Avis : OSS 117: Alerte rouge en Afrique noire - Page 3

Déception à la fin de la projection pour un film qui commençait plutôt bien.
Des scènes copiées/collées du Magnifique avec Belmondo mais le reste du film est bien loin de ce film "culte".
Grosses lacunes d'écriture, on nous répète jusqu'à l'écoeurment les mêmes vannes sur les femmes, les noirs, les femmes, les noirs... Humour de répétition ? Même pas ! Ok Oss117 n'est pas un espion fin et élégant mais N. Bedos en a fait un beauf idiot et malsain. Hubert était lourd et mysogyne dans les premiers opus, il est transformé en ringard abruti et franchement con. Nous perdons toute la sympathie qu'il nous inspirait.
Pourquoi ces scènes de "sexe" inutiles et même pas drôles ?
Spectateur de 11 ans qui s'est ennuyé, spectateur de 14 ans qui nous avait prévenu que ça serait nul, spectateur de 19 ans qui a trouvé le film lourd, spectateur de 21 ans qui a trouvé ça long et moi qui l'ai franchement trouvé décevant et pas assez écrit.
A voir à la télé mais vaut pas plus

Jamais deux sans trois, hélas.

Hazanavicius était parvenu à faire une des choses les plus difficile du cinéma: Un film de série B grand public intelligent, plein d'irrévérence, d'audace, emprunt d'un profond humanisme, d'un peu de mélancolie, de beaucoup d'humilité et dénué de prétention. Le tout destiné à tous les publics, Hazanavicius faisant le pari que les gens sont intelligents, que oui, c'est possible de distraire le peuple avec des choses de qualité. Merci à toi mec !

Ce troisième opus n'a aucune de ces délicates qualités, ce n'est, de bout en bout, que lourdeur.

Décevant. Globalement décevant. Et la raison est simple: la main de Nicolas Bedos a tremblé. Il n'a pas osé aller trop loin, il n'a pas voulu avoir la même liberté de transgression que Hazanavicius. Résultat : OSS a muté, il a acquis une conscience. Par exemple, lorsqu'il sort une énormité, comme dans les deux précédents films, il se reprend, réalise qu'il a eu tort de dire ça, s'excuse ou reconnaît son erreur, redevient normal, politiquement correct. Bedos a eu peur. A t'il été influencé par le wokisme ? Toujours est t'il qu'OSS 117 n'est plus le même. On ne le reconnaît plus. Et il n'est plus drôle. Le film fait rarement rire, et ne laissera pas de répliques cultes, contrairement aux films précédents. C'est triste, on est déçus, d'autant plus que l'attente était grande. Alors oui, le film est une très belle reconstitution, les paysages et les décors d'époque se regardent avec plaisir. Et pour remplacer l'humour transgression, Bedos a fait le choix de se rapprocher d'un véritable pastiche de James Bond, avec son générique, son méchant avec la main-crochet etc. Cette parodie est plutôt réussie. Mais sans l'humour qu'on espérait, qu'on attendait. Quelques trouvailles sont amusantes (OSS se met à l'informatique), mais le plus triste est de voir que les acteurs n'y croient pas. Dujardin, vieilli, semble désemparé par le rôle biaisé qu'on lui fait jouer. Quant à Pierre Niney, ce formidable acteur, il s'est fourvoyé: c'est une énorme déception, il surjoue, il en fait des tonnes, presque jusqu'au malaise. Le OSS 117 qui nous faisait rire n'existe plus (surtout, ne faites pas un 4e épisode!), et c'est bien ça qui nous rend triste à la sortie...

Quelle tristesse, notre pauvre Dujardin qui se débat pour essayer de sauver les meubles.... j'ai souri une fois, même pas de quoi mettre une étoile. Tout est nul, scénario débile, blagues recyclées lamentables, comment à partir d'un scénario certes nul peut-on arriver à réaliser aussi mal. Bedos n'a que le nom de son père.

