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    La Fille au bracelet
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    288 critiques spectateurs

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    Balkiar
    Balkiar

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 février 2020
    Super film !
    J'ai vraiment aimé, le film nous tiens en haleine du début à la fin !
    Super jeu d'acteur et prestation de Mélissa Guers véritable découverte pour ma part.
    J'espère qu'elle fera d'autres film !
    Corbett
    Corbett

    31 abonnés 109 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 février 2020
    Super film ! Très beau portrait de l'adolescence à travers un film de procès haletant et passionant. Anaïs Demoustier est géniale en procureur sadique ! Décidément c'est son année après Alice et Le maire et le Guediguan !
    En tout cas le polar français est de haut niveau cette année. Après l'excellent Roubaix en Août, ça fait plaisir de voir ce film tout aussi excellent.
    frederic T.
    frederic T.

    16 abonnés 167 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 février 2020
    Stéphane Demoustier réalise un film de prétoire, tendu et haletant comme un thriller. Dans ce huit-clos millimétré les figures imposées du genre offrent aux comédiennes et comédiens de très beaux numéros d’acteurs pour nous dévoiler peu à peu l’intrigue. Témoignage bouleversant pour Chiara Mastroiani en mère perdue brisée face à l’épreuve imposée à sa fille et sa famille, direction des audiences toute en mesures et en nuances pour Pascal Garbarini (avocat au barreau de Paris dans la « vraie » vie) en Président du tribunal, plaidoiries et joutes verbales pour Anaïs Demoustier en avocate générale guindée dans ces certitudes, ou pour Annie Mercier avocate expérimentée et habile qui nous questionne sur les zones troubles de l’affaire. Et puis Mélissa Guers, en accusée mutique, mystérieuse, impassible et incapable d’exprimer ses sentiments ou ses ressentiments...
    Le vrai propos du film est certainement là : Que savons-nous vraiment de nos adolescents, de leur vie intime, de leurs codes moraux, sociaux, amicaux, amoureux, de leurs expériences sexuelles, de l’impact des réseaux sociaux?....
    Plus que le récit d’un procès, ce sont ces questionnements qui nous poursuivent quand le générique de fin apparaît. Et on y pense encore longtemps..... Implacable vertige!
    Bohnert A
    Bohnert A

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 février 2020
    Un jeu d'acteurs parfait. Une intrigue qui nous tient en haleine jusqu'à la dernière image... Ami, Amante, Meurtrière ?
    Sylvain P
    Sylvain P

    336 abonnés 1 356 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 février 2020
    Autopsie d'un procès pour meurtre impliquant deux mineures, La Fille au bracelet est à la fois chirurgical et prenant. On retrouve le style de "Pupille" avec ce souci de la véracité, tout en étant dans la fiction pure qui permet l'empathie. L'interprétation parfaite n'est pas étrangère au succès du film. Dans la peau d'un juré, on ne saura donc jamais le dénouement de l'histoire, on apprendra à mieux connaître cette jeune femme, ses habitudes, ses relations et la très mauvaise plaidoirie de l'avocat général qui se situe sur le côté de la morale chrétienne au lieu du côté de la Justice permet de comprendre le verdict sans en avoir le fin mot.
    Topazine23
    Topazine23

    41 abonnés 93 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 février 2020
    Le Procès.

    Celui qui révèle le talent de la convaincante Mélissa GUERS, merveilleusement entourée de Chiara MASTROIANNI et Roschdy ZEM.
    On peut regretter l'épilogue qui aurait peut-ètre mérité bien plus qu'un bref jugement rendu...
    Un long procès, mais trois grands talents qui justifient vraiment le ticket.
    Mélissa, future Césarisée, à n'en pas douter... : je prends les paris sur les trois prochaines années !
    Boby 53
    Boby 53

    16 abonnés 191 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 février 2020
    Sur un genre rebattu, vu et revu X fois, voici un1er film solide, impeccable, à la mise en scène rigoureuse, sans effets de manches. Interpretaion à l'avenant. Au final on ne sait pas: coupable, non coupable ? Et comme le doute doit profiter à l'accusée....
    Chris58640
    Chris58640

