Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Alliance parfaite entre une extrême cérébralité et une troublante sensibilité.
20 Minutes
par Caroline Vié
« Invasion », film intimiste, parvient à être angoissant sans avoir recours aux effets spéciaux.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Stéphane du Mesnildot
Invasion est un passionnant laboratoire des peurs contemporaines.
Critikat.com
par Adrien Mitterrand
Kurosawa sait y faire pour mettre en scène la fragilité des êtres, le combat perdu contre la toute-puissance du néant, et surtout, la beauté des quelques actes désespérés destinés à le contrecarrer.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
par Françoise Delbecq
Le mysthère est entier et induit une tension psychologique sidérante. Une réussite.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
C’est toute la démarche de Kiyoshi Kurosawa d’allier culture pop et une psychologie qui ouvre sur la philosophie. Comme à son habitude, il prend son temps (2h20), mais c’est toujours mieux qu’une série de 6h00 qui démarre l’intrigue au bout de deux heures. Lui met les pieds dans le plat dès la première scène : la célérité en prenant son temps. Laissez-vous envahir. Fantastique.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Figaro
par La Rédaction
Le réalisateur japonais Kiyoshi Kurosawa signe ici une œuvre de science-fiction du quotidien et nimbe les scènes de vie d'une inquiétante étrangeté. Quand la menace se tapit derrière la banalité humaine, le travestissement devient terrifiant. Un film plein de charme et de mystère.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Mathieu Macheret
Le nouveau film de Kiyoshi Kurosawa, remontage d’une série télévisée réalisée par le Japonais, frappe par son épure.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Tiré de la même pièce que "Avant que nous disparaissions", le précédent film de Kiyoshi Kurosawa, "Invasion" reprend le même thème et manie tout autant la métaphore. Seul le point de vue change : "Avant que nous disparaissions" était envisagé du côté des envahisseurs, "Invasion" de ce celui des victimes. Il en résulte un film moins nerveux et dynamique, mais peut-être encore plus terrifiant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Comme Tourneur ou Lynch ou certaines photos de Cindy Sherman, l’auteur de "Shokusai" est capable de faire naître la tension avec peu de moyens et d’effets spéciaux : un appartement vide, un contexte banalement quotidien, un peu d’ombre dans un coin, un vent qui se lève, un hors-champ mystérieusement chargé de menace et on est pris, tendu, prêt à voir surgir on ne sait quel danger.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marius Chapuis
Il est fascinant de voir à quel point le cinéaste japonais s’intéresse peu aux conséquences de son high concept. [...] En se contentant de cibler quelques piliers autour desquels se bâtit la société (on laisse le plaisir de les découvrir), sans élaborer de grands discours autour d’eux, le cinéaste évite tout écueil moraliste.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Nicolas Geneix
Comment être humain, le rester, le (re)devenir ? Comme dans le drame ("Shokuzai") ou le polar ("Creepy"), il s'agit de considérer les vides espaces de la vie sociale ou intime.
Télérama
par Samuel Douhaire
Le prolifique cinéaste japonais a abandonné les ruptures de ton tragi-comiques et les scènes d’action (pas toujours convaincantes) pour retourner dans sa zone de confort : un film fantastique sans effets spéciaux — ou presque —, mais d’une mélancolie digne de ses plus belles réussites récentes (Shokuzai, Vers l’autre rive).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Daniel Blois
La mise en scène est soignée et l'ambiance saisissante.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Si le tout n’évite pas quelques redondances et baisses de rythme, "Invasion" émeut par son inquiétude et se révèle un digne complément de "Avant que nous disparaissions".
L'Humanité
par Vincent Ostria
Les fans de ce réalisateur sobre, qu’on pourrait nommer l’Ozu de l’horreur, seront comblés par cette folle exploration de la psyché humaine. Les autres se lasseront peut-être de ce lancinant ressassement. En tout cas, un objet très insolite.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Après une mise en place envoûtante, puis l’évolution du couple face aux exactions croissantes du Dr Makabe (le bien nommé !), la dernière partie s’étire un peu inutilement.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Le dernier Kiyoshi Kurosawa fait partie de ces films usinés en vitesse plutôt que polis avec amour, mais les pelures cinématographiques du cinéaste japonais valent bien des fruits frais.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
par Laurent Duroche
[...] si vous n'avez pas vu "Avant que nous disparaissions", le récit est mené avec assez d'assurance pour faire son petit effet.