Original, certaines scènes intéressantes et hilarantes. L'humour est décalé, mais parfois avec un peu de lourdeurs et de manque de spontanéité (notamment avec les Africains/noirs).
Il y a eu un effort dans la réalisation mais le scénario reste quand même a un niveau en dessous par rapport aux 2 premiers films.

Pas trop bath la nouvelle aventure d'OSS 117, réalisée par Nicolas Bedos, dont on pressentait qu'il ne serait pas l'homme de la situation. Notre héros, jadis si touchant dans son incommensurable bêtise et arrogance narcissique, n'est plus que l'ombre de lui-même et pas seulement parce qu'il ne parvient pas à "hisser les couleurs." L'arrivée d'un réalisateur qui évolue dans un humour bien différent de celui d'OSS promettait du neuf et de l'inédit mais ce n'est qu'à la marge, avec des clins d’œil poussifs à notre époque, comme s'il était utile de moderniser l'espion, en lui mettant même dans les pattes un jeune godelureau, sa parfaite antithèse. Les deux premiers opus fonctionnaient bien par leur sens de l'absurde et une écriture relativement fine qui semblent avoir disparu dans un scénario grossier, pour aboutir à une version folklorique de James Bond, ce dont on n'avait nul besoin. Cela dit, c'est une manière de se rapprocher des livres de Jean Bruce, lesquels n'ont jamais brillé par leur subtilité. Le problème majeur est que l'on ne rit quasiment jamais (le quasiment est de trop) devant les "mots d'esprit" teintés de racisme et de peu politiquement corrects dans la bouche de l'espion qui venait de René Coty. Jean Dujardin n'est pour rien dans cet échec, fidèle à son personnage, pas plus que Pierre Niney, plutôt à son aise, mais le peu d'attention apportée aux autres protagonistes ajoute encore à la déception ressentie dans cet opus qui restera loin des deux précédents. Plutôt que d'attendre un hypothétique quatrième volet qui aura du mal à satisfaire aux attentes, pourquoi ne pas ressortir les films d'André Hunebelle des années 60, à commencer par Banco à Bangkok pour OSS 117 ? Sans doute plus drôles et divertissants. Enfin, pas sûr.

Je n’ai pas rigolé une seule fois du film.
Jean Dujardin venu en touriste, les dialogues, l’histoire, tout est mauvais.
Je met une demi étoile pour l’effort fourni sur les décors et l’atmosphère « Afrique noire ».
Ne perdez pas votre temps, à fuir absolument.
spoiler: Ps: les scènes repetées d’actes sexuels confirme le deficit d’humour flagrant

Je n’en attendais pas grand chose et pourtant...
L’humour qui est censé faire l’essence du film est raté !! Il est lourd, maladroit et vire bien souvent au grotesque !!
L’engagement politique derrière les lignes des dialogues rapproche du 1er degré et zappe tout humour, on en tombe même régulièrement presque dans la gêne !!
(De rares moments sont amusent et bien pensés)

Qui plus est, le film n’est pas structuré, il traine en longueur, il fait brouillon et il n’y a aucun développement des personnages, on saluera la présence ennuyante du personnage incarné par Pierre Niney.
Le succès (si il existe) se base sur ses prédécesseur et est porté par Jean Dujardin.
Grand fan des opus précédent la déception est de taille, le film est de mauvais goût, vous serez déçu, pourvu qu’il ai la dignité de ne pas en sortir un énième...

Ennuyeux,pas drôle, long, dialogue et répliques nuls. Une vraie déception après les 2 premiers opus. A éviter absolument

1h56 sans le moindre rire, une absence totale de rythme, des chutes attendues, des personnages bâclés et un OSS qui rate une occasion de se renouveler (le perso comme le film).

C'est un sublime raté.