    210 abonnés 757 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 février 2020
    Stéphane Demoustier nous offre un « court movie » qui ne manque pas de qualités. Dans sa forme tout d’abord, il n’a pas peur de dépouiller son film des artifices habituels, à l’image de sa scène d’ouverture. Une jeune fille est appréhendée sur la plage, on suit la scène de loin, les dialogues sont couverts par le bruit de la mer, on distingue juste des mots « judiciaire », « suivre »…, le ton est donné. Peu de musique, juste par petites touches et jamais pendant les scènes clefs, Demoustier n’a pas peur de laisser des longs silences s’installer, ce qui a pour effet d’alourdir encore davantage certaines scènes de procès. C’est rare le silence au cinéma, sans musique, sans bruits de fond, sans rien. Il nous offre un film assez court, il alterne les scènes de cour et les scènes en famille, et le malaise est palpable dans les deux cas. Pas d’ennui, pas d’intrigue compliquée, pas de rebondissements comme dans un thriller, ici la justice est présentée dans son simple appareil. Je remarque quand même qu’il joue beaucoup avec les reflets, les vitres des voitures, des fenêtres, des box pare-balle, et il y a peut-être une volonté de montrer par ces petits effets qu’il y a deux vérités, la vraie et celle qui se reflète dans le verre, légèrement déformée. Mais bon, j’extrapole peut-être complètement, allez savoir…Quoi qu’il en soit, « La Fille au Bracelet » est un film soigné, il se passe des choses en arrière plan, certaines scènes cruciales ne sont montrée que par le son et sans l’image, on sent que Stéphane Demoustier a bien mené son affaire et est resté fidèle jusqu’au bout à son idée : montrer une justice froidement neutre (à l’image des témoignages des experts) mais surtout désemparée devant un crime inexplicable, une accusée insaisissable et une génération dont elle ne comprend pas les codes. Pour l’incarner, cette adolescence « inconnue », il a choisie une jeune actrice inconnue aussi et qui fait très bien e le job : Mélissa Guers. Ce n’était surement pas facile d’incarner cette jeune fille qui ne montre pas d’émotions (dont on se demande si elle en éprouve même d’ailleurs), ne semble pas mesurer ce qu’elle risque, ni où se situe la frontière entre le Bien et la Mal. Il fallait composer ce personnage sans avoir l’œil vide pour autant, faire passer des émotions à travers un personnage qui les retient toutes, pas évident pour une jeune actrice et elle s’en sort très bien. A ses côtés, une Anaïs Demoustier combative en avocate générale (un peu jeune peut-être pour ce genre de rôle), Anne Mercier en avocate pugnace et les parents : Roschdy Zem et Chiara Mastroianni. Pour eux, c’est surement difficile à jouer aussi, lui ne reconnais plus sa fille dans le portrait qui en est fait, et spoiler: on sent qu’il doute parfois, par petites touches, de son innocence. Sa mère, encore plus insaisissable que sa fille, est carrément absente des premiers jours du procès, ce qui est difficilement compréhensible.
    Ce n’est que quand on lui demandera de s’en expliquer que l’on comprendra enfin la profondeur du désarroi dans laquelle cette affaire l’a fait tomber. Zem et Mastroianni sont évidemment très justes dans ces rôles difficiles. L’intrigue du film se cale sur le procès, de son premier jour jusqu’au verdict, elle nous met plus ou moins la peau du juré d’assise. Le procès, et donc le scénario, ne nous donne pas toutes les clefs pour déterminer si oui ou non, cette gamine de 16 ans à poignardé à 7 reprises sa meilleure amie. spoiler: Ce qui est au cœur du film, c’est l’incompréhension du monde des adultes qui regarde une jeunesse à laquelle il ne comprend presque rien. Les explications lacunaires de Lise et des témoins de son âge, nous plongent au cœur d’un monde qu’en tant qu’adulte, on ne comprend pas : on ne comprend pas leur codes, leur priorités, leur sexualité, bref, leur fonctionnement. Le tribunal, les parents de Lise, l’avocate générale, les jurés et les spectateurs de la salle de cinéma : tout le monde à la même enseigne : mais qu’est ce qui se passe chez ces adolescents ? A la fin du film, justice est rendue, un verdict est prononcé mais toutes les questions demeurent et elles nous trainent dans la tête. Plusieurs jours de procès et on n’aura aucune certitude, tout sera affaire d’intime conviction. De ce point de vue le scénario est malin et distille le malaise de la première image à la dernière scène, on n’est ni dans un thriller, ni dans un polar, mais dans l’autopsie d’une jeunesse insaisissable, floue, indéchiffrable. Il y a quand même quelques petites choses qui me gênent, par exemple pourquoi il y a du public alors que nous sommes devant une cours d’assise des mineurs et que tout devrait se dérouler à huis clôt ?
    Mais ce sont des détails qui n’entachent pas la bonne impression d’ensemble de ce film sobre et puissant, bien incarné, techniquement maitrisé. Il suscité chez le spectateur beaucoup de sentiments dérangeant, contradictoires pendant la séance et il pousse à la réflexion même après la sortie de la salle, ce qui la marque des films qui ont fait mouche.
    BIBI07
    BIBI07