Transfuge
par Damien Aubel
"Invasion" creuse le filon du précédent Kurosawa, "Avant que nous disparaissions". Soit là encore un panachage de SF et d'obsessions vampiriques (...).
Dernières Nouvelles d'Alsace
par La Rédaction
Kiyoshi Kurosawa avait créé Invasion pour la télévision : une série en 5 épisodes, remontée pour être distribuée en un film de 140 minutes. Ce temps long est souvent celui du cinéaste japonais, aux narrations dilatées. Cette ductilité est souvent utile à ses histoires spiralées, mais curieusement, dans Invasion, elle étire un temps qui s’use et confine à l’ennui (...).
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Une variation trop démonstrative, lente et théâtrale pour convaincre, malgré son atmosphère.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le cinéaste japonais Kyioshi Kurosawa remet le couvert avec une nouvelle version de cette pièce de théâtre dont il avait tiré l’an dernier "Avant que nous disparaissions". Malgré la grâce de sa mise en scène, Invasion retombe dans les mêmes ornières que son précédent film, démarrant avec un sens de la tension indéniable, mais expédiant la suite qui sous couvert du genre fantastique et d’un hommage à la SF des années 50, s’autorise des enchaînements assez peu convaincants.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
L'Obs
par François Forestier
C'est joué comme au temps du muet (on ouvre la bouche pour marquer l'étonnement, on roule des yeux gros comme des phares de Range Rover pour la peur), c'est moche à regarder (néons, néons et néons), et c'est aussi inquiétant qu'un wok. Faut être maso pour voir ça. Il y en a.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Première
par Michaël Patin
L’apparition d’un nouveau sous-texte poussif (montrer la servitude humaine comme une addition à la drogue) achève de souligner la panne d’inspiration - et, par métonymie, la vacuité de l’entreprise. Kuro contre Kuro : un match perdu d’avance.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
Alliance parfaite entre une extrême cérébralité et une troublante sensibilité.
20 Minutes
« Invasion », film intimiste, parvient à être angoissant sans avoir recours aux effets spéciaux.
Cahiers du Cinéma
Invasion est un passionnant laboratoire des peurs contemporaines.
Critikat.com
Kurosawa sait y faire pour mettre en scène la fragilité des êtres, le combat perdu contre la toute-puissance du néant, et surtout, la beauté des quelques actes désespérés destinés à le contrecarrer.
Elle
Le mysthère est entier et induit une tension psychologique sidérante. Une réussite.
Franceinfo Culture
C’est toute la démarche de Kiyoshi Kurosawa d’allier culture pop et une psychologie qui ouvre sur la philosophie. Comme à son habitude, il prend son temps (2h20), mais c’est toujours mieux qu’une série de 6h00 qui démarre l’intrigue au bout de deux heures. Lui met les pieds dans le plat dès la première scène : la célérité en prenant son temps. Laissez-vous envahir. Fantastique.
Le Figaro
Le réalisateur japonais Kiyoshi Kurosawa signe ici une œuvre de science-fiction du quotidien et nimbe les scènes de vie d'une inquiétante étrangeté. Quand la menace se tapit derrière la banalité humaine, le travestissement devient terrifiant. Un film plein de charme et de mystère.
Le Monde
Le nouveau film de Kiyoshi Kurosawa, remontage d’une série télévisée réalisée par le Japonais, frappe par son épure.
Le Parisien
Tiré de la même pièce que "Avant que nous disparaissions", le précédent film de Kiyoshi Kurosawa, "Invasion" reprend le même thème et manie tout autant la métaphore. Seul le point de vue change : "Avant que nous disparaissions" était envisagé du côté des envahisseurs, "Invasion" de ce celui des victimes. Il en résulte un film moins nerveux et dynamique, mais peut-être encore plus terrifiant.