On va me dire c’est Bedos, seconde génération, dix-septième degré, humour potache à la clé. Et pourtant sa façon de pasticher le colonialisme, l’homophobie, l’racisme pour mieux les contrer, ne fonctionne qu’à minima dans la rétrospective d’une époque qu’il n’a pas su réinventer. Réalisateur plus intéressant par ailleurs Nicolas Bedos ne fait que reproduire les clichés de l’espion parodié, et se traîne derrière des références qui visiblement le dépassent. Jean Dujardin assume tous les errements et le fait plutôt bien . Pierre Niney en OSS de substitution est très agréable à voir. Les femmes aussi (Fatou N'Diaye, Natacha Lindinger) mais seconds rôles sans consistance à l’image d’une affiche reléguée à la figuration ( Gilles Cohen, Pol White, Wladimir Yordanoff, Habib Dembélé … ).
Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com

Comme présagé, et plus avec le remplacement de Serge Hazanavicius par Nicolas Bedos, ce nouvel opus de la série est moins bon que le précédent. Lui-même nettement moins bon que le premier film. De mal en pis quoi. La mise en scène de Bedos est faiblarde, le scénario ne se distingue pas des précédents, beaucoup trop édulcoré, les gags ne font que très rarement mouche. Je n'ai ri de bon cœur qu'une seule fois. Reste l'interprétation. Dujardin toujours bien dans le rôle (bien que moins de choses à défendre), Niney le seconde bien, et c'est la dernière apparition de l'excellent Wladimir Yordanoff, décédé en 2020. Bref, c'est l'ennui qui a dominé, j'ai même failli m'endormir. Trop poussif et parfaitement dispensable donc...

En 1981, Hubert Bonisseur de la Bath a pour mission d´assurer la réélection du dictateur d'un pays d´Afrique cher à la France.

Il est peu de dire que ce 3e opus très (trop) attendu déçoit. Jean Dujardin, toujours parfait dans le rôle de l´abruti de service, est entouré de Pierre Niney, Natacha Lindinger, Fatou N'Diaye, Gilles Cohen  et le regretté Wladimir Yordanoff, tous très bons dans des seconds rôles non aboutis, sous exploités.

Le scénario semble ne pas savoir où donner de la tête et ne trouve jamais l´équilibre entre son récit d´aventure, le portrait d'Hubert le beauf et les messages politiques. 

Les dialogues tombent à plat et les gags peu originaux sont desservis par une réalisation qui manque de rythme et de précision. L´usage de la musique est aussi mal dosé.

Une comédie satirique politique comme OSS 117 nécessite une précision d´orfèvre absente ici.

sanscrierart.com

N'ayant pas vu les 2 premiers, mon avis porte seulement sur le film et non sur la trilogie dans laquelle il s'inscrit.
C'est un film qui se regarde facilement, l'histoire est simple et Jean Dujardin incarne bien son rôle d'agent imbu de lui même et borderline ; on pourra cependant regretter que les bandes annonces dévoilent les meilleurs punchlines de cet emblématique OSS117.
Il me semble assez clair que l'humour de ce film, à prendre evidemment au second degrés, ne touchera pas tout le monde. Pour ma part, quelques scènes m'auront fait esquisser un sourire. Je terminerai en soulignant le jeu de rôle de Pierre Niney qui a su accompagner OSS117 sans prendre sa place.

Cher acheteur, avant d’ouvrir votre bourse pour acheter ce nouveau OSS 117 réfléchissez par deux fois !
Comme je l’ai lu dans un avis d’un autre spectateur : « Bedos a totalement détruit le génie d’OSS117 ».
Et il est bien là le problème, vulgarité, bonne pensance de cette gauche progressiste (???) et surtout exercice d’équilibriste autour de ces néocolonialistes qui viennent nous polluer les relations avec (dixit le film) l’Afrique noire. Je suis aller voir ce film car d’une part j’avais apprécié les deux premiers opus et que d’autre part je travaille beaucoup avec les pays subsahariens.
Donc du réchauffage de ce qui avec Hazanavicius était une création devient avec Bedos du plagias. Des scènes qui durent, des incohérences (même si c’est une comédie !), des répliques d’une vacuité abyssale et franchement une réalisation sans saveur.
En plus notre Bedos a des problèmes avec les femmes : ou il les aime ou il les prend pour ces cruches.
Comment vais-je retrouver le charme des premiers films ?