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    Her Smell
    Note moyenne
    2,8
    17 titres de presse
    • Cahiers du Cinéma
    • Le Monde
    • Les Fiches du Cinéma
    • Libération
    • Rolling Stone
    • CinemaTeaser
    • Marie Claire
    • Positif
    • Télé Loisirs
    • Télérama
    • Voici
    • aVoir-aLire.com
    • Critikat.com
    • L'Obs
    • Le Journal du Dimanche
    • Les Inrockuptibles
    • Première

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    17 critiques presse

    Cahiers du Cinéma

    par Jean-Philippe Tessé

    Ce qui semble n’être qu’une fascination morbide pour le chaos et la furie se révèle au fil du film une attention plus douce, plus secrète, plus heurtée aussi, à ce qui est bien vivant dans ce personnage.

    Le Monde

    par Thomas Sotinel

    Entre Courtney Love et Kim Deal, Elisabeth Moss campe une chanteuse grunge magnifique et délabrée.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Les Fiches du Cinéma

    par Clément Deleschaud

    Sorte d’hydre à cinq têtes (une pour chaque scène du film), "Her Smell" tient tout entier debout par la composition d’E. Moss, mais aussi par l’attention portée par A.R. Perry aux évidences de son scénario - torturant l’attendu pour en extraire l’émotion durable.

    La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

    Libération

    par Camille Nevers

    [...] on se trouve plus proche de l’univers déglingué d’un Fassbinder, d’un Ferrara ou de Kechiche, que du biopic édifiant.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Rolling Stone

    par Xavier Bonnet

    Derrière la rock star éphémère, c’est la femme, la mère, la copine, qu’elle dévoile et révèle, dans ses angoisses lointaines comme ses débordements. L’empreinte du film, son odeur, sont la sienne.

    La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone

    CinemaTeaser

    par Aurélien Allin

    Une expérience troublante qui rappelle qu'un film, aussi ardu et irritant soit-il, peut avoir une raison d'être.

    Marie Claire

    par Emily Barnett

    (...) le portrait fictif, électrique, allumé d'une chanteuse (...). Dommage que le film veuille à tout prix sauver et amender son personnage.

    Positif

    par Nicolas Bauche

    La composition d'Elisabeth Moss, jusqu'au-boutiste, hargneuse puis d'une fébrilité inquiète, éclaire le long métrage.

    Télé Loisirs

    par Emilie Meunier

    Le recours systématique à la caméra portée finit par agacer, mais Elisabeth Moss [...] livre une composition hallucinante de rock star défoncée et monstrueuse.

    Télérama

    par Frédéric Strauss

    De bout en bout, Elisabeth Moss (La Servante écarlate) est sidérante en monstre grunge, qui finit par jouer une musique douce au piano pour réapprendre à communiquer avec sa fille.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Voici

    par A.V.

    Sorte de Courtney Love, Elisabeth Moss dévore le film de son talent.

    aVoir-aLire.com

    par Julien Dugois

    La mise en scène et les prestations d’actrices sont focalisées sur les frasques hystériques du personnage principal. Mais lorsque cette hystérie rend cette femme antipathique, le spectacle lui-même ne tarde pas à paraître éreintant.

    La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

    Critikat.com

    par Damien Bonelli

    Le problème, c’est que ce portrait de musicienne est indissociable d’une immersion complaisante dans les mythologies agonisantes du rock.

    La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

    L'Obs

    par Nicolas Schaller

    Le silence et la rédemption sont au bout du chemin par la grâce d'une enfant, mais pourquoi s'infliger ça ?  

    Le Journal du Dimanche

    par Barbara Théate

    Elisabeth Moss en fait des caisses, les 2h15 d'hystérie semblent interminables.

    Les Inrockuptibles

    par Marilou Duponchel

    Le film donne alors le sentiment d’une performance grotesque, harassante, destinée à exhiber la virtuosité toute maniérée d’un dispositif (prises de vues épileptiques) et les prouesses d’un programme (une actrice, un lieu) aussi clinquant et vain que cruel.

    Première

    par Thierry Chèze

    Un regard complaisant sur sa comédienne poussée à en faire des tonnes, comme un exercice d’impro livré brut dans un film bien trop sage et conscient de lui-même pour aller vers l’expérimental. Cette roublardise rend le discours sur ces artistes qui se brûlent les ailes encore plus convenu.

    La critique complète est disponible sur le site Première
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