    86 abonnés 41 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 février 2020
    Vu au ciné "LA FILLE AU BRACELET" de Stéphane Demoustier, intrigue judiciaire et familiale: une jeune fille de 16 ans accusée du meurtre de sa meilleure amie, deux ans plus tard la voilà convoquée à son procès, après avoir vécu recluse auprès de sa famille avec un bracelet électronique, seule accusée elle va devoir affronter le réquisitoire implacable de l'avocate générale, le film n'est pas à proprement parlé un huis clos, même si la plupart des séquences d'une film sont celles du procès, avec ses différents intervenants, le réalisateur alterne avec les séquences en famille, on découvre peu à peu l'itinéraire de l'affaire, la chronologie des événements, et pourtant notre point de vue est constamment remis en question, comme un suspense de l'âme qui nous parcourt comme un vertige, plus que l'intrigue elle-même et ses faits ce sont les silences et les vibrations des différents personnages qui nous passionnent et nous interrogent, c'est constamment tendu et puissant tout en étant assez figé au niveau mise en scène, mais d'une belle et intense austérité, sans artifices inutiles (à l'image de cette première scène d'interpellation sur la plage), le tout filmé avec délicatesse, sensibilité et sincérité, ce qui permet au synopsis d'exister et de nous passionner, aussi jusqu'à la fin on doute, malgré le verdict final, et même si chacun pourra se faire une intime conviction (et encore, pas évident). C'est aussi et surtout une histoire de famille, avec des parents détruits et qui eux aussi s'interrogent, avec cette fille qu'ils croyaient "parfaite", une adolescente qu'ils n'ont pas vu grandir et qui a vu sa vie chavirer, avec aussi l'évocation des dangers d'internet chez les jeunes (ici une vidéo intime), un film où les interprètes sont d'une vérité parfaite: Anais Demoustier(soeur du réalisateur) est d'une froideur et d'une exigence superbe en avocate générale, les deux parents sont formidables: Chiara Mastroianni, plus en douleur rentrée, en mère refusant d'abord d'affronter et de subir ce procès, et le charismatique Roschdy Zem en père plus impliqué, plus en rage et déterminé à accompagner sa fille, et puis Melissa Guers, dont c'est le premier rôle, formidable de retenue et de mystère indicible en adolescente fragile, mutique, presque sans réaction parfois, si troublante et difficile à cerner dans son interprétation qu'elle nous fait douter constamment, jusqu'à cette séquence du bracelet à la fin, image à nouveau perturbante et source multiple d'interprétation, voilà bien l'atout gagnant de cette troublante histoire humaine, une belle réussite du genre!
    JRP
    JRP

    4 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 février 2020
    Tiens, un film français qui n'est pas une histoire de coucherie et dont le scénario a été bien écrit ! On doutera jusqu'au bout si la fille au bracelet est innocente ou coupable. Suspense continu qui donne au film sa tension permanente. C'est que le problème n'est pas là, dans la culpabilité possible. L'accusée est presque mutique, sa parole rare au point de la mettre en danger. Pas par timidité. Elle veut s'appartenir et ne reconnaît à personne le droit de l'interroger sur sa vie et et ses actes, de lui demander des comptes. Qu'ils soient policiers, magistrats, jurés ou parents. Elle veut être libre et en paie le prix avec détermination, sans cris, sans révolte. Peu à peu, elle domine tous ces inquisiteurs importuns et en triomphe sans éclats mais complètement. Un film sur la liberté revendiquée contre la norme et la loi. Interprétation parfaite, avec une mention particulière pour l'héroïne de qui émane une force intérieure impressionnante qui transparaît mais sans besoin de s'étaler. Le type de film fort, très réussi, mais qui ne peut pas être un succès commercial. La mise en scène se veut quasi documentaire, avec le parti pris de s'arrêter aux apparences extérieures et de laisser le spectateur faire avec.
    Petra
    Petra

    1 abonné 41 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 février 2020
    TRÈS BON FILM . L'accusée est remarquable , tout semble vrai , naturel .Je n'ai pas décroché du film du début à la fin . A Anais Demoustier toujours excellente dans tous ses films ( méchante dans celui-ci à cause de son rôle ) et l'avocate de l'accusée - je ne connais pas son nom mais une avocate de talent par sa voix, son physique , la force qu'elle dégage , ils sont tous remarquables . La présence des parents( CMastroianni et Roschdy Zem ) est de qualité , digne .J'ai beaucoup aimé ce film . Je le recommande
    Gabriel S.
    Gabriel S.

