corps avec le rôle qu’il a parfaitement su faire évoluer. La partition de Pierre Niney dans le rôle de la génération montante semble en revanche un peu appuyée au point de se demander s’il était le candidat idéal. On remarquera aussi les très nettes allusions à l’esprit James Bond que ce soit dans le générique ou la reconstitution sympathique des entrées tonitruantes de l’agent 007 dans le bureau de Miss Monneypenny. De la même manière on appréciera les deux ou trois scènes hilarantes entre Jean Dujardin et feu Wladimir Yordanoff, disparu juste après le tournage. Ce troisième épisode, tout à fait réjouissant, se place donc juste derrière « OSS 117, Le Caire, nid d’espions » (2006).
Loin d'être transcendant, OSS 3 ne se réinvente pas là où Bedos avait l'occasion de faire évoluer le personnage à l'image de la société. 90% des blagues sont racistes ou sexistes (les 10% restant étant par ailleurs les blagues les plus drôles), là où les 2 autres opus étaient parfois plus subtils (bien que le racisme et le sexisme soient l'une des identités des films). Ce n'est pas parce que le personnage d'OSS117 se veut patriotique et franchouillard qu'il faut nécessairement plonger dans la caricature raciste. Le personnage de Pierre Niney est justement celui qui essaye de contrebalancer cet aspect mais c'est davantage superficiel que vraiment réfléchi. Dujardin joue bien son rôle qu'il connait sur le bout des doigts et Pierre Niney s'intègre parfaitement mais cela ne suffit pas à en faire un grand film.
si vous n'attendez pas grand chose vous serez déçu : c'est plus mauvais que prévu. Très laborieux, aucune surprise, sourire, aucun écart. Dommage de finir là dessus mais le concept semble épuisé.
Un très bon film sous noté par les critiques. Jean Dujardin, Pierre Niney et Fatou N'Diaye font une excellente performance. Merci à Nicolas Bedos pour ce film riche en rebondissements. Vivement la suite.
La magie n’opères pas. Bedos tente visiblement de copier le style et l’humour mais il est empêché par sa bien-pensanse demago. Ca donne des blagues previsibles et dans grand intérêt. Côté scenario, peu d’idées, et toutes sans intérêt. A quoi sert la panthère domestique du President ? Je ne parle pas’de la musique de l’ile aux enfants… éculé et dans intérêt.
Contrairement à la plupart des critiques, j'ai trouvé ce troisième opus largement supérieur aux deux autres. La qualité de l'écriture en fait une oeuvre bien moins potache que les deux précedentes et notre Dujardin national porte un personnage clairement raciste, patriarcal et frustré. Les situations sont réellement drôles car documentées et plausibles. Nicolas Bedos est un homme de cinéma, qui a le sens du rythme. Bravissimo
"OSS 117 : Alerte rouge en Afrique noire, comédie d'espionnage française réalisé par Nicolas Bedos et sorti en 2021. Onzième film mettant en scène le personnage d' OSS 117 et troisième volet de la saga parodique portée par l'acteur Jean Dujardin, dont les deux premiers films "Le Caire, nid d'espions (2006)" et "Rio ne répond plus (2009)", avaient été réalisés par Michel Hazanavicius. Un scénario de Jean-François Halin, d'après l’œuvre de Jean Bruce. Nous retrouvons OSS 117 dans les années 80. Un changement de réalisateur qui respecte encore l'esprit, la réalisation est toujours de qualité, mais n'en fait pas le meilleur OSS. Cependant le divertissement fonctionne toujours et ce troisième volet reste une bonne comédie
Ce troisième opus reste dans l’esprit des deux premiers mais un cran nettement au-dessous. Surtout par le scénario trop bâclé et l’irrévérence moins fine. Mais l’esprit gratte-cul pour les bien-pensants est toujours là, l’humour noir en plus, et l‘action est menée à fond la caisse (Gordini). Comme nécessaire dans le genre, les acteurs en font beaucoup mais bien. Bon film pour les accros du genre, dont je suis, mais gare à ne pas baisser davantage !
Peut être attendions nous trop de ce dernier volet qui finalement déçoit beaucoup. Les précédents OSS117 avaient un cachet, une marque de fabrique tant au niveau des plans et des cadrages de la camera, de la réalisation et des mimiques de l'espion, ici on a tente de reproduire la génétique d'OSS117 sans convaincre. D'abords parce que nous sommes à l'air moderne (1981) et même si l'espion est toujours amoureux de son beau pays la France, il semble trop décalé avec son temps et ce n'est pas drôle. L'OSS1001 qu'on lui colle dans les pattes casse la dynamique du film, agace et n'est pas drôle finalement; le jeunot critique et se moque du mythe sur l'air d'une réalisation trop moderne, on ne retrouve plus l'essence des films d'OSS117. Trop de scènes de coucheries détaillés, c’était plus subtile avant.. pourquoi faut il mettre 3 scènes différentes bientôt détaillés dans l'histoire, une seule aurait suffit. La surenchère toujours plus du cinéma ? Autre point décevant, les gaffes de l'espion et ses maladresses politiques ne font plus rire, poussés exagérément ou oubliées à certains passages adéquats, ça fait flop. Au final, Dujardin reste OSS117 mais le réalisateur a tout gâché, on ne devrait pas s'ennuyer sur un OSS117 !!
Oss117 se prend au sérieux...et c'est le pire qui pouvait arriver...et ce n'est pas le talent de Pierre Niney ou de Jean Dujardin qui sauve du naufrage cet épisode. J'avais pourtant adoré les deux premiers épisodes...grosse déception. OSS devient convenu, probablement la patte de Nicolas Bedos
Lent, moue, Long, pas drôle, pas irrévérencieux, pas de gros clichés un peu raciste ou de misogynie outrancière, aucun charme quoi, je suis bien content de pas avoir été le voir au cinéma.