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    Matthias & Maxime
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    PHILIPPE P
    PHILIPPE P

    7 abonnés 30 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 octobre 2019
    Un peu comme Mummy, ... Juste un film à ne pas rater, de ceux qu'on ne voit pas souvent, de l'art de réapprendre les sentiments... Une superbe vision de cet amour qui nait de l'amitié, de la confusion des sentiments et des ravages du regard des autres....Un film, le film, qu'il faut aller découvrir avant qu'on en parle trop....Moi j'ai adoré, le thème, les acteurs, la VO sous-titrée, la musique tout est waouhhhh !!!!
    Jacques F
    Jacques F

    8 abonnés 87 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 octobre 2019
    superbe film qui aborde des sentiments perturbants . je trouve que c'est abordé avec une pudeur parfaite .
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    698 abonnés 1 434 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 décembre 2021
    Ce nouveau film réalisé par Xavier Dolan, après "Mommy", "Juste la fin du monde" et "Ma vie avec John F. Donovan", aborde le sujet de l'homosexualité refoulée entre deux amis d'enfance.
    Matthias (Gabriel D'Almeida Freitas) et Maxime (Xavier Dolan) sont copains depuis toujours, mais lors d'une soirée comme souvent arrosée, ils vont devoir se donner un baiser devant la caméra d'un proche tournant un court métrage.
    Ce doux moment va ébranler leurs certitudes et les déstabiliser définitivement dans leurs penchants sexuels.
    Le thème est intéressant et les deux acteurs principaux très bons, mais j'ai trouvé le récit un peu longuet (le film dure presque 2h), un peu trop bavard et manquant globalement d'émotion.
    Je reste donc moyennement convaincu par cette oeuvre possédant néanmoins un certain charme.
    Site www.cinemadourg.free.fr
    PLR
    PLR

    413 abonnés 1 492 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 octobre 2019
    Bigre, que c’est ennuyeux, inintéressant. Pour le spectateur totalement indifférent aux personnages titre et à leurs affres existentiels et amoureux ( ?), il ne reste rien de ce scénario ni donc de Xavier Dolan, faute de trouver l’émotion pourtant promise. Elle est y est certainement dans le script, mais elle ne passe pas l’écran. Ce n’est pas la première fois que ce réalisateur de renom et réputé talentueux, bien qu’encore jeune pour juger sur la durée, nous fait le coup. Au prochain film, ça va être méfiance, méfiance…
    poet75
    poet75

    260 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 octobre 2019
    Son film en anglais au casting hollywoodien sorti l’an dernier (Ma Vie avec John F. Donovan), film très décevant, n’a cependant pas épuisé les ressources créatives de Xavier Dolan. Preuve en est le film qui sort aujourd’hui sur les écrans : on y retrouve toute l’inventivité formelle et toute la pertinence du propos qui caractérisent les meilleurs de ses films, à l’exemple de Mommy (2014) ou encore de Juste la fin du monde (2016).
    La grande nouveauté, par rapport à ces deux films, c’est le ton, beaucoup plus léger, voire franchement humoristique dans bon nombre de scènes, adopté par le réalisateur. Un ton qui lui va bien et qui s’accorde à merveille avec la kyrielle de personnages intervenant au cours du récit. Ce qui n’empêche pas l’irruption de deux ou trois scènes plus dures, qui ne sont pas sans rappeler Mommy.
    L’argument de Matthias § Maxime est, en vérité, assez mince. Les deux garçons en question, Matthias (Gabriel d’Almeida Freitas) et Maxime (interprété par Xavier Dolan lui-même), acceptent de jouer une scène dans un film amateur, lors d’une soirée entre copains, sans se douter de ce que cela implique. Lorsqu’ils apprennent qu’ils doivent jouer les rôles de deux amis qui « se galochent », autrement dit qui s’embrassent, pas question de reculer. Ce qui, chez d’autres, ne serait peut-être que quelque chose d’anodin sème le trouble chez l’un comme chez l’autre.
    Dès lors, et jusqu’à la fin du film, Xavier Dolan entreprend d’explorer, par petites touches, les répercussions de ladite scène. Rien n’est banal, même pas ce que l’on fait quand on joue un rôle, quand on est censé se glisser dans la peau de quelqu’un d’autre, que ce soit au cinéma ou au théâtre. Le baiser échangé par les deux garçons n’est pas sans conséquences, et c’est d’autant plus difficile à assumer que Maxime s’apprête à quitter le Québec pour l’Australie où il doit séjourner pendant deux ans. Il règle ses affaires, se souciant en particulier de sa mère qui est sous tutelle (ce qui donne lieu aux deux scènes les plus dures du film), avant le grand départ. Et, bien sûr, il se doit de fêter son au revoir avec ses copains et, par conséquent, avec Matthias. Or l’un comme l’autre ne sont plus les mêmes depuis qu’ils se sont embrassés.
    Comme il l’a si bien prouvé dans plus d’un de ses films, Xavier Dolan fait à nouveau preuve d’une imagination sans limites pour la mise en forme de cette comédie romantique, parvenant à mettre ensemble, avec beaucoup d’habileté, les émotions et la drôlerie. Les répliques fusent, la plupart des personnages sont hauts en couleur, on se régale de les voir évoluer et de les entendre échanger des propos incisifs. Le réalisateur ose tout, des ellipses, des scènes en accéléré, d’autres au ralenti, pour notre plus grand bonheur de spectateurs. Décidément, quand Xavier Dolan est en forme, il ne laisse place à aucune banalité. Son film est un régal !
    cineccita
    cineccita