    3 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 février 2020
    Dans les coulisses d'un procès où le réalisateur arrive à nous faire changer d'opinion en un rien de temps. Excellente transmission de ce que peut être la vie d'une famille sur le banc des accusés ou de celui des jurés.
    Yves G.
    Yves G.

    1 457 abonnés 3 487 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 février 2020
    Flora, seize ans, est retrouvée sauvagement assassinée chez elle au lendemain d’une soirée entre amis. Tout accuse Lise Bataille (Melissa Guers), sa meilleure amie, qui est arrêtée le lendemain et placée en détention préventive. Deux ans après son procès s’ouvre. Si sa mère (Chiara Mastroianni) a pris de la distance pour se protéger, Lise peut compter sur l’appui indéfectible de son père (Roschdy Zem). Mais le procès commence mal tandis que l’avocate générale (Anaïs Demoustier) égrène implacablement les pièces à charge.

    Lise est-elle oui ou non coupable du crime dont on l’accuse ? "La Fille au bracelet" est construit autour de cette question binaire et relève le pari de maintenir jusqu’à l’extrême fin l’incertitude. Chaque élément de l’enquête que l’accusation ou la défense invoque est magistralement retourné par la partie adverse pour empêcher d’en faire un élément décisif : si l’ADN de Lise a été retrouvé sous les ongles de Flora, c’est parce que les deux jeunes filles avaient dormi ensemble rétorque la défense, si une vidéo les montre ensemble hilares la veille du crime, cela ne démontre pas pour autant leur complicité répond l’accusation, etc.

    S’agit-il pour autant d’un « film de procès » reposant tout entier sur l’élucidation d’un meurtre ? Pas tout à fait. "La Fille au bracelet" avance masqué. C’est moins un thriller judiciaire qu’une enquête de mœurs sur un mystère plus insondable encore que l’assassinat de Flora : la vie des adolescents aujourd’hui. Ce que la cour d’assises essaie de juger, ce que l’avocate générale tente d’incriminer, ce que les parents de Lise s’emploient à comprendre, c’est la jeune accusée, son mutisme, son impassibilité. Est-elle le masque de son insensibilité ? ou la marque de fabrique de cette Génération Z hyper-connectée qui couche sans aimer et aime sans coucher ?

    Il n’y a pas de rebondissement renversant, pas de twist decoiffant comme les films de procès américains nous y ont habitués. Rien que le déroulement implacable d’une justice en train de se faire. Les dialogues sont trop écrits, les acteurs trop hiératiques. Est ce le signe d’une direction d’acteurs maladroite – qui sacrifie la malheureuse Anaïs Demoustier qu’on a rarement vue aussi mauvaise ? ou au contraire un parti pris assumé ?

    Reste une hypothèse ouverte par le dernier plan. Ne lisez pas ce qui suit, cher lecteur qui n’avez pas encore vu ce film et n’aimerez pas être spoilé de cette ultime surprise. Une fois son acquittement prononcé et son bracelet ôté, Lise noue à sa cheville son collier de cou. Ce geste symbolique marque-t-il son souhait d’entretenir la mémoire de son amie disparue ? Ou signe-t-il le machiavélisme d’une meurtrière qui s’était murée dans le silence pendant son procès pour donner plus de poids à son ultime déclaration afin d’émouvoir le jury ?
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 16 février 2020
    Inintéressant, plat… Aucune émotion
    Quand des parents voient leur enfant arrêté, ils réagissent bien plus que ça ! Idem pour l'adolescente. On n'y croit pas
    tupper
    tupper

    132 abonnés 1 378 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 février 2020
    Technique et réaliste, concernant le déroulement du procès. Dérangeant et incertain concernant les faits. Ces caractéristiques rendent ce film à la réalisation épurée totalement captivant.
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