Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
33 critiques presse
Le Parisien
par La Rédaction
Que savent vraiment les parents de ces intimes étrangers que sont leurs propres enfants ?Sur un fil de récit tendu à se rompre, où alternent séquences familiales et reprise des audiences, c'est la question essentielle que pose ce film inspiré d'une affaire criminelle survenue en Argentine.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Thierry Chèze
Une oeuvre sous haute tension qui révèle l'impressionnante Melissa Guers.
20 Minutes
par Caroline Vié
La découverte Melissa Guers donne la réplique à Anaïs Demoustier, Chiara Mastroianni et Roschdy Zem dans ce film passionnant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
BIBA
par Mélanie Klein
De nature réservée, Mélissa Guers surprend par la maîtrise de son jeu.
Bande à part
par Pierre Charpilloz
Avec un film aussi réaliste que haletant, Stéphane Demoustier offre à la justice française la fiction qui lui manquait.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
Réalisé par Stéphane Demoustier, ce drame dépeint le système judiciaire français sous la forme d’un huis clos théâtral où les spectateurs suivent le procès jusqu’au verdict. Les plaidories s’enchaînent avec force [...].
Critikat.com
par Olivia Cooper-Hadjian
À une époque qui a vite fait de créer des monstres, le film souligne à travers un cas pratique finement ouvragé les vertus de la modestie et de la prudence – aussi peu rassurantes soient-elles.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Stéphane Demoustier fait le portrait de la jeune fille en doute, portrait contemporain subtil, qui révèle une actrice débutante étonnante, Mélissa Guers.
Elle
par Françoise Delbecq
Un film tendu, maîtrisé de bout en bout.
L'Express
par Antoine Le Fur
Voici un long-métrage d'une justesse remarquable sur la jeunesse et ses désillusions.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Croix
par Céline Rouden
Visage impassible, fragilité profondément enfouie derrière son masque d’indifférence, Melissa Guers impressionne dans le rôle de Lise, face à laquelle Roschdy Zem et Chiara Mastroianni, parents brisés, prêtent leur grande sensibilité.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Catherine Painset
Le réalisateur filme sans effets spectaculaires et laisse le spectateur se forger, difficilement, son intime conviction. Aussi tendu que les protagonistes.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Stéphane Demoustier fait le portrait de la jeune fille en doute, portrait contemporain subtil, qui révèle une actrice débutante étonnante, Mélissa Guers.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Original, intense et prenant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Un thriller judiciaire joliment austère, qui sonde les âmes avec une grande pudeur et entretient, loin de tout effet, le suspense jusqu’au bout.
Le Point
par Victoria Gairin
Fort et juste.
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Ce long métrage très réaliste réussit à maintenir la tension grâce à une mise en scène sans chichi et des acteurs très impliqués.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Un désir d’émancipation filmé par un cinéaste fasciné par un sujet insaisissable.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier de Bruyn
Cette indécision donne tout son prix à cette fiction subtile qui joue avec les codes du film de genre pour mieux interroger et déstabiliser le spectateur. On ne s’en plaint pas.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Positif
par Louise Dumas
Au terme du procès et au terme du film, le secret de « la fille au bracelet » reste entier. C’est en cela que le film a finalement quelque chose des portraits du XVIIe siècle néerlandais, qui gardent bien enclos dans un cadre en bois doré le mystère des êtres qu’ils représentent.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Si le film est si juste, c’est que par-de-là la simplicité des apparences, Stéphane Demoustier parvient à rendre compte d’un vertige.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
S'il manque des clés sur la marche de la justice, le suspense fonctionne admirablement.
Télé Loisirs
par Marc Arlin
Parfaitement maîtrisée, sa mise en scène au cordeau laisse la place aux silences de ses acteurs.
Télérama
par Jacques Morice
Une mise en scène juste, qui captive et laisse entrevoir un malaise collectif.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par A.V.
Car, plus encore que l’absence de preuves tangibles, c’est bien l’impossibilité de saisir la personnalité de l’impassible Lise qui déroute (pas un soupçon d’hystérie passionnelle à la Bardot dans La Vérité).
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Avec son rythme tendu et son basculement rapide, le film ne laisse derrière lui aucun sillage (…) là où s’évanouit la singularité du portrait, la conclusion s’impose, faisant paraître le film à la fois pertinent et déséquilibré.
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Réalisé dans une économie de moyens, s'appuyant sur des acteurs très convaincants, ce deuxième long-métrage de Stéphane Demoustier réussit plutôt bien l'exercice périlleux du film procès.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Nicolas Schaller
Un drame rigoureux et un tantinet scolaire qu’en une scène Chiara Mastroianni fait décoller.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Stéphane Demoustier signe un film plein d’ombres et de tensions autour d’une jeune fille accusée du meurtre de sa meilleure amie.
