Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Paola Raiman
Rarement le dispositif d’Hong Sang-soo n’aura été aussi simple, et pourtant Grass frappe par son intensité.
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
[...] la merveilleuse impression d’avoir assisté tout à la fois à un spectacle et à ses répétitions, les deux ayant été, par une magie propre au cinéma, c’est-à-dire au montage, plus ou moins simultanés - chose impossible à reconduire sur une vraie scène.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Critikat.com
par Stella Doukhan
Le parcours du film achevé, il n’est plus directement question d’aller vers l’extérieur, mais de dépasser l’alternative de l’intérieur et de l’extérieur en ouvrant la porte, c’est-à-dire de déployer une hospitalité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Maryline Alligier
"Grass" est un très beau film qui n'invente pas un récit mais une vie nouvelle, où désirer et exister ensemble est possible.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Emile Breton
C’est de la forme même (douce, répétons-le) de cette mise en scène au plus près des personnages que naît le désespoir de vies perdues.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Septième Obsession
par Morgan Pokée
Le film fait des allers-retours entre des constructions métaphysiques sur la création artistique et, de manière plus secrète, la simultanéité physique des vivants et des morts dans un même endroit.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Un film grave, à la forme légère et au noir et blanc épuré.
Transfuge
par Jean-Christophe Ferrari
Rarement Hong aura filmé sur des fonds aussi unis dont le gris cendré et la blancheur grêlée, un peu à la manière de Garrel, qui infusent leur luminescence mate aux visages, comme s'ils les éclairaient de l'intérieur d'une irradiante désespérance.
Télérama
par Jacques Morice
Ce jeu d’échos et de reflets est éminemment troublant, drôle, parfois vertigineux. Il dessine aussi le portrait d’une femme incapable de vivre, sinon à travers les autres. Pour elle comme pour nous, c’est à la fois triste et galvanisant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Franck Lalieux
Orchestrée avec une discrète virtuosité, cette œuvre de Hong Sang-soo, à la durée ramassée, développe des thèmes riches et complexes.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Céline Rouden
Le cinéaste sud-coréen poursuit son exploration de la comédie humaine dans ce joli film en noir et blanc tourné dans un café où une jeune fille note dans son ordinateur les conversations des clients qui l’entourent.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
par Alexandre Buyukodabas
"Grass" est à la fois virtuose et aride : si les cadres et le montage construisent de subtils échos entre ses vignettes, son dispositif frôle parfois l’exercice scolaire.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Une rêverie alcoolisée et enfumée, pour se réconcilier avec ses fantômes.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Damien Leblanc
Au centre du dispositif se trouve en effet une habituée qui semble noter sur son ordinateur toutes les paroles des clients : s’inspire-t-elle des discussions entendues pour écrire des fictions ou les personnages du café sont-ils le fruit de son imagination fertile et angoissée ? Le doute reste permis grâce à une mise en scène virtuose qui nous fait nous demander si l’apaisement final ne constitue pas lui-même une énième illusion tragique.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
par Nicolas Schaller
Le Rohmer sud-coréen tourne deux longs-métrages par an en moyenne. Dans celui-ci, un personnage confesse : "J'ai l'impression de tourner en rond." Le spectateur aussi.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Cet élégant chassé-croisé de solitudes, d’abord séduisant, demeure trop théorique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Le Figaro
par La Rédaction
C'est en noir et blanc et heureusement court. Et comme souvent chez le cinéaste sud-coréen, ça boit beaucoup. Hélas, on n'échappe pas à la gueule de bois.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Ce drame en noir et blanc tourne à vide, sa succession de saynètes s’avère vaine par sa narration décousue, ses héros qui tergiversent à l’infini et sa musique envahissante.
Cahiers du Cinéma
Rarement le dispositif d’Hong Sang-soo n’aura été aussi simple, et pourtant Grass frappe par son intensité.
Libération
[...] la merveilleuse impression d’avoir assisté tout à la fois à un spectacle et à ses répétitions, les deux ayant été, par une magie propre au cinéma, c’est-à-dire au montage, plus ou moins simultanés - chose impossible à reconduire sur une vraie scène.
Critikat.com
Le parcours du film achevé, il n’est plus directement question d’aller vers l’extérieur, mais de dépasser l’alternative de l’intérieur et de l’extérieur en ouvrant la porte, c’est-à-dire de déployer une hospitalité.
Culturopoing.com
"Grass" est un très beau film qui n'invente pas un récit mais une vie nouvelle, où désirer et exister ensemble est possible.
L'Humanité
C’est de la forme même (douce, répétons-le) de cette mise en scène au plus près des personnages que naît le désespoir de vies perdues.
La Septième Obsession
Le film fait des allers-retours entre des constructions métaphysiques sur la création artistique et, de manière plus secrète, la simultanéité physique des vivants et des morts dans un même endroit.
Le Monde
Un film grave, à la forme légère et au noir et blanc épuré.
Transfuge
Rarement Hong aura filmé sur des fonds aussi unis dont le gris cendré et la blancheur grêlée, un peu à la manière de Garrel, qui infusent leur luminescence mate aux visages, comme s'ils les éclairaient de l'intérieur d'une irradiante désespérance.
Télérama
Ce jeu d’échos et de reflets est éminemment troublant, drôle, parfois vertigineux. Il dessine aussi le portrait d’une femme incapable de vivre, sinon à travers les autres. Pour elle comme pour nous, c’est à la fois triste et galvanisant.
aVoir-aLire.com
Orchestrée avec une discrète virtuosité, cette œuvre de Hong Sang-soo, à la durée ramassée, développe des thèmes riches et complexes.
La Croix
Le cinéaste sud-coréen poursuit son exploration de la comédie humaine dans ce joli film en noir et blanc tourné dans un café où une jeune fille note dans son ordinateur les conversations des clients qui l’entourent.
Les Inrockuptibles
"Grass" est à la fois virtuose et aride : si les cadres et le montage construisent de subtils échos entre ses vignettes, son dispositif frôle parfois l’exercice scolaire.
Paris Match
Une rêverie alcoolisée et enfumée, pour se réconcilier avec ses fantômes.
Première
Au centre du dispositif se trouve en effet une habituée qui semble noter sur son ordinateur toutes les paroles des clients : s’inspire-t-elle des discussions entendues pour écrire des fictions ou les personnages du café sont-ils le fruit de son imagination fertile et angoissée ? Le doute reste permis grâce à une mise en scène virtuose qui nous fait nous demander si l’apaisement final ne constitue pas lui-même une énième illusion tragique.
L'Obs
Le Rohmer sud-coréen tourne deux longs-métrages par an en moyenne. Dans celui-ci, un personnage confesse : "J'ai l'impression de tourner en rond." Le spectateur aussi.
Les Fiches du Cinéma
Cet élégant chassé-croisé de solitudes, d’abord séduisant, demeure trop théorique.
Le Figaro
C'est en noir et blanc et heureusement court. Et comme souvent chez le cinéaste sud-coréen, ça boit beaucoup. Hélas, on n'échappe pas à la gueule de bois.
Le Journal du Dimanche
Ce drame en noir et blanc tourne à vide, sa succession de saynètes s’avère vaine par sa narration décousue, ses héros qui tergiversent à l’infini et sa musique envahissante.