Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Le Parisien
par La Rédaction
Décoiffant, émouvant, dansant, le film, interprété par ceux, professeur comme élèves, qui y jouent leurs propres rôles, épate tant par sa fibre sociale que par cet hommage que le cinéaste rend au bouillonnement de la jeunesse et à ces centres culturels qui leur permettent de franchir toutes les barrières.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
20 Minutes
par Caroline Vié
Nabil Ayouch signe une comédie musicale enthousiasmante.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
20 Minutes
par Caroline Vié
Nabil Ayouch signe une comédie musicale enthousiasmante avec de jeunes Marocains qui apprennent le rap dans un centre culturel de Casablanca.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Renan Cros
D’abord décontenancé par le sujet, on se laisse très vite emporter par la jubilation de voir un film lumineux être pourtant aussi politique et inquiet sur l’état du monde.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Franceinfo Culture
par Anthony Jammot
Un superbe cri du cœur de la jeunesse marocaine, à découvrir autant pour l'énergie de ce groupe de jeunes artistes que pour l'engagement d’Anas Basbousi dans cette "Positive school" bien réelle.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Sous le regard impénétrable d'un prof exigeant, une dizaine de jeunes affûtent leurs rimes, dépassent les clichés importés, expriment les maux de leur quotidien[...]. Un combat pas gagné mais porté, ici, par une jeunesse pleine d'élan et d'éclat.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Un film offensif et stimulant.
Marianne
par Olivier De Bruyn
Avec un bel équilibre entre délicatesse et puissance, suggestion et rage, Nabil Ayouch met en scène une jeunesse en quête d’émancipation.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un plaidoyer magnifique et sensible sur l’émancipation culturelle, politique, et sociale d’une groupe d’adolescents marocains à travers le rap. Proprement réjouissant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Aussi lourds et troublants soient les problèmes que les jeunes rencontrent, l’esprit rassurant gomme tout sous la lisse surface du consensus. (…) Mais si cette douceur pourrait sembler un gage d’idéalisation, elle ne l’est pas tant : Ayouch a une vision noble du talent, qui ne peut être compris qu’en saisissant ce que chacun a de beau.
Ecran Large
par La rédaction
Le film est plutôt entraînant dans sa manière de décrire l'art et la culture comme des moyens de libération et d'émancipation. Reste que le film n'est jamais très original.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Handicapé par la béquille d’un scénario un peu trop prévisible, le film ne convainc pas toujours, malgré l’indéniable justesse de sa cause.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Assez en-dessous de la sélection cannoise où il était pourtant en compétition, ce manifeste mérite d’être réévalué au regard de son énergie et de son message en direction de la jeunesse marocaine.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Etienne Sorin
Malgré quelques belles séquences, où la parole se libère en musique, Nabil Ayouch peine à donner un mouvement d'ensemble à des revendications légitimes mais éparses.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Jef Marcadé
Ce faux documentaire, aux atours de comédie musicale, compense un propos convenu par une belle énergie collective.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Yannick Vely
Ce plaidoyer pour l'émancipation de la jeunesse marocaine par le rap est filmé avec énergie et porté par la candeur de ses jeunes acteurs non professionnels.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Jacques Morice
C’est foutraque mais toujours porté par une énergie positive [...].
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Josué Morel
Film généreux mais peu consistant, dont on est en mal de trouver un seul plan qui se détache, à la fois pertinent politiquement et trop peu singulier pour qu’il reste en mémoire ; bref, un film qui donne des « nouvelles du monde » sans vraiment s’y ouvrir.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Clarisse Fabre
Un long métrage mêlant fiction et documentaire qui pose des questions à priori passionnantes, sur le langage et l'émancipation politique, insuffisamment creusées.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Le cinéaste ne regarde ses personnages autrement que comme des échantillons représentatifs des maux d’une époque toujours gangrénée par le patriarcat.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thomas Baurez
La matière documentaire du film déborde largement du cadre pour devenir la raison d’être d’un film qui s’obstine pourtant à déguiser ça en fiction. Avec l’étrange sentiment que les outils du cinéma (scénario, montage…) retiennent l’énergie créatrice que le cinéaste avait sous les yeux.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
par Sophie Grassin
Programmatique, bavard, trop peu charpenté, cet « Entre les murs », mi-doc, mi-fiction, d’où émergent quelques séquences comme celle d’un numéro dansé entre des fils à linge sur une terrasse ou un rap scandé par des filles, semble courir mille pistes à la fois sans en approfondir aucune.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
Décoiffant, émouvant, dansant, le film, interprété par ceux, professeur comme élèves, qui y jouent leurs propres rôles, épate tant par sa fibre sociale que par cet hommage que le cinéaste rend au bouillonnement de la jeunesse et à ces centres culturels qui leur permettent de franchir toutes les barrières.