    41 abonnés 1 473 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 5 novembre 2019
    Xavier Dolan nous avait habitué à des perles, ici le seul sentiment qui domine c'est l'ennui.
    Le film dure deux heures et il ne se passe pas grand chose.
    laurentcmoi
    laurentcmoi

    15 abonnés 234 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 décembre 2019
    Ce film manque de puissance, des personnages bridés et non charismatiques. On effleure le malaise sans percer l’abcès, tout ces non dits deviennent pesant et lassent. Les plans trop courts et non aboutis ne nous procurent aucune émotion tout comme le jeu des acteurs qui ne semblent n'être que des figurants. Gabriel D'Almeida Freitas dans le rôle de Matthias est le pire de tous, la même tête du début à la fin, aucune émotion, le cliché du garçon coincé que ne fini jamais ses phrases. Seul Xavier DOLAN est habité par son rôle et le rend crédible. Bref un film loupé à mon sens du début à la fin.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 204 abonnés 4 023 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 mai 2019
    A 30 ans, Xavier Dolan en est déjà à son huitième long-métrage. Lauréat à la Quinzaine des Réalisateurs pour « J’ai tué ma mère » en 2009, en sélection Un Certain Regard en 2010 pour « Les Amours Imaginaires » et en 2012 pour « Laurence Anyways », Prix du Jury en compétition officielle du Festival de Cannes 2014 pour « Mommy » et Grand Prix dans l’édition 2016 pour « Juste la fin du Monde », le jeune cinéaste revient de nouveau sur la croisette pour présenter sa bande de pote « Matthias et Maxime ».
    Alors qu’on pensait que le canadien aurait gagné en maturité, son film est son plus mauvais et également son plus teen-movie. Pour les besoins d’un court-métrage, deux amis d’enfance s’embrassent sur la bouche. Ce baiser d’apparence anodine, va installer un sérieux doute dans leur relation et au lieu d’en assumer les conséquences, les deux hommes vont s’éloigner. Grimé par une grande tâche de naissance sur le visage, c’est Dolan lui-même qui se confronte au beau brun Gabriel D'Almeida Freitas dans son premier rôle. Laissant une grande place au langage, le film prend des allures de karaoké polyglotte où défilent des discussions sans fonds et aléatoires. Les thèmes récurrents du réalisateur se font répétitifs. L’homosexualité y est certes abordée avec plus de retenue, mais avec bien trop de caricature. Le conflit mère-fils qui jadis nous captivait est cette fois laborieux. Oui on aime Anne Dorval, mais choisir la simplicité de lui donner sans cesse ce rôle ne nous fait même plus remarquer son talent. Enfin, les longues interludes musicales ne collent absolument pas à l’action et cherchent clairement une dramaturgie poussive. Nous l’avions déjà remarqué avec « Ma vie avec John F. Donovan », Dolan ne sait filmer que les femmes. Son écriture apparaît alors faiblarde et ses comédiens deviennent mauvais. « Matthias et Maxime » est le film cannois de trop et il ne mérite clairement pas de monter les marches.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    598 abonnés 2 785 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 août 2021
    Maxime essaie de joindre son frère mais tombe sur le répondeur. Il marche sur un parking, la caméra le filme en gros plan. Un chien passe dans le flou derrière lui, la caméra prend la peine de suivre son mouvement, un mouvement de passage de part et d’autre du cadre. De la droite vers la gauche. Ce chien, nous le retrouvons plus loin, lors d’une fête : il traverse la rue, du trottoir de gauche à celui de droite. Direction différente parce que personnage différent : dans le premier cas, Maxime ; dans le second, Matthias.

