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Arthurus
1 critique
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0,5
Publiée le 6 août 2021
Ayant adoré les deux premiers volets, j'avais hâte de découvrir ce nouveau film. La déception a été grande, Bedos n'a visiblement rien compris à l'essence d'OSS 117. Le film n'est pas drôle, à part peut-être pour deux ou trois répliques, mais sur 2h de film, ça ne fait pas beaucoup.
Tout simplement affligeant… Michel H. Peut dormir tranquille. On ne rit pas, le bon vieux Hubert fait plus de la peine qu’autre chose. Là où les répliques cultes foisonnent dans les deux premiers, et bien dans ce volet pas une… c’est qu’en même un exploit. Vous avez aimé la bande annonce? Et bien tant mieux car elle est gratuite et vous aurez tout vu du film Du travail sacrément bâclé et encore travail est un bien grand mot Un fan très déçu
Que le pastiche joué par Jean Dujardin aligne au premier degré les pires sorties racistes, coloniales, mysogines et d'extrême-droite comme au temps où on pouvait dire n'importe quoi fait partie, disons, de l'humour franchouillard du personnage, mais il a en face de lui des Africains dont la caricature, elle, ancre bien les clichés. C'est là que l'ambiguïté s'installe... (cf le compte-rendu du festival de Cannes sur Africultures)
Étant un grand fan de la franchise, j'ai eu le privilège d'assister au film en avant première. Je ne voulais pas tomber dans le piège de comparer le film à ses prédécesseurs dès les premières minutes de projection. Je voulais me vider la tête et juste être diverti de la même manière dont j'ai découvert les deux premiers. L'opus commence de manière dynamique et plaisante avec un plan séquence à la Bedos et des répliques percutantes dans la lignée de la saga. On prend alors vite confiance au projet, on rit, on sourit et on s'imagine déjà se faire un ping pong de référence entre amis dans les prochaines années avec les punchlines d'Hubert Bonisseur de la Bath. Cependant, passé cette première demi-heure plus que convaincante, le long métrage tombe dans un déclin total et on cherche encore à y croire malgré tout. Par peur de décevoir les fans, le scénariste Jean-François Halin en fait beaucoup trop à en perdre l'escence même du protagoniste qui devient juste lourd et plus l'agent prétentieux, enfantin, moqueur mais subtile qu'il était. On se retrouve avec un scénario, certes subversif mais trop brut pour être efficace. Arrive alors l'intervention de OSS 1001 qui va sublimer ce plantage en servant de modérateur au film. Mais est-ce vraiment une bonne idée de mettre un personnage premier degré aux côtés de 117? Le personnage ne sert qu'à sortir le spectateur du film et à dire après chaque blague "Oh la la mais c'est débile ! C'est raciste ! C'est homophobe !". Le problème c'est que le spectateur sait tout ça en voyant le film et n'a pas besoin d'avoir le héro de la bienséance et du politiquement correct pour lui dire qu'au fond on ne devrait pas vraiment rire de ça. Et même si les personnages sont mal écrits Dujardin arrive à sauver les meubles et à faire rire même sur les parties moins subtiles mais ce n'est pas le cas de Pierre Niney ininvesti dans le projet. Parlons personnages d'ailleurs: beaucoup trop de personnages inutile avec au rendez vous une receptioniste aillant beaucoup trop de scène pour ne servir qu'à coucher avec les personnages, un grand méchant prometteur (pince à sucre) qu'on nous introduit dès le début du film pour au final n'avoir qu'une scène mineure dans le film ainsi que le rôle de Fatou N'Diaye (on ne sait pas comment elle s'appelle car son nom n'est jamais prononcé dans le film) qui n'interagit avec OSS 117 que sur les 20 dernières minutes du film. Seul le président Mamba à un côté délirant et drôle qui se moule bien à l'esprit de la saga. Le film manque également cruellement de comique