Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Inspiré de faits réels, ce long métrage d'une incroyable intensité dévoile une facette mal connue de l'histoire du franquisme.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Ouest France
par Thibault Liessi
Malgré ses longueurs, ce huis-clos se révèle aussi passionnant dans son questionnement sur ce que signifie être résistant que sur les dommages collatéraux de ce comportement sur une famille unie.
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Totalement surréaliste, et pourtant authentique, cette histoire tient à la fois du thriller intimiste du document historique et du drame psychologique.
L'Obs
par François Forestier
Le film est long, austère et terriblement émouvant. Il passe, dans ces images, une certitude : l’amour est plus fort que la nuit. Le personnage de Rosa (Belén Cuesta), femme déchirée, est inoubliable.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Cette chronique d’un enfermement, qui se déroule sur trente ans, explore tous les sentiments avec une noirceur glaçante de réalité.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Michaël Ghennam
En s’inspirant de faits réels, le trio Arregi / Garaño / Goneaga livre une subtile réflexion politique, mais aussi et surtout une très belle histoire d’amour.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Adaptée de l’histoire vraie hallucinante d’une “taupe” sous Franco, "Une vie secrète" parvient habilement à joindre la matière théorique de son argument à ce grand geste romanesque qu’est de raconter une vie qui passe.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana
L’enjeu pathétique, admirablement développé, se situe là : tirant vers le versant sédentaire du survival au suspense de plus en plus croupi, le film a la singularité de placer en son centre la relation gâchée du couple, otage de cette coexistence immobile.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Floreal Peleato
La subtilité du film tient à son ambiguïté, que certains ne manqueront pas de lui reprocher.
Culturopoing.com
par Thibault Vicq
L’enfermement et l’impuissance se retrouvent dans tous les espaces. Si "Une vie secrète" fonctionne sur la peur primitive d’être découvert, il sait montrer la solitude autrement que par le jeu d’acteur. C’est là sa grande qualité.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Monde
par Philippe Ridet
Trois réalisateurs, habitués àtravailler ensemble, ont écrit etréalisé ce film sans pathos ni affect, tiré de faits réels. Il a raflé un nombre incalculable de récompenses au Festival de SaintSébastien en 2019. C’est mérité.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Sidérant sur le fond, à cause de cette étonnante histoire qu'il raconte et qui est inspirée de faits réels, « Une Vie secrète » pèche hélas par sa forme, malgré une fin très émouvante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Film cosigné par trois réalisateurs espagnols, « Une vie secrète » est un huis clos instructif et fascinant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Première
par Thierry Chèze
À quoi bon sauver sa vie si on doit la subir enfermé ? Telle est la question développée par ce récit où brille une fois encore le toujours impeccable Antonio de la Torre.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Samuel Douhaire
Dur, en cette année de confinement et de couvre-feu, d’inciter les spectateurs à découvrir les tourments d’un homme vivant durant trente-trois ans comme une taupe. Essayons toutefois, avec un double éloge d’Antonio de la Torre (...) et de la mise en scène, qui utilise les codes du cinéma d’horreur pour faire ressentir l’effroi de la traque et de l’enfermement. Mais les deux heures et demie se font sentir…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Avec la mise en scène disparaissent aussi l’Histoire et l’espace, le vide se remplissant ainsi à coups de scénario et de chapitres qui s’empilent en cochant toutes les cases. La peur nationale de sortir de ses tranchées finit écrasée sous le poids de l’anecdote.
Critikat.com
par Bastiens Gens
Les cinéastes s’épuisent à raconter l'enfermement en une suite d’effets un peu trop redondants.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Céline Rouden
La présence d’Antonio de la Torre, grand acteur espagnol, dans la peau de cet homme envahi peu à peu par le sentiment de culpabilité, de lâcheté puis de désespoir, comme la belle histoire du couple qu’il forme avec Rosa (Belén Cuesta), sauve le film d’une reconstitution un brin théâtrale et d’une mise en scène essentiellement performative.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un huis clos d’après une histoire vraie sur les ravages de la captivité et de l’isolement, qui souffre cependant d’un rythme lent.
