Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Critikat.com
par Clément Graminiès
Tour à tour anecdotique ou capable d'une belle ampleur, totalement absurde ou profondément tragique, "Game Girls" est un objet foisonnant, empruntant bon nombre de chemins de traverse.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Clarisse Fabre
Un documentaire fascinant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Jérémy Piette
C’est en restant la plus fidèle, respectueuse observatrice et capteuse des mouvements du quartier et du couple à contre-courant, qu’Alina Skrzeszewska parvient à laisser affleurer toutes les circonvolutions d’un univers tumultueux.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Bernard Génin
On pense à John Waters, à ses paumés déjantés, limite burlesques [...] ou aux frasques imprévisibles d'un Bukowski imbibé.
Première
par Perrine Quennesson
Par le biais de ses héroïnes, opposées et délirantes, qui font du film un récit décousu mais intense, la réalisatrice montre le poison de la privation et de la pauvreté sur la psyché. Et, parallèlement, dépeint, à la bonne distance, l’inexorable tourbillon qui pousse des femmes malmenées par la vie à se laisser glisser dans ce lieu de perdition où malgré la misère, l’entraide agit comme un pansement.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Emmanuelle Skyvington
Un film coup de poing, cru, dur, égayé ici par un mariage, là par une virée à Las Vegas, et porté par la force de l’amour entre deux écorchées vives.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Paola Raiman
Alina Skrzeszewska prend soin de suivre ces deux femmes à juste distance : suffisamment proche pour permettre une intimité rare dans cet univers abrupt de la rue, tout en conservant l’espace nécessaire à chaque plan pour ne pas enfermer ces personnages dans le flou d’une longue focale suffocante.
L'Obs
par François Forestier
Les tribulations de deux lesbiennes noires dans les bas-quartiers de LA. (...) Alina S. les suit avec sa caméra, avec une indiscrétion parfois discutable (faut-il montrer les scènes de ménage ?), mais réussit à créer une atmosphère de sympathie émouvante, dans un milieu de misère. Que vont devenir Teri et Tiahna ? On ne sait pas, mais elles sont inoubliables.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Une approche intimiste d’une Amérique sinistrée, qui souffre cependant d’un manque de contextualisation.
Culturopoing.com
par Thomas Roland
Alors que Teri et Tiahna essaient d’échapper à leur condition sociale, la caméra d’Alina Skrzeszewska les y enferme, la pauvreté de la technique impliquant un regard condescendant, leur refusant même le droit d’être autre chose que de pauvres femmes noires de Skid Row.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Critikat.com
Tour à tour anecdotique ou capable d'une belle ampleur, totalement absurde ou profondément tragique, "Game Girls" est un objet foisonnant, empruntant bon nombre de chemins de traverse.
Le Monde
Un documentaire fascinant.
Libération
C’est en restant la plus fidèle, respectueuse observatrice et capteuse des mouvements du quartier et du couple à contre-courant, qu’Alina Skrzeszewska parvient à laisser affleurer toutes les circonvolutions d’un univers tumultueux.
Positif
On pense à John Waters, à ses paumés déjantés, limite burlesques [...] ou aux frasques imprévisibles d'un Bukowski imbibé.
Première
Par le biais de ses héroïnes, opposées et délirantes, qui font du film un récit décousu mais intense, la réalisatrice montre le poison de la privation et de la pauvreté sur la psyché. Et, parallèlement, dépeint, à la bonne distance, l’inexorable tourbillon qui pousse des femmes malmenées par la vie à se laisser glisser dans ce lieu de perdition où malgré la misère, l’entraide agit comme un pansement.
Télérama
Un film coup de poing, cru, dur, égayé ici par un mariage, là par une virée à Las Vegas, et porté par la force de l’amour entre deux écorchées vives.
Cahiers du Cinéma
Alina Skrzeszewska prend soin de suivre ces deux femmes à juste distance : suffisamment proche pour permettre une intimité rare dans cet univers abrupt de la rue, tout en conservant l’espace nécessaire à chaque plan pour ne pas enfermer ces personnages dans le flou d’une longue focale suffocante.
L'Obs
Les tribulations de deux lesbiennes noires dans les bas-quartiers de LA. (...) Alina S. les suit avec sa caméra, avec une indiscrétion parfois discutable (faut-il montrer les scènes de ménage ?), mais réussit à créer une atmosphère de sympathie émouvante, dans un milieu de misère. Que vont devenir Teri et Tiahna ? On ne sait pas, mais elles sont inoubliables.
Les Fiches du Cinéma
Une approche intimiste d’une Amérique sinistrée, qui souffre cependant d’un manque de contextualisation.
Culturopoing.com
Alors que Teri et Tiahna essaient d’échapper à leur condition sociale, la caméra d’Alina Skrzeszewska les y enferme, la pauvreté de la technique impliquant un regard condescendant, leur refusant même le droit d’être autre chose que de pauvres femmes noires de Skid Row.