de situation et se base un peu trop sur les dialogues. C'est vraiment dommage car ce n'était pas les occasions qui manquaient, on aurait bien vu une scène finale avec Hubert déguisé en Casimir face au dictateur pour retrouver un côté décalé. À la place de ça le climax final est vendu très tôt dans le film et se passe dans un bureau manquant de grandiose et laissant des éléments en suspend. Je suis sorti du film vraiment déçu, ce film avait tout pour réussir au départ mais s'est quand même planté. J'en profite pour souligner un point que j'ai vu dans énormément de critiques comme quoi c'était de la faute de Nicolas Bedos si le film était comme ça : c'est totalement faux car c'est uniquement le réalisateur et il n'a d'ailleurs pas changé une virgule du scénario. Le seul vrai problème c'est que Jean-François Halin a malheureusement perdu la main, Bedos lui nous propose une mise en scène très riche et des plans très esthétique comme il nous l'avait fait dans son dernier film. J'étais vraiment très embarrassé après la séance mais je me suis dit: "Ce n'est pas grave les OSS parfaits existent déjà, et pour voir un Bedos bien écrit il me suffira de me re-regarder la Belle Époque." Je vous conseille tout de même d'aller vous faire votre propre avis en salle en espérant que cette proposition puisse marcher sur vous et afin de soutenir les cinémas ainsi que l'industrie du film.
A part les coincés ou les adeptes de la masturbation intellectuelle, ce film est une réussite et est très drôle. Toutefois un tantinet longuet avec la partie avec Pierre Niney et un Hubert de la Batt un chouïa moins subtil que les deux premiers volets. Moi j y ai retrouvé le Oss que j aime. Son humour, son aspect visuel et un Jean Dujardin au poil.
Rien a voir avec les deux premiers... on est plutôt sur un james bond qu'un OSS. Trop de sérieux, humour décevant, les acteurs sont bons mais on a vraiment perdu le grain de folie de 117 qu'on voulait retrouver pour un personnage voulut dépassé et ringard.
Quel plaisir de retrouver Hubert Bonisseur de La Bath, alias OSS 117, alias Jean Dujardin, en Afrique. Le personnage est toujours aussi drôle pour ceux qui aiment l'humour borderline. Le film est truffé de références géopolitiques avec des allusions à peine voilées aux relations des présidents français avec les africains. Jean Dujardin est secondé par Pierre Niney, sorte d'OSS plus moderne. L'ensemble suit la continuité des deux premiers opus et même si je peux concevoir que cet humour puisse être déstabilisant et ne pas faire rire tout le monde, je me suis bien marré. Mission accomplie pour mon espion préféré et Nicolas Bedos aux manettes.
Catastrophique, lourding, l'histoire est sans intérêt, les blagues archi nulles. Le film est un réel navet sans consistance. Les scènes de sexe ridicules, comment peut-on accepter de financer un film d'une telle médiocrité. Dujardin s'enfonce et que fait pierre dans ce film. Horrible
Je n'avais jamais vu Dujardin dans OSS117 et cela ne m'aurait sans doute pas manqué. De l'humour qui voudrait être mais qui n'est pas. Pas de prime jeunesse, je préfère nettement rester sur le souvenir de Sean Connery en tant qu'espion notoire. Il y avait quand même beaucoup de spectateurs dans la salle, je dois être dépourvue d'humour....
Film distrayant. mais ça sent le réchauffé le Jeu d'acteur qui s'essouffle et scénario simplet ...aucuns gags n'est drôle pierre Binet apporte un peu de fraîcheur mais rien de plus Je ne m'attendais pas à mieux
Quel ennui à regarder ce film ! Seuls Habib Dembélé et Fatou N'Diaye sauvent la mise avec un jeu énergique et complice. L'idée des sosies de Nicolas Bedos est stimulante mais peu et mal développée.
Très très loin des premiers opus qui étaient divertissant la on tombe dans le ridicule la blague carambar et encore les blagues carambar me font plus rire que ce film qui est de trop