Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Récit finalement plus noble que la simple exhumation d’un secret de famille, plutôt une interrogation joueuse, parfois périlleuse, sur les persistances et mutations du soupçon, d’une époque à l’autre.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une œuvre personnelle, subjective et superbement bricolée, dont la dimension intime et le contexte rappellent un documentaire récent sur l’ex-Yougoslavie : l’Envers d’une histoire.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Michaël Naulin
Un documentaire captivant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
D’interviews en archives, une œuvre abrasive et néanmoins tendre sur le poids des secrets de famille.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Vincent Thabourey
Ce télescopage entre le film de famille et le film d'espionnage est une curiosité que l'on aurait tort de négliger.
Télérama
par Mathilde Blottière
L’enquête, à Sofia, d’une trentenaire opiniâtre tisse un documentaire pittoresque et habité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Qui sont nos aïeux ? Quel a été leur rôle dans l’histoire familiale et même nationale ? Autant de questions universelles qui tissent avec un sérieux humour la trame de ce documentaire à la saveur post-communiste.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Chloé Cavillier
Forte de la distance permise par le montage, la réalisatrice questionne sa propre démarche, livrant un film bien plus ouvert et complexe que son autoritarisme le laisse supposer.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par François Forestier
Entre autofiction, documentaire et reportage, ce petit film part d’un concept intéressant, mais patine assez vite.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
À Sofia, Bojina Panayotova filme son enquête avec une voracité gourmande : aux images d’archives radieuses qui exaltaient les Jeunesses communistes, elle mêle avec un certain humour ses rencontres avec les membres de la famille, ses visites aux archives de la police secrète, ses échanges par Skype avec ses parents de plus en plus gênés par l’entreprise.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
En jouant ainsi simultanément sur les deux tableaux, le film se désarme en quelque sorte luimême, affaiblissant d’un côté la sincérité douloureuse de sa démarche, renchérissant de l’autre sa volonté de maîtrise artistique sur le dos des enjeux intimes dont il procède. Il n’en demeure pas moins passionnant et annonce un goût de fiction appelé à s’épanouir.
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
"Je vois rouge" est surtout, et c’est son versant le plus poignant, la confrontation de deux générations. Les enfants du postcommunisme, affamés de vérité, d’images, de transparence et de justice face aux témoins du régime, tiraillés entre l’oubli et les réminiscences du passé.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thomas Baurez
Reste à savoir si le cinéma peut aider à rendre compte de tout cela et si, à force de chercher une vérité, on ne finit pas par ressembler soi-même à ceux que l’on dénonce.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
Récit finalement plus noble que la simple exhumation d’un secret de famille, plutôt une interrogation joueuse, parfois périlleuse, sur les persistances et mutations du soupçon, d’une époque à l’autre.
L'Humanité
Une œuvre personnelle, subjective et superbement bricolée, dont la dimension intime et le contexte rappellent un documentaire récent sur l’ex-Yougoslavie : l’Envers d’une histoire.
Le Figaro
Un documentaire captivant.
Les Fiches du Cinéma
D’interviews en archives, une œuvre abrasive et néanmoins tendre sur le poids des secrets de famille.
Positif
Ce télescopage entre le film de famille et le film d'espionnage est une curiosité que l'on aurait tort de négliger.
Télérama
L’enquête, à Sofia, d’une trentenaire opiniâtre tisse un documentaire pittoresque et habité.
aVoir-aLire.com
Qui sont nos aïeux ? Quel a été leur rôle dans l’histoire familiale et même nationale ? Autant de questions universelles qui tissent avec un sérieux humour la trame de ce documentaire à la saveur post-communiste.
Critikat.com
Forte de la distance permise par le montage, la réalisatrice questionne sa propre démarche, livrant un film bien plus ouvert et complexe que son autoritarisme le laisse supposer.
L'Obs
Entre autofiction, documentaire et reportage, ce petit film part d’un concept intéressant, mais patine assez vite.
La Croix
À Sofia, Bojina Panayotova filme son enquête avec une voracité gourmande : aux images d’archives radieuses qui exaltaient les Jeunesses communistes, elle mêle avec un certain humour ses rencontres avec les membres de la famille, ses visites aux archives de la police secrète, ses échanges par Skype avec ses parents de plus en plus gênés par l’entreprise.
Le Monde
En jouant ainsi simultanément sur les deux tableaux, le film se désarme en quelque sorte luimême, affaiblissant d’un côté la sincérité douloureuse de sa démarche, renchérissant de l’autre sa volonté de maîtrise artistique sur le dos des enjeux intimes dont il procède. Il n’en demeure pas moins passionnant et annonce un goût de fiction appelé à s’épanouir.
Les Inrockuptibles
"Je vois rouge" est surtout, et c’est son versant le plus poignant, la confrontation de deux générations. Les enfants du postcommunisme, affamés de vérité, d’images, de transparence et de justice face aux témoins du régime, tiraillés entre l’oubli et les réminiscences du passé.
Première
Reste à savoir si le cinéma peut aider à rendre compte de tout cela et si, à force de chercher une vérité, on ne finit pas par ressembler soi-même à ceux que l’on dénonce.