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Marceau Bazin
1 critique
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5,0
Publiée le 11 février 2022
Excellent film plié en deux du début à la fin, un vrai chef-d'œuvre !! Comme quoi ,on peut rire tout avec n'importe qui ! Très sincèrement ça fait plaisir de voir qu'en 2021 les réalisateurs peuvent faire comme bon leur semble.
Horrible … J’étais plutôt fan des deux premiers OSS sûrement parce que c’était la bêtise et le racisme d’Hubert qui été tourné au ridicule pour notre plus grand plaisir. Mais là ça n’a plus rien à voir. Déjà, le pays africain est imaginaire tandis qu’on avait Le Caire ou Rio précédemment. Qui dit pays africain imaginaire dit assemblage de clichés atroces dont une langue atroce imaginaire et les accents qui vont avec. Ce qui ressort n’est plus le racisme et la bêtise du personne d’Hubert mais celui des scénaristes et de la réalisation. L’équilibre subtile des films d’avant n’est plus du tout présent.
Super retour de JD (pour les intimes) et très bien intégré dans le scénario, l'étoile manquante vient pour la fin qui laisse à désirer par le relâchement d'un scénario pourtant prometteur.
Le film manque de pêche et, pire, nous fait adopter un regard totalement inaproprié sur le héros en le faisant descendre de son piédestale. Cela suffit à faire capoter tout le film où on ne suite plus qu'un loser lourdingue au lieu d'un héros burlesque... Triste échec, à tel point que je regrette de l'avoir vu, ce qui m'est rarement arrivé : je voudrais en effacer le souvenir pour d'OSS117 cette image de héros décalé dont se demande "s'il est prodigieusement intelligent ou complètement idiot", et qui faisait la force des précédents films.
spoiler: C'est l'histoire d'un con magnifique hilarant malgré lui, transformé en beauf ridicule.
Ce troisième volet confirme les inquiétudes que le refus d'Hazanavicius laissait entrevoir: Alerte Rouge en Afrique Noire n’est pas au niveau des deux précédents: moins subtil, moins inventif et surtout moins drôle…
Le film débute par un OSS 117 flamboyant qui s'évade en mode super héros. Après une parodie peu inspiré de générique James Bond, celui-ci se retrouve mis au placard par un supérieur qui n'a plus confiance en lui. Pourquoi ? On ne le saura jamais, d'autant qu'OSS devient rapidement un geek talentueux, bonne idée sauf que l'investissement initial n'est ensuite jamais exploité dans une recherche comique.
Le film expose ensuite son concept : OSS 117 a vieillit, il peine à hisser les couleurs, est embarrassé à chaque fois qu'il ouvre la bouche, dépassé en tout point par son alter-ego à 4 chiffres, bref c'est un "has been" et il ne parle même pas anglais.
Le problème c'est que dans les 2 premiers opus le comique de situation naissait du choc spontané entre deux mondes qui se confrontaient et s'assumaient. Notre benêt auto-satisfait aux saillies politiquement incorrectes était imperméable aux réactions outrées du monde. Inconscient de sa bêtise jusqu'à l'absurde. Désormais il se contient et s'excuse d'être dépassé par son temps. OSS ne fait plus rire, il fait pitié.
On flatte le fan service à coup de poliche mais le film a perdu sa finesse ("C’est une femme : peut-être ne pense-t-elle à rien du tout"), le comique de répétition du billet au bagagiste ou du "4 fois donc" ne soutient pas la comparaison avec les "j'aime me beurrer, me battre...". Aucun dialogue ne touche aussi juste que la punchline revancharde pathétique ultime "On en reparlera lorsqu'il faudra porter quelque chose de lourd".
On tente de nous faire rire jaune (et noir) mais c'est paresseux à l'image du gag (rouge) d'un soldat armé avec marteau et faucille ou de la scène #Metoo avec force claquage de fesse en guise de bonjour. D'accord pour témoigner des codes de l'époque mais si le scenario n'a rien d'autre à proposer, on ne rie pas.