    Un détail comme celui-ci permet d’entrer dans le nouveau long-métrage de Xavier Dolan en soulignant d’emblée l’intérêt qu’il porte aux symboles et la virtuosité dramatique qu’il en tire. Deux êtres similaires mais séparés par l’orientation que prennent leurs mouvements. Maxime se projette dans un ailleurs où il pourrait renaître et, peut-on penser, faire le deuil de son amour impossible : c’est l’Australie, terre à l’autre bout du monde. Et il ne reviendra pas pour Noël. Matthias, quant à lui, gravit les échelons de la bureaucratie : son monde est régi par l’ordre, par ces murs qui structurent l’espace et l’enferment dans une collection de postures. Comme Maxime d’ailleurs. Là se tient le nerf dramatique du film : dans la capacité qu’a Dolan de saisir l’asphyxie réciproque de deux amis figés malgré eux dans des rôles en désaccord avec leur nature intérieure. Une nature sauvage, bestiale, animale parce que sexuelle, à l’image du chien solitaire. Tous deux jouent le jeu de l’hétérosexualité, tous les deux jouent le jeu de l’amitié. Il suffit d’un baiser, il suffit d’une fiction, et la bulle éclate.

    Matthias & Maxime repose sur l’indicible adieu à celui qu’on est et à celui qu’on aime, dans cette vertigineuse interdépendance qui unit les deux hommes : un dessin de classe primaire prophétisait déjà, alors qu’ils n’avaient que sept ans, le trajet en voiture qu’ils effectuent au début du film. Trajet qui confronte Maxime au modèle de la famille idéale, composée du mari, de l’épouse et des deux enfants. Le découpage en chapitres chronologiques situent l’action par rapport à l’issue qui nous est révélée d’emblée, par rapport à ce départ pour l’étranger ; l’œuvre se fait aussitôt tragédie et suit les personnages se débattre ou s’ébattre avec une profonde mélancolie, jusqu’à enfin remédier au fatum par l’acceptation de soi.

    Pour y parvenir, il aura fallu démasquer l’hypocrisie ambiante qu’incarne McAfee, dont le nom d’antivirus trahit avec ironie la corruption des êtres contraints. Rythmée par une fameuse chanson des Pet Shop Boys, son entrée en scène le peint sous les traits d’un jeune arrogant dont l’hétérosexualité repose sur deux choses : d’une part, une insatisfaction sexuelle qui le transforme en chasseur de femmes-objets – voir la scène dans la boîte de striptease avec Britney Spears en toile de fond – et qui témoigne, peut-être, d’un échec de la vie de famille traditionnel telles ces mères sans maris qui se réunissent ; d’autre part la volonté de rechercher le contact physique, de parler fort, de toucher Matthias comme pour conjurer la tentation du même aussitôt rejeté. McAfee affecte Matthias parce qu’il incarne la projection vénéneuse de l’homme qu’il risquerait de devenir, un mari forcé de retirer son alliance pour suivre de son regard libidineux des showgirls en représentation. Matthias est au carrefour de son existence. Tout comme Maxime, d’ailleurs. Ils sont ce chien traversant le trottoir, allant d’une rive à l’autre tel le nageur qui se purge au moyen d’un effort harassant. Ils sont perdus. Courent dans les rues à la recherche de l’autre, cherchent à se fuir eux-mêmes, en vain.

    Le déni de soi, voilà ce qui menace nos deux amis. Et Dolan le file par le biais d’un réseau métaphorique des plus denses : la mère de Maxime ne reconnaît pas qu’elle radote, la mère de Matthias reproche à son amie d’écrire trop petit ; nous la voyons ajuster ses lunettes, persuadée d’être la dupe de ses bonnes copines. Toutes deux sont les victimes de leur nature : névrose pour la première, vieillesse pour l’autre. Les garçons ont grandi d’un coup, on n’a rien vu venir.

    Parce qu’ils sont spectateurs de cette sclérose identitaire, nos héros composent avec leur sauvagerie fondamentale, cette animalité qui s’exprime par des corps-à-corps et des coups. Un rapport conflictuel unit l’ensemble des personnages, tantôt amicaux – la camaraderie des soirées, les querelles entre frère et sœur – tantôt violents – Maxime et sa mère. Nuire à autrui semble constituer la seule marque (paradoxale) qu’ils peuvent donner de leur amour. Matthias & Maxime s’intéresse donc à l’incommunicabilité du sentiment amoureux défini comme un dialogue de sauvagerie. Comment dire adieu à celui qu’on hait parce qu’on l’aime de plusieurs amours entremêlées et qu’il est pénible de détricoter ? Un adieu par l’absence, par le silence et les larmes solitaires, toujours plus loquace que de longs discours. Ce faisant, Xavier Dolan met en scène un temps de transition qu’il est rare de voir sur grand écran, ce temps sans âge où les adultes doivent se séparer et se ranger, endeuillés d’une amitié encore vive ; toutefois, la sauvagerie qu’il y donne manifeste le refus de renoncer au bonheur.

    Le film est, en fin de compte, un cri de révolte sourd qui n’arrête pas de résonner en l’autre : « on trouvera une façon de communiquer, on sera reliés différemment » assure Matthias. Pour y parvenir : revenir à l’état sauvage. Détoner en soirée. Briser un miroir de son poing. Hurler sur sa mère. Cette sauvagerie primale raccorde Matthias & Maxime à Tom à la Ferme : il n’y a que par le conflit et la lutte que les identités se construisent, il n’y a que par les blessures (apparentes ou divulguées) que la lumière perce les corps et irradie les cœurs. Pour disparaître, la tache de naissance a besoin d’être recouverte par le sang d’une blessure au front, elle doit être humiliée lors de la soirée d’adieu. Pour recoller les morceaux et laver son for intérieur des incertitudes, il aura fallu deux saisons. Pour renaître, l’automne puis l’hiver. Le cinéma de Xavier Dolan, quant à lui, resplendit sous le soleil du génie : des étincelles encore et toujours, jusqu’à embras(s)er l’écran de projection. Une définition du sublime telle que seul Dolan sait en proposer, une réflexion puissante sur la difficulté d’être homosexuel et de s’affirmer comme tel.
    Shawn777
    Shawn777