Les Inrockuptibles
Comme Tourneur ou Lynch ou certaines photos de Cindy Sherman, l’auteur de "Shokusai" est capable de faire naître la tension avec peu de moyens et d’effets spéciaux : un appartement vide, un contexte banalement quotidien, un peu d’ombre dans un coin, un vent qui se lève, un hors-champ mystérieusement chargé de menace et on est pris, tendu, prêt à voir surgir on ne sait quel danger.
Libération
Il est fascinant de voir à quel point le cinéaste japonais s’intéresse peu aux conséquences de son high concept. [...] En se contentant de cibler quelques piliers autour desquels se bâtit la société (on laisse le plaisir de les découvrir), sans élaborer de grands discours autour d’eux, le cinéaste évite tout écueil moraliste.
Positif
Comment être humain, le rester, le (re)devenir ? Comme dans le drame ("Shokuzai") ou le polar ("Creepy"), il s'agit de considérer les vides espaces de la vie sociale ou intime.
Télérama
Le prolifique cinéaste japonais a abandonné les ruptures de ton tragi-comiques et les scènes d’action (pas toujours convaincantes) pour retourner dans sa zone de confort : un film fantastique sans effets spéciaux — ou presque —, mais d’une mélancolie digne de ses plus belles réussites récentes (Shokuzai, Vers l’autre rive).
Voici
La mise en scène est soignée et l'ambiance saisissante.
CinemaTeaser
Si le tout n’évite pas quelques redondances et baisses de rythme, "Invasion" émeut par son inquiétude et se révèle un digne complément de "Avant que nous disparaissions".
L'Humanité
Les fans de ce réalisateur sobre, qu’on pourrait nommer l’Ozu de l’horreur, seront comblés par cette folle exploration de la psyché humaine. Les autres se lasseront peut-être de ce lancinant ressassement. En tout cas, un objet très insolite.
La Croix
Après une mise en place envoûtante, puis l’évolution du couple face aux exactions croissantes du Dr Makabe (le bien nommé !), la dernière partie s’étire un peu inutilement.
Les Fiches du Cinéma
Le dernier Kiyoshi Kurosawa fait partie de ces films usinés en vitesse plutôt que polis avec amour, mais les pelures cinématographiques du cinéaste japonais valent bien des fruits frais.
Mad Movies
[...] si vous n'avez pas vu "Avant que nous disparaissions", le récit est mené avec assez d'assurance pour faire son petit effet.
Transfuge
"Invasion" creuse le filon du précédent Kurosawa, "Avant que nous disparaissions". Soit là encore un panachage de SF et d'obsessions vampiriques (...).
Dernières Nouvelles d'Alsace
Kiyoshi Kurosawa avait créé Invasion pour la télévision : une série en 5 épisodes, remontée pour être distribuée en un film de 140 minutes. Ce temps long est souvent celui du cinéaste japonais, aux narrations dilatées. Cette ductilité est souvent utile à ses histoires spiralées, mais curieusement, dans Invasion, elle étire un temps qui s’use et confine à l’ennui (...).
Le Journal du Dimanche
Une variation trop démonstrative, lente et théâtrale pour convaincre, malgré son atmosphère.
Sud Ouest
Le cinéaste japonais Kyioshi Kurosawa remet le couvert avec une nouvelle version de cette pièce de théâtre dont il avait tiré l’an dernier "Avant que nous disparaissions". Malgré la grâce de sa mise en scène, Invasion retombe dans les mêmes ornières que son précédent film, démarrant avec un sens de la tension indéniable, mais expédiant la suite qui sous couvert du genre fantastique et d’un hommage à la SF des années 50, s’autorise des enchaînements assez peu convaincants.
L'Obs
C'est joué comme au temps du muet (on ouvre la bouche pour marquer l'étonnement, on roule des yeux gros comme des phares de Range Rover pour la peur), c'est moche à regarder (néons, néons et néons), et c'est aussi inquiétant qu'un wok. Faut être maso pour voir ça. Il y en a.
Première
L’apparition d’un nouveau sous-texte poussif (montrer la servitude humaine comme une addition à la drogue) achève de souligner la panne d’inspiration - et, par métonymie, la vacuité de l’entreprise. Kuro contre Kuro : un match perdu d’avance.