Le film aurait pu également exploiter les possibilités offertes par l'association de deux générations d'espion en mode buddy movie. Malheureusement leur relation ne produit rien car réduite à une admiration déçue (copié collé de la relation d'OSS à Rio avec Dolores) puis une compétition où 117 ne s'en sort que par chance (copié collé d'OSS à Rio à nouveau "Voici la carte de M. Trumendous"). Le personnage de Niney est finalement une non rencontre abrégée prématurément.
Reste quelques bonnes idées, spoiler: l'homosexualité refoulée, le sommeil "comme un homme", Micheline en alterego féminime à la poursuite de plaisir charnelle , il n'empêche que la déception prédomine: Ou est passé notre blanquette ?
Le navet total !!! Rien à voir avec les deux premiers volets. Heureusement qu'il y a encore Jean Dujardin toujours magnifique, mais quelle déception après voir tant ri lors des deux premiers films. On s'ennuie littéralement tout au long du film. Aucun gag drôle.
Après avoir apprécié et aimé l'humour lourd et ringard des deux premiers opus, me voilà plongé dans un nouvel OSS 117, apparemment en très mauvaise posture et à bout de souffle. Et ça démarre bien, avec notre cher Hubert subissant la loi implacable de l'âge. Une transformation du personnage travaillée, intéressante et bien mise en scène. L'agent 1001 est arrivé avec une fougue et une excellente interprétation de Pierre Niney. Comme à son habitude, le film nous propose ses plus belles proses, ses phrases lourdes et son humour à répétition. Ajoutons cela un contexte actuel sur fond de racisme et de machisme, et le cocktail est explosif. Si j'ai trouvé parfois cela lourd, cela n'empêche que cela fonctionne, l'effet est là. Une belle satire mise en avant ! Côté histoire, c'est évidemment simple. Mais les nuances de personnages et de rythmes nous font passer un agréable moment.
Un film boudé par son parti pris et un humour particulier et très premier degré, mais qui a plus de profondeur qu'il n'y paraît !
Ce film d'auteur nous fait tous réfléchir sur les bienfaits de la décolonisation des pays Africains (primitifs au passage). Le réalisme saisissant de la culture noire fait peur et pitié et la question du retour du kkk se pose, de façon légitime.
Nicolas Bedos n'a rien compris à OSS 117. Ce n'est pas James Bond ! Heureusement Jean Dujardin est la pour nous rappeler les autres opus, bien mieux. L'absence de musique ou du moins la présence d'une musique vraiment nulle, tire le film vers le bas, notamment le générique vraiment nul. A reserver aux fans, mais c'est le film de trop.
Nicolas Bedos en très petite forme, il nous avait habitués à nettement mieux...il est passé de la finesse et de la subtilité à la caricature grossière qui ne fait même pas rire ... une tucherie ratée..que les acteurs ne sauvent pas hélas...OSS117 est il mort suite à ce film ? A suivre..
Très bon moment passé avec ce OSS117 Je ne comprends pas trop les critiques assassines le concernant Que fallait il faire ? un copier/coller des précédents opus ?
OSS117 est un has been, sur la fin de carrière mais seul lui n'en a pas conscience. Il est toujours aussi incompétent, il ne comprend rien à rien et c'est très drôle Le réalisateur évite (et je l'en remercie chaudement) l'écueil du happy end, avec passage de flambeau vieille/jeune génération.
Vraiment un bon film comique de qualité, qui prend en compte l'évolution du métier d'espion , le fait que oss117 soit complètement dépassé, même s'il finit tout de même par accomplir "connement" sa mission
Le film s'achève, Oss117 est toujours un gros con sympathique. C'est le top
Affligeant. Bedos reprend toutes les schémas des précédents OSS, avec mauvais goût et un humour ras les pacrettes. Il arrive même à faire passer Dujardin et Ninet pour des acteurs de secondes zones. Impressionnant de nullité. N'y allez pas.
Fan de dujardin, fan de la série OSS, et bein suis déçu "grave" comme disent les djeunes ! j'ai à peine souri ... quel gachis en plus j'aime bien le fils Bedos mais là ça prend pas, et c'est pas drôle. On dirait une série B de James Bond tout au plus. Quelle déception dommage. Niney est super mais il est là comme un cheveu sur la soupe.