Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Première
par Gaël Golhen
Flirtant toujours plus avec l’esthétique documentaire (les caméras embarquées), cette nouvelle dérive dans les sous-sols d’une Russie infernale se présente comme une suite de sketchs terrorisants révélant l’arbitraire d’une société gangrénée par la corruption, la folie et la cruauté.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ecran Large
par Simon Riaux
Sergei Loznitsa livre un pamphlet fascinant, intense et souvent poétique, malgré son refus de la nuance ou de l'équilibre.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par François Forestier
Il ne reste qu'une seule réaction possible : le désespoir. Celui-ci est grandiose.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Une traversée ponctuée d’une série de saynètes glaçantes, comme autant de facettes de l’enfer, sans issue de secours.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Chronique chorale de la guerre du Donbass, le nouveau long métrage de Sergeï Loznitsa pilonne la société ukrainienne à l’artillerie lourde. Si le film ne fait pas dans la dentelle, il dégage une puissance indéniable.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Léo Soesanto
C’est parfois, et forcément, répétitif, insoutenable [...] mais la mécanique [...] vibre d’une énergie irrésistible, impressionnante, qui est aussi celle d’une histoire russe comme condamnée ad nauseam à copier-coller une logique de dominant-dominé.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La rédaction
Puissant.
Paris Match
par Yannick Vely
C’est étouffant, brillant, édifiant et cela confirme qu’il y a bien quelque chose de pourri qui gangrène cette partie du monde.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Yannick Lemarié
[...] Loznitsa nous livre avec "Donbass" une saisissante synthèse de son oeuvre et de sa réflexion sur l'histoire récente de son pays.
Transfuge
par Damien Aubel
Une plongée aussi géniale qu’oppressante dans l’Histoire d’aujourd’hui.
Télérama
par Samuel Douhaire
Le mélange de tragique et de grotesque rappelle "Une femme douce" (son chef-d’œuvre, sorti l’an dernier), mais la farce est plus affirmée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Loznitsa est fidèle à son style radical, alimenté de longs plans fixes et plans-séquence, aux décors urbains lépreux, des zones vagues, avec ici et là des scènes baroques. Son filmage en retrait, observateur, son image froide, le sordide des situations, son rythme languissant, contrastent avec des fulgurances de violences traumatiques. Il faut donc s’accrocher et l’on adhère ou pas, mais le cinéma de Sergei Loznitsa a une réelle personnalité.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Sergei Loznitsa sait filmer et faire naître la tension et le drame avec peu de moyens. Mais comme dans "Une femme douce", son précédent film, il se laisse aller à une forme de complaisance.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par La rédaction
Pas d'explications mais des images explosives: la mise en scène est brillante mais sans pédagogie. Un vrai manque pour un sujet aussi sensible que celui-ci.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le réalisateur dénonce la banalisation de l’horreur et une nation à l’agonie, tout en observant une distance nécessaire.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
"Donbass" est un film militant, politique, vengeur. Mais avec une forme cinématographique très maîtrisée.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Loznitsa mêle comédie bouffonne et drame de guerre pour dénoncer les dérives de la corruption. Déconcertant et inégal, le film est toutefois imprégné d’une réelle énergie.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
Le théâtre agressif de Donbass ressemble à une impasse supplémentaire, victime collatérale de la brutalité qu’il dénonce et symptôme d’une question plus inquiétante : y aura-t-il enfin un grand film contre les agissements de Poutine ?
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Effondrement de la société civile, parodie de la légalité, humanité rendue difforme par l'exercice continu de la terreur et du mensonge. Taillé dans ce bloc grimaçant, offrant peu de place à l'intelligibilité du conflit, le film s'en ressent.
Première
Flirtant toujours plus avec l’esthétique documentaire (les caméras embarquées), cette nouvelle dérive dans les sous-sols d’une Russie infernale se présente comme une suite de sketchs terrorisants révélant l’arbitraire d’une société gangrénée par la corruption, la folie et la cruauté.
Ecran Large
Sergei Loznitsa livre un pamphlet fascinant, intense et souvent poétique, malgré son refus de la nuance ou de l'équilibre.
L'Obs
Il ne reste qu'une seule réaction possible : le désespoir. Celui-ci est grandiose.
La Croix
Une traversée ponctuée d’une série de saynètes glaçantes, comme autant de facettes de l’enfer, sans issue de secours.
Les Fiches du Cinéma
Chronique chorale de la guerre du Donbass, le nouveau long métrage de Sergeï Loznitsa pilonne la société ukrainienne à l’artillerie lourde. Si le film ne fait pas dans la dentelle, il dégage une puissance indéniable.
Libération
C’est parfois, et forcément, répétitif, insoutenable [...] mais la mécanique [...] vibre d’une énergie irrésistible, impressionnante, qui est aussi celle d’une histoire russe comme condamnée ad nauseam à copier-coller une logique de dominant-dominé.
Ouest France
Puissant.
Paris Match
C’est étouffant, brillant, édifiant et cela confirme qu’il y a bien quelque chose de pourri qui gangrène cette partie du monde.
Positif
[...] Loznitsa nous livre avec "Donbass" une saisissante synthèse de son oeuvre et de sa réflexion sur l'histoire récente de son pays.
Transfuge
Une plongée aussi géniale qu’oppressante dans l’Histoire d’aujourd’hui.
Télérama
Le mélange de tragique et de grotesque rappelle "Une femme douce" (son chef-d’œuvre, sorti l’an dernier), mais la farce est plus affirmée.
Franceinfo Culture
Loznitsa est fidèle à son style radical, alimenté de longs plans fixes et plans-séquence, aux décors urbains lépreux, des zones vagues, avec ici et là des scènes baroques. Son filmage en retrait, observateur, son image froide, le sordide des situations, son rythme languissant, contrastent avec des fulgurances de violences traumatiques. Il faut donc s’accrocher et l’on adhère ou pas, mais le cinéma de Sergei Loznitsa a une réelle personnalité.
La Voix du Nord
Sergei Loznitsa sait filmer et faire naître la tension et le drame avec peu de moyens. Mais comme dans "Une femme douce", son précédent film, il se laisse aller à une forme de complaisance.
Le Figaro
Pas d'explications mais des images explosives: la mise en scène est brillante mais sans pédagogie. Un vrai manque pour un sujet aussi sensible que celui-ci.
Le Journal du Dimanche
Le réalisateur dénonce la banalisation de l’horreur et une nation à l’agonie, tout en observant une distance nécessaire.
Les Inrockuptibles
"Donbass" est un film militant, politique, vengeur. Mais avec une forme cinématographique très maîtrisée.
aVoir-aLire.com
Loznitsa mêle comédie bouffonne et drame de guerre pour dénoncer les dérives de la corruption. Déconcertant et inégal, le film est toutefois imprégné d’une réelle énergie.
Cahiers du Cinéma
Le théâtre agressif de Donbass ressemble à une impasse supplémentaire, victime collatérale de la brutalité qu’il dénonce et symptôme d’une question plus inquiétante : y aura-t-il enfin un grand film contre les agissements de Poutine ?
Le Monde
Effondrement de la société civile, parodie de la légalité, humanité rendue difforme par l'exercice continu de la terreur et du mensonge. Taillé dans ce bloc grimaçant, offrant peu de place à l'intelligibilité du conflit, le film s'en ressent.