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Clément R
14 abonnés
341 critiques
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3,5
Publiée le 4 janvier 2022
Un OSS117 dans la lignée des 2 premiers. Sympa de replonger dans cet univers en Afrique Noire. Drôle et irrévérencieux, il est cependant un ton en dessous des précédents. A découvrir quand même car on passe au final un bon moment
Retour mitigé sur ce 3ème opus. On ne sent plus la patte d'Hazanavicius et la réalisation de Bedos est peu inspirée. Néanmoins le tandem Dujardin/Niney fonctionne bien et la plupart des gags sont réussis.
Aïe ... J'avais adoré les premiers volets d"OSS117" avec leur humour caustique, complètement ringard et déplacé et Hazanavicius y était beaucoup dans leur réussite en insufflant justement ce côté burlesque (autant dans le personnage de Jean Dujardin que dans le scénario). Dans ce 3ème épisode, Nicolas Bedos tente de rendre tout ça sérieux et crédible au point de tout stéréotyper et rendre finalement ce volet totalement triste et indigeste (peu aidé c'est vrai par un Jean Dujardin en mode "service minimum") ...
Je n'ai jamais aimé OSS 117, pas forcément à cause du personnage en lui-même mais plus à cause des époques dans lesquelles il évolue qui ne sont pas des époques qui m'intéressent particulièrement. Je trouve pourtant que ce film se démarque des deux autres d'une très courte tête ayant l'apparence de Pierre Niney. Il apporte un semblant d'intérêt au film qui, sans lui, serait tout aussi ennuyant que les autres. Il ne se passe vraiment pas grand chose, c'est plus une succession de scènes cocasses plus ou moins réussies, ça ne suffit pas à faire un bon film.
Bedos, dont le seul talent est d’être le fils de son père, nous livre une bouillie de cinéma. C'est grossier, bête, méchant, vulgaire, et pire, raciste et sexiste même au second degré. Le film devient gênant et ennuyeux. Comment avec un tel budget et de tels acteurs peut-on réussir a faire une telle daube?
Le 3ème OSS 117. On connait déjà le personnage et ses travers, donc difficile de faire jouer la surprise. Au mieux la connivence... Mais oh surprise ! Si OSS117 se révèle aussi con que dans les 2 premiers épisodes, on a un éclairage intéressant sur la différence entre l'intelligence et la connerie. En effet, en 3 semaines, l'agent sur le déclin apprend le Cobol (bizarre, j'aurais plutôt opté pour le Fortran dans le métier d'agent secret), et devient un as de l'informatique (de l'époque). Mais il reste toujours aussi con, même s'il a appris à utiliser des jokers pour paraître moins raciste, xénophobe et macho. C'est méritable, il fait visiblement de gros efforts. Il a vieilli, il a des problèmes de prostate et d'érection et le viagra est encore loin. Dur pour un agent XXXXL. On lui a adjoint un jeune agent, intelligent et très branché, excellent Pierre Niney. Au bout du compte, même s'il est en mesure de prendre la mesure du degré de connerie de son mentor OSS117, il est largement aussi con que lui. Mais branché. Con et branché. Bedos a fait le job, ce n'est pas un très grand film, sans surprise et dans la continuité (évolutive) du reste. Les blagues sont recevables, rien à reprocher à Dujardin, égal à lui-même (plutôt à OSS117) et au acteurs. Les dialogues et les gags ont du mal à accrocher, il est temps de clore la série de films avant l'accident industriel, auquel le film a échappé de justesse
OSS 117 : Alerte Rouge en Afrique Noire est une agréable surprise. Comme beaucoup, je redoutais fortement le changement de réalisateur (l'humour si provocateur de Michel Hazanavicius ayant marqué de son empreinte les deux précédents volets), et l'humour de Nicolas Bedos ne semblait pas particulièrement être celui des deux films OSS 117. Néanmoins, sur ce plan-là, il n'y a clairement pas de trahison. L'humour est toujours aussi percutant (à l'image du gag présenté dans la bande-annonce, où Hubert Bonisseur de la Bath convainc son supérieur de ses connaissances en géopolitique de l'Afrique en lui affirmant que les Africains sont sympathiques, chaleureux et qu'ils dansent bien). En revanche, si l'humour reste le même, force est de reconnaître qu'il y a une moindre fréquence de gags, ce qui rend ce film légèrement plus faible que le 1er film et sensiblement inférieur au 2ème. Néanmoins, ça reste une jolie prouesse de la part de Nicolas Bedos qui réussit plutôt bien à reprendre le flambeau.