Première
par Thomas Baurez
La mise en scène frontale découpe ici l’espace pour mieux réparer et réunir ce qui peut encore l’être. Implacable.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Rémi Waldung
Si l’angle du pur réalisme permet au film de coller assez incroyablement à la réalité du monde judiciaire, et même à la vie des jeunes de seize ans en 2020, la mise en scène chirurgicalement objective empêche au récit de développer toute sa noirceur et sa puissance.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Septième Obsession
par Jean-Sébastien Massart
Le film français brille par la rigueur de son écriture (les audiences en cours d’assises sont des blocs solides) et par l’intelligence de sa direction artistique.
Libération
par Marcos Uzal
En transformant un film à procès en une réflexion peu nuancée sur l’incommunicabilité entre générations à l’heure du porno et de Facebook, le film devient non seulement moins captivant mais aussi plus clairement puritain.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Parisien
Que savent vraiment les parents de ces intimes étrangers que sont leurs propres enfants ?Sur un fil de récit tendu à se rompre, où alternent séquences familiales et reprise des audiences, c'est la question essentielle que pose ce film inspiré d'une affaire criminelle survenue en Argentine.
Ouest France
Une oeuvre sous haute tension qui révèle l'impressionnante Melissa Guers.
20 Minutes
La découverte Melissa Guers donne la réplique à Anaïs Demoustier, Chiara Mastroianni et Roschdy Zem dans ce film passionnant.
BIBA
De nature réservée, Mélissa Guers surprend par la maîtrise de son jeu.
Bande à part
Avec un film aussi réaliste que haletant, Stéphane Demoustier offre à la justice française la fiction qui lui manquait.
CNews
Réalisé par Stéphane Demoustier, ce drame dépeint le système judiciaire français sous la forme d’un huis clos théâtral où les spectateurs suivent le procès jusqu’au verdict. Les plaidories s’enchaînent avec force [...].
Critikat.com
À une époque qui a vite fait de créer des monstres, le film souligne à travers un cas pratique finement ouvragé les vertus de la modestie et de la prudence – aussi peu rassurantes soient-elles.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Stéphane Demoustier fait le portrait de la jeune fille en doute, portrait contemporain subtil, qui révèle une actrice débutante étonnante, Mélissa Guers.
Elle
Un film tendu, maîtrisé de bout en bout.
L'Express
Voici un long-métrage d'une justesse remarquable sur la jeunesse et ses désillusions.
La Croix
Visage impassible, fragilité profondément enfouie derrière son masque d’indifférence, Melissa Guers impressionne dans le rôle de Lise, face à laquelle Roschdy Zem et Chiara Mastroianni, parents brisés, prêtent leur grande sensibilité.
La Voix du Nord
Le réalisateur filme sans effets spectaculaires et laisse le spectateur se forger, difficilement, son intime conviction. Aussi tendu que les protagonistes.
Le Dauphiné Libéré
Stéphane Demoustier fait le portrait de la jeune fille en doute, portrait contemporain subtil, qui révèle une actrice débutante étonnante, Mélissa Guers.
Le Figaro
Original, intense et prenant.
Le Journal du Dimanche
Un thriller judiciaire joliment austère, qui sonde les âmes avec une grande pudeur et entretient, loin de tout effet, le suspense jusqu’au bout.
Le Point
Fort et juste.
Les Fiches du Cinéma
Ce long métrage très réaliste réussit à maintenir la tension grâce à une mise en scène sans chichi et des acteurs très impliqués.
Les Inrockuptibles
Un désir d’émancipation filmé par un cinéaste fasciné par un sujet insaisissable.
Marianne
Cette indécision donne tout son prix à cette fiction subtile qui joue avec les codes du film de genre pour mieux interroger et déstabiliser le spectateur. On ne s’en plaint pas.
Positif
Au terme du procès et au terme du film, le secret de « la fille au bracelet » reste entier. C’est en cela que le film a finalement quelque chose des portraits du XVIIe siècle néerlandais, qui gardent bien enclos dans un cadre en bois doré le mystère des êtres qu’ils représentent.
Sud Ouest
Si le film est si juste, c’est que par-de-là la simplicité des apparences, Stéphane Demoustier parvient à rendre compte d’un vertige.
Télé 7 Jours
S'il manque des clés sur la marche de la justice, le suspense fonctionne admirablement.
Télé Loