Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Ouest France
par Gaël Golhen
Un documentaire bouleversant.
Positif
par Emmanuel Raspiengeas
Une exploration évolutive, d’un genre et d’une forme à nuls autres pareils, auscultation documentaire et poétique du corps social, politique et géographique du Chili, fusionnant le micro des souvenirs de jeunesse du réalisateur, à la macro du cosmos.
CinemaTeaser
par Perrine Quennesson
La trilogie débutée par « La Nostalgie de la lumière » et « Le Bouton de nacre » s’achève avec un sublime documentaire.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Humanité
par Magali Jauffret
Le réalisateur chilien, exilé à Paris après le coup d’État de Pinochet, livre une œuvre de maturité qui mêle paysage, réflexion politique et souvenirs d’enfance.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Patricio Guzman achève cette trilogie par La Cordillère des songes, film poétique, intime et introspectif, prix du Meilleur documentaire à Cannes.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Au sentiment de nostalgie impuissante s’oppose le réconfort de témoignages forts et lucides, notamment les images de la répression gouvernementale d’hier et d’aujourd’hui.
Les Fiches du Cinéma
par Louis Roux
Guzmán prolonge son travail consciencieux sur la mémoire du Chili, se focalisant sur la Cordillère des Andes pour mieux interroger le souvenir des années noires. Sans doute moins maîtrisé mais tout aussi émouvant que ses deux documentaires précédents.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Ce que traque Guzmán, dans une alternance (...) est bien la possibilité d'une révolte. Lorsqu'il filme ces rues désertées par les manifestants, domestiquées par le capitalisme, présenté comme une nouvelle forme de régime autoritaire, il en appelle à une révolution larvée aujourd'hui advenue. Cinéaste de la mémoire chilienne, Guzmán s'est fait, le temps d'un film, l'annonciateur du futur immédiat de son pays. Le songe est devenu réalité.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Yannick Vely
Pour le troisième volet de la trilogie consacrée à son pays, le Chili, après les éblouissants «Nostalgie de la lumière» et «Le bouton de nacre», le documentariste Patricio Guzman renoue avec une veine plus directement politique.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Guillaume Bonnet
À cette vision inouïe, Guzmán accole sa voix off, lente, articulée, consciente de chaque effet de sens, et des interviews d’artistes locaux, qui évoquent à la fois la montagne, sa présence, et la persistance de la blessure des années Pinochet.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
A l’heure où le pays se révolte contre sa misère, il est passionnant de voir ce documentaire qui boucle une trilogie sur cette mince langue de terre entre mer et cimes, et montre que l’histoire ne s’achève jamais.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Mathilde Blottière
Patricio Guzmán l’exilé clôt une trilogie fascinante sur ce Chili qui le hante. Cherchant dans les Andes, somptueuses, les traces des drames de la dictature.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Guzmán revient en terrain conquis et au matériel de ses anciens films.
L'Obs
par François Forestier
Patricio Guzmán, cinéaste de Santiago, se penche, à 78 ans, sur son passé. Documentariste renommé de « la Bataille du Chili » (1979) et du « Cas Pinochet » (2001), il signe ici un essai poétique qui panache la description émerveillée des Andes, le reportage mélancolique sur les années de plomb, le commentaire politique sur la terrible répression lancée par Pinochet.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Julien Joly
Patricio Guzmán dessine, avec "La Cordillère des songes", une œuvre riche et poignante, où l’expérience d’une vie est partagée, livrée sans fard.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Patricio Guzman poursuit son travail de mémoire sur le coup d’Etat de 1973.
Libération
par Julien Gester
Le documentaire de Patricio Guzmán part des Andes pour aligner de belles idées trop éparses sur l’histoire de son pays.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Critikat.com
par Anthony Moreira
La Cordillère des songes [...] s’illustre comme la quintessence du style récent du cinéaste en même temps qu’il en pointe clairement les limites.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par La Rédaction
Après avoir exploré le nord de la Cordillère des Andes pour Nostalgie de la lumière et le sud pour Le Bouton de nacre (Ours d’argent 2015), le réalisateur complète son exploration de cette terre inconnue. S’il cherchait à nous faire rêver, c’est réussi. Trop peut-être. Son film est magnifique, mais soporifique. Une conséquence qui n’était pas prévue.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Ouest France
Un documentaire bouleversant.
Positif
Une exploration évolutive, d’un genre et d’une forme à nuls autres pareils, auscultation documentaire et poétique du corps social, politique et géographique du Chili, fusionnant le micro des souvenirs de jeunesse du réalisateur, à la macro du cosmos.
CinemaTeaser
La trilogie débutée par « La Nostalgie de la lumière » et « Le Bouton de nacre » s’achève avec un sublime documentaire.
L'Humanité
Le réalisateur chilien, exilé à Paris après le coup d’État de Pinochet, livre une œuvre de maturité qui mêle paysage, réflexion politique et souvenirs d’enfance.
La Croix
Patricio Guzman achève cette trilogie par La Cordillère des songes, film poétique, intime et introspectif, prix du Meilleur documentaire à Cannes.
Le Journal du Dimanche
Au sentiment de nostalgie impuissante s’oppose le réconfort de témoignages forts et lucides, notamment les images de la répression gouvernementale d’hier et d’aujourd’hui.
Les Fiches du Cinéma
Guzmán prolonge son travail consciencieux sur la mémoire du Chili, se focalisant sur la Cordillère des Andes pour mieux interroger le souvenir des années noires. Sans doute moins maîtrisé mais tout aussi émouvant que ses deux documentaires précédents.
Les Inrockuptibles
Ce que traque Guzmán, dans une alternance (...) est bien la possibilité d'une révolte. Lorsqu'il filme ces rues désertées par les manifestants, domestiquées par le capitalisme, présenté comme une nouvelle forme de régime autoritaire, il en appelle à une révolution larvée aujourd'hui advenue. Cinéaste de la mémoire chilienne, Guzmán s'est fait, le temps d'un film, l'annonciateur du futur immédiat de son pays. Le songe est devenu réalité.
Paris Match
Pour le troisième volet de la trilogie consacrée à son pays, le Chili, après les éblouissants «Nostalgie de la lumière» et «Le bouton de nacre», le documentariste Patricio Guzman renoue avec une veine plus directement politique.
Première
À cette vision inouïe, Guzmán accole sa voix off, lente, articulée, consciente de chaque effet de sens, et des interviews d’artistes locaux, qui évoquent à la fois la montagne, sa présence, et la persistance de la blessure des années Pinochet.
Sud Ouest
A l’heure où le pays se révolte contre sa misère, il est passionnant de voir ce documentaire qui boucle une trilogie sur cette mince langue de terre entre mer et cimes, et montre que l’histoire ne s’achève jamais.
Télérama
Patricio Guzmán l’exilé clôt une trilogie fascinante sur ce Chili qui le hante. Cherchant dans les Andes, somptueuses, les traces des drames de la dictature.
Cahiers du Cinéma
Guzmán revient en terrain conquis et au matériel de ses anciens films.
L'Obs
Patricio Guzmán, cinéaste de Santiago, se penche, à 78 ans, sur son passé. Documentariste renommé de « la Bataille du Chili » (1979) et du « Cas Pinochet » (2001), il signe ici un essai poétique qui panache la description émerveillée des Andes, le reportage mélancolique sur les années de plomb, le commentaire politique sur la terrible répression lancée par Pinochet.
La Septième Obsession
Patricio Guzmán dessine, avec "La Cordillère des songes", une œuvre riche et poignante, où l’expérience d’une vie est partagée, livrée sans fard.
Le Monde
Patricio Guzman poursuit son travail de mémoire sur le coup d’Etat de 1973.
Libération
Le documentaire de Patricio Guzmán part des Andes pour aligner de belles idées trop éparses sur l’histoire de son pays.
Critikat.com
La Cordillère des songes [...] s’illustre comme la quintessence du style récent du cinéaste en même temps qu’il en pointe clairement les limites.
Le Figaro
Après avoir exploré le nord de la Cordillère des Andes pour Nostalgie de la lumière et le sud pour Le Bouton de nacre (Ours d’argent 2015), le réalisateur complète son exploration de cette terre inconnue. S’il cherchait à nous faire rêver, c’est réussi. Trop peut-être. Son film est magnifique, mais soporifique. Une conséquence qui n’était pas prévue.