Franceinfo Culture
Inspiré de faits réels, ce long métrage d'une incroyable intensité dévoile une facette mal connue de l'histoire du franquisme.
Ouest France
Malgré ses longueurs, ce huis-clos se révèle aussi passionnant dans son questionnement sur ce que signifie être résistant que sur les dommages collatéraux de ce comportement sur une famille unie.
Femme Actuelle
Totalement surréaliste, et pourtant authentique, cette histoire tient à la fois du thriller intimiste du document historique et du drame psychologique.
L'Obs
Le film est long, austère et terriblement émouvant. Il passe, dans ces images, une certitude : l’amour est plus fort que la nuit. Le personnage de Rosa (Belén Cuesta), femme déchirée, est inoubliable.
Le Figaro
Cette chronique d’un enfermement, qui se déroule sur trente ans, explore tous les sentiments avec une noirceur glaçante de réalité.
Les Fiches du Cinéma
En s’inspirant de faits réels, le trio Arregi / Garaño / Goneaga livre une subtile réflexion politique, mais aussi et surtout une très belle histoire d’amour.
Les Inrockuptibles
Adaptée de l’histoire vraie hallucinante d’une “taupe” sous Franco, "Une vie secrète" parvient habilement à joindre la matière théorique de son argument à ce grand geste romanesque qu’est de raconter une vie qui passe.
Libération
L’enjeu pathétique, admirablement développé, se situe là : tirant vers le versant sédentaire du survival au suspense de plus en plus croupi, le film a la singularité de placer en son centre la relation gâchée du couple, otage de cette coexistence immobile.
Positif
La subtilité du film tient à son ambiguïté, que certains ne manqueront pas de lui reprocher.
Culturopoing.com
L’enfermement et l’impuissance se retrouvent dans tous les espaces. Si "Une vie secrète" fonctionne sur la peur primitive d’être découvert, il sait montrer la solitude autrement que par le jeu d’acteur. C’est là sa grande qualité.
Le Monde
Trois réalisateurs, habitués àtravailler ensemble, ont écrit etréalisé ce film sans pathos ni affect, tiré de faits réels. Il a raflé un nombre incalculable de récompenses au Festival de SaintSébastien en 2019. C’est mérité.
Le Parisien
Sidérant sur le fond, à cause de cette étonnante histoire qu'il raconte et qui est inspirée de faits réels, « Une Vie secrète » pèche hélas par sa forme, malgré une fin très émouvante.
Les Echos
Film cosigné par trois réalisateurs espagnols, « Une vie secrète » est un huis clos instructif et fascinant.
Première
À quoi bon sauver sa vie si on doit la subir enfermé ? Telle est la question développée par ce récit où brille une fois encore le toujours impeccable Antonio de la Torre.
Télérama
Dur, en cette année de confinement et de couvre-feu, d’inciter les spectateurs à découvrir les tourments d’un homme vivant durant trente-trois ans comme une taupe. Essayons toutefois, avec un double éloge d’Antonio de la Torre (...) et de la mise en scène, qui utilise les codes du cinéma d’horreur pour faire ressentir l’effroi de la traque et de l’enfermement. Mais les deux heures et demie se font sentir…
Cahiers du Cinéma
Avec la mise en scène disparaissent aussi l’Histoire et l’espace, le vide se remplissant ainsi à coups de scénario et de chapitres qui s’empilent en cochant toutes les cases. La peur nationale de sortir de ses tranchées finit écrasée sous le poids de l’anecdote.
Critikat.com
Les cinéastes s’épuisent à raconter l'enfermement en une suite d’effets un peu trop redondants.
La Croix
La présence d’Antonio de la Torre, grand acteur espagnol, dans la peau de cet homme envahi peu à peu par le sentiment de culpabilité, de lâcheté puis de désespoir, comme la belle histoire du couple qu’il forme avec Rosa (Belén Cuesta), sauve le film d’une reconstitution un brin théâtrale et d’une mise en scène essentiellement performative.
Le Journal du Dimanche
Un huis clos d’après une histoire vraie sur les ravages de la captivité et de l’isolement, qui souffre cependant d’un rythme lent.