20 Minutes
Nabil Ayouch signe une comédie musicale enthousiasmante.
20 Minutes
Nabil Ayouch signe une comédie musicale enthousiasmante avec de jeunes Marocains qui apprennent le rap dans un centre culturel de Casablanca.
CinemaTeaser
D’abord décontenancé par le sujet, on se laisse très vite emporter par la jubilation de voir un film lumineux être pourtant aussi politique et inquiet sur l’état du monde.
Franceinfo Culture
Un superbe cri du cœur de la jeunesse marocaine, à découvrir autant pour l'énergie de ce groupe de jeunes artistes que pour l'engagement d’Anas Basbousi dans cette "Positive school" bien réelle.
Le Journal du Dimanche
Sous le regard impénétrable d'un prof exigeant, une dizaine de jeunes affûtent leurs rimes, dépassent les clichés importés, expriment les maux de leur quotidien[...]. Un combat pas gagné mais porté, ici, par une jeunesse pleine d'élan et d'éclat.
Les Echos
Un film offensif et stimulant.
Marianne
Avec un bel équilibre entre délicatesse et puissance, suggestion et rage, Nabil Ayouch met en scène une jeunesse en quête d’émancipation.
aVoir-aLire.com
Un plaidoyer magnifique et sensible sur l’émancipation culturelle, politique, et sociale d’une groupe d’adolescents marocains à travers le rap. Proprement réjouissant.
Cahiers du Cinéma
Aussi lourds et troublants soient les problèmes que les jeunes rencontrent, l’esprit rassurant gomme tout sous la lisse surface du consensus. (…) Mais si cette douceur pourrait sembler un gage d’idéalisation, elle ne l’est pas tant : Ayouch a une vision noble du talent, qui ne peut être compris qu’en saisissant ce que chacun a de beau.
Ecran Large
Le film est plutôt entraînant dans sa manière de décrire l'art et la culture comme des moyens de libération et d'émancipation. Reste que le film n'est jamais très original.
La Croix
Handicapé par la béquille d’un scénario un peu trop prévisible, le film ne convainc pas toujours, malgré l’indéniable justesse de sa cause.
La Voix du Nord
Assez en-dessous de la sélection cannoise où il était pourtant en compétition, ce manifeste mérite d’être réévalué au regard de son énergie et de son message en direction de la jeunesse marocaine.
Le Figaro
Malgré quelques belles séquences, où la parole se libère en musique, Nabil Ayouch peine à donner un mouvement d'ensemble à des revendications légitimes mais éparses.
Les Fiches du Cinéma
Ce faux documentaire, aux atours de comédie musicale, compense un propos convenu par une belle énergie collective.
Paris Match
Ce plaidoyer pour l'émancipation de la jeunesse marocaine par le rap est filmé avec énergie et porté par la candeur de ses jeunes acteurs non professionnels.
Télérama
C’est foutraque mais toujours porté par une énergie positive [...].
Critikat.com
Film généreux mais peu consistant, dont on est en mal de trouver un seul plan qui se détache, à la fois pertinent politiquement et trop peu singulier pour qu’il reste en mémoire ; bref, un film qui donne des « nouvelles du monde » sans vraiment s’y ouvrir.
Le Monde
Un long métrage mêlant fiction et documentaire qui pose des questions à priori passionnantes, sur le langage et l'émancipation politique, insuffisamment creusées.
Les Inrockuptibles
Le cinéaste ne regarde ses personnages autrement que comme des échantillons représentatifs des maux d’une époque toujours gangrénée par le patriarcat.
Première
La matière documentaire du film déborde largement du cadre pour devenir la raison d’être d’un film qui s’obstine pourtant à déguiser ça en fiction. Avec l’étrange sentiment que les outils du cinéma (scénario, montage…) retiennent l’énergie créatrice que le cinéaste avait sous les yeux.
L'Obs
Programmatique, bavard, trop peu charpenté, cet « Entre les murs », mi-doc, mi-fiction, d’où émergent quelques séquences comme celle d’un numéro dansé entre des fils à linge sur une terrasse ou un rap scandé par des filles, semble courir mille pistes à la fois sans en approfondir aucune.