    483 abonnés 3 353 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 octobre 2019
    Ce huitième long-métrage de Xavier Dolan, sorti tout récemment, m'a réellement déçu. Je suis pourtant un fan inconditionnel du réalisateur et j'attendais ce film avec impatience mais ce fut donc une déception, ce qui est une première dans la filmographie du réalisateur. En effet, même si je ne place pas tous ses films au même niveau bien-sûr, jusqu'à maintenant, aucun de m'avait réellement déçu. Nous suivons donc ici l'histoire de Matthias qui est un peu perdu dans ses rapports avec Maxime. Même si j'attendais ce film avec impatience, c'est surtout par rapport à Dolan car le synopsis et la bande-annonce ne me tentaient pas vraiment. Xavier Dolan revient ici aux sources, c'est-à-dire que c'est le premier film en québecois depuis "Mommy" et le premier dans lequel il joue depuis "Tom à la ferme", tout était donc réunis pour que cela fasse un carton. Je m'aperçois d'ailleurs que les critiques sont assez bonnes et j'en profite pour dire que cette critique est purement personnelle et subjective et ne reflète en rien un avis général. Malgré un retour aux sources qui s'imposait, le réalisateur tourne toujours autour des mêmes sujets, c'est le huitième film, la forme est une nouvelle fois différente, mais dans le fond, c'est toujours la même chose. Jusqu'ici, cela n'était pas trop dérangeant mais j'ai eu avec ce film une impression de déjà-vu et surtout d'avoir devant les yeux quelque chose d'assez facile et de pas très original. Nous abordons effectivement encore une fois le thème de l'homosexualité et le thème du rapport mère/fils, si bien travaillés soient-ils, Dolan repioche des éléments de ses autres films pour nous les resservir à une sauce différente mais qui a cette fois du mal à prendre. De plus, le thème principal, à savoir la relation entre Matthias et Maxime, à du mal à évoluer car on ne se concentre réellement dessus qu'à quelques moments du film. Le film nous présente également des scènes entre potes mais qui ont également du mal à décollées car elles sont trop peu présentes à l'écran pour qu'elles soient approfondies mais d'un autre côté, on ne peut pas faire l'impasse dessus car elles sont tout de même bien présentes à de nombreuses reprises. En ce qui concerne les acteurs, nous avons, entres autres, un Xavier Dolan qui n'arrive pas à se sortir de son rôle de martyr et nous retrouvons Anne Dorval. Le reste du casting est très bon. "Matthias & Maxime" porte donc indéniablement la patte de Dolan (et notamment dans sa très bonne mise en scène) mais on dirait que ce dernier commence à être sur la pente descendante.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 17 octobre 2019
    Xavier Dolan nous démontre encore une fois qu'il est le nouveau golden boy du septième art ! Il réinvente la comédie romantique du XXIe siècle. Quelle puissance et justesse dans ce nouveau chef d'œuvre du cinéma. A voir absolument en salle.
    missfanfan
    missfanfan

    76 abonnés 833 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 octobre 2019
    C'est curieux à priori l'histoire ne m emballe pas spécialement mais j'adore Xavier Dolan c'est bien filmé les acteurs sont tous excellents le directeur de la photo a fait du bon travail et la musique colle parfaitement au thème
    Adelme d'Otrante
    Adelme d'Otrante

    151 abonnés 1 036 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 novembre 2019
    Après son aventure hollywoodienne ratée Xavier Dolan retraverse la frontière pour un film intimiste tourné avec ses véritables amis. Comédie romantique manquant de fièvre sur l'amitié et son corollaire, l'amour. Dans une mise en scène qu'on a connue chez lui beaucoup plus inspirée il nous trame une histoire narcissique et fade que seule l'imagée langue québécoise vient pimenter. Le petit génie canadien a frappé très fort et très vite mais commence sérieusement à s'essouffler.
    ANDRÉ T.
    ANDRÉ T.

    70 abonnés 483 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 octobre 2019
    Peut-être pas le meilleur Dolan ? Il n’empêche, à 30 ans il a déjà une « oeuvre » cohérente.
    Qui mieux que lui sait nous toucher avec des personnages de femmes « présentes » (trop ?);
    les hommes eux, sont « absents » ….ou au travail.

    Cette fois le film a deux parties distinctes. La première, c’est la bande de copains, au bord du lac, avec des dialogues brillants de drôlerie où le français est mixé à l’anglais de plus en plus présent….
    La seconde se resserre sur la relation Mathias et Maxime, née d’un malentendu et du trouble
    provoqué par « un baiser de cinéma ».
    Xavier Dolan fait toujours preuve, d’une grande sensibilité…Comme souvent, tout ce qui est important, n’est que suggéré.
    On parle de tout, mais le plus important, est ce qui n’est pas dit !!!
    Faussement superficielles, ses histoires en disent long sur les sentiments humains et sont universelles.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 21 octobre 2019
    Dolan fait du Dolan.
    À vouloir donner l'impression de faire du grand cinéma, on alterne le bon et le moins bon.
    Le personnage de Matthias en particulier en fait des caisses, et certaines scènes frisent le ridicule parfois à force de tirer sur la corde du symbolisme.
    Le thème très à la mode de la recherche d'identité sexuelle pourra certainement plaire à certains cercles bobos pseudo-intellectuels, mais globalement, le scénario est cousu de fil blanc et sent le réchauffé.
    Pourtant, tout n'est pas à jeter. Le phrasé québécois donne une charme indéniable, et certains dialogues bien écrits donnent une énergie certaine à l'histoire.
    Mais ça ne suffit pas à sauver ce film qui, s'il n'est pas mauvais, se montre globalement peu original et décevant.
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