Des gags plutôt que de l'humour. Des dialogues lénifiants. Une histoire qui ne rime à rien. Bref tout est plat et désolant. Même pas à regarder en confinement.
Je me suis régalée avec ce nouveau OSS.... j'adore cet humour qu'on ne voit plus guère.....cet humour décalé qu'on avait des années auparavant et qui n'existe presque plus aujourd'hui.....alors c'est super et génial de voir ça et avec une dérision pas possible...... merci....un très bon moment..... j'étais pliée en deux durant tout le film.....
Quel dommage ! L’idée est bonne, le scénario pouvait faire un bon OSS. Malheureusement, les dialogues et le scénario ne sont pas aussi soignés que les 2 précédents: ils manquent de finition et de détail. Je retiendrai donc peu de moments et répliques cultes, contrairement aux précédents..
En dépit du fait qu’il ne s’agisse clairement pas du meilleur film de la trilogie « OSS 117: Alerte rouge en Afrique noire » n’en reste pas moins un bon divertissement pour tous les fans de ce bon Hubert Bonisseur de La Bath. Malgré l’arrivé d’un nouvel agent OSS 1001, interprété par Pierre Niney, qui apporte un souffle nouveau, cela n’est pas suffisant pour que le film nous offre des scènes cultes comme on peut retrouver sur les deux premiers opus.
Film très décevant. Rien à voir avec les deux autres OSS 117 plein d'humour décalé et drôle du début à la fin. Je pense que ce film sonne la fin des OSS 117 avec Jean DUJARDIN, pourtant bon acteur. Le réalisateur BEDOS est à côté de la plaque avec ce film. Dommage !
Mais où est passé notre Hubert Bonisseur de la Bath préféré ? Celui dont l'élégance à la française et la loyauté n'avait d'égal que son grotesque et son cynisme ?
Quelle déception... Je dois avouer que j'appréhendais le retour d'OSS 117 sur grand écran, surtout plus de 10 ans après le dernier. L'époque n'est plus la même, le réalisateur a changé et les blagues aussi manifestement.
"OSS 117 : Alerte rouge en Afrique noire" est tout ce que les deux premiers opus n'étaient pas : un film ennuyeux où l'humour si particulier et décalé n'existe plus. Je n'ai quasiment pas ri pendant ce film, et je parle en tant que véritable fan de l'humour des deux premiers. Ici, la recette ne fonctionne pas. Et pourtant, vouloir introduire le jeune OSS 1001 en meilleure forme physique et davantage à l'aise avec les femmes qu'Hubert était un pari tout à fait alléchant sur le papier pour donner du fil à retordre à notre personnage principal. Malheureusement la sauce ne prend pas : le grotesque à mourir de rire des premiers films devient ici juste gênant.
Et que dire de la musique qui était si parfaite auparavant. Ludovic Bourse réussissait à retranscrire une ambiance mi comique mi suspens avec génie. C'était une masterclass de bande originale pour une comédie d'espionnage. Ici, c'est clairement aseptisé et oubliable.
Vous remarquerez une chose dans cette critique ; je ne peux m'empêcher de comparer ce dernier OSS 117 à ces prédécesseurs. Sans doute parce que la tâche à relever pour Nicolas Bedos était bien trop grande. On ne fait pas une suite pour le plaisir, il faut que cela ait un impact et que l'on garde la même ligne directrice. Je n'aime pas voir Hubert bafoué de la sorte. On ne le reconnaît plus. Et l'histoire ou le scénario alambiqué n'y changeront rien. Alors bon, peut-être que plusieurs visionnages y changeront quelque chose ? Qui sait ? Les deux premiers sont devenus cultes à force d'en revoir des passages. Mais pour l'instant je ne ressens aucune envie de le revoir. Le temps fera son affaire.