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CLAIRE M.
21 abonnés
85 critiques
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2,5
Publiée le 19 septembre 2018
Je suis assez mitigée pour ce film... Alors déjà j'arrive et la salle est vide... vide de chez vide. J'y suis allée pour être honnête pour me faire un avis sur le jeu de Stéphane Plaza..."On doit goûter avant de dire que l'on aime pas" et bien, je l'ai trouvé plutôt bon ! Pas déçu par son jeu d'acteur au contraire ! Il est formidable et je dirai presque, heureusement qu'il est là ! Bon je ne peux pas dire que j'ai ris, non souris à peine plus mais c'est un film pour passer le temps... Donc un 2,5 pour ma part! et Stéphane vivement le prochain film pour que je puisse goûter encore une fois !
Un petit film je m'attendais à pire en lisant certaines critiques mais le film se tient. J'ai été étonné par le jeu de stephane plazza tout en émotion cela change du présentateur des émissions sur M6. Je trouve qu'il se débrouille plutôt pas mal c 'est vrai y a encore du boulot.
On s'ennuie dans cette production où les acteurs n'arrivent pas à convaincre et où on s'attache pas aux personnages. Le rythme est plat, le scénario est trop alambiqué pour être plaisant, on s'ennuie ferme !
Cette comédie franco-belge propose une histoire pour le moins originale. "J'ai perdu Albert" explore efficacement le thème de l'ésotérisme et permet à Stéphane PLAZA de démontrer ses qualités de comédiens. Toutefois, c'est un film que l'on oublie facilement par son manque de perspective et d'enjeu. La mise en scène est un peu molle et le scénario emprunte des chemins faciles et prévisibles.
Ce film au scénario ubuesque est globalement raté. La faute à une histoire difficilement adaptable au cinéma, dont la place est plus dans un livre. Par ailleurs, si l’actrice Julie Ferrier est plutôt bonne dans le film (dans tous les sens du terme), la prestation de Stéphane Plaza est assez pitoyable. Il ne fallait pas donner un rôle si compliqué à un débutant dans le métier de comédien même si j’apprécie le bonhomme dans ses émissions TV.
Voici un film français qui ne manquait pas d'idées, mais qui, à l'arrivée, ne s'en sort pas du fait de plusieurs handicaps. Le premier est à chercher du côté de la mise en scène: Van Cauwelaert est un écrivain brillant, pas un réalisateur, et l'on perçoit très vite les limites de sa technique, sans imagination. Le second (et, faut-il le dire, le plus grave) est le choix de Stéphane Plaza: même avec la pire mauvaise foi, l'on doit admettre qu'il n'est pas un comédien, en tout cas de cinéma, sa passivité n'offrant que peu de prises au jeu, face à une Julie Ferrier qui rame comme elle peut pour emmener l'ensemble. Une franche déception.
On passe un bon moment, le film est plaisant mais reste trop cantonné à son ambition de comédie. C est dommage car plusieurs fois il approche des scènes bien plus riches et propices à la réflexion.
Sur l idée de départ, il y avait matière à faire quelque chose de très intéressant. Une voyante qui profite de l esprit qui l habite, un esprit qui a ses propres objectifs. Les patients qui viennent pour leurs raisons propres et n intéressent ni la voyante ni son esprit. Le point de départ du film me semble porteur.
Le film est bien fait, bien joué. Je pense qu’il ne lui manque qu’un peu d audace, d’ouverture vers d autres sujets que la comédie.
Je n’ai pas trouvé de grand intérêt à ce film. Déjà parlons de Stéphane Plaza. Je ne trouve pas qu’il s’en sorte bien. Son jeu est assez terne. On est loin du personnage qu’il s’est construit dans ses émissions TV. Le passage de l'agence immobilière au cinéma n'est pas toujours évident. Pourtant, il a déjà participé à des téléfilms et aussi deux pièces de théâtre. Ce n’est donc pas vraiment un novice en la matière. Pour ne rien arranger, sa complicité avec Julie Ferrier est inexistante. Concernant l’histoire, elle est assez plate sans avoir de réelles saveurs. Malgré une ou deux situations cocasses, le rire ne sera pas au rendez-vous. Il est aussi dommage de ne pas avoir joué sur le côté « Albert Einstein ». On aurait mis un parfait anonyme en tant que voix qui guide, cela aurait été pareil. On ne ressent pas le génie qui pourrait ressortir de l’esprit d’un des hommes les plus intelligents de l’histoire. J’AI PERDU ALBERT est donc le genre de Comédie qui ce regard pendant le repassage du dimanche soir mais pas plus
Si vous ne saviez pas que Stéphane Plaza avait fait du cinéma, eh bien vous voilà renseignez. En adaptant son roman de même nom, Didier Van Cauwelaert pensait peut-être décupler la folie de son histoire par un travail de l’image et du rythme, ou simplement plébisciter un récit dont il semble fier. Et malgré la maladresse générale, en dépit de l’indigence de la mise en scène qui ne fait que convertir les mots en images ternes, il faut bien reconnaître la vitalité d’un ensemble qui fonce tête baissée dans son délire, revisite Einstein à la sauce médium pour transformer le scientifique en génie venu « squatter » l’esprit de nos personnages. Cette idée burlesque trouve toutefois ses limites dans son incapacité à dire quelque chose de notre société, sauf par clichés accumulés (l’association de la voyance et de l’escroquerie, la condamnation de l’adultère chez les chefs d’entreprise qui enfourchent les dames sur le siège avant de leur voiture). Une seule actrice tire son épingle du jeu et porte le long métrage sur ses épaules : il s’agit de Julie Ferrier, aux excès pétillants. En revanche, il ne va pas à Stéphane Plaza de s’éloigner des ventes immobilières, tant sa prestation ne convainc pas ; en même temps, ce n’est pas lui qu’il faut blâmer, mais l’écrivain et ici réalisateur Didier Van Cauwelaert qui engendre une comédie inégale et veule, sauvée par sa bonne humeur.
4 693 abonnés
18 103 critiques
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1,5
Publiée le 3 septembre 2020
L'esprit têtu d'Albert Eistein parle dans l'esprit de Chloé et il veut sauver le monde et particulièrement les abeilles. Le médium est donc très demandé parmi les politiciens et les riches (je ne fais pas payer les pauvres dit-elle). Cela aurait pu être un film très drôle car une héroïne qui n'est pas une brillante avocate ou une journaliste intrépide ça fait toute la différence. Malheureusement, l'histoire est parsemée de scènes de sexe grossières qui n'apportent rien à l'intrigue et un mauvais dialogue plein de mots de quatre lettres n'aide pas. De temps en temps il y a une bonne idée comme la parodie des débats télévisés qui fonctionne. Mais le secret officiel politique ne fonctionne pas. Il est vrai que les abeilles sont des espèces en danger et que leur disparition peut être un désastre pour l'écosystème mais à part certaines ruches ce problème n'est évoqué que pour justifier la fin heureuse. L'introspection finale du héros ne peut être prise au sérieux dans ce qui est finalement une farce. On peut sauver à la rigueur Josiane Balasko dont le jeune mari est un gigolo et qui ne cesse de s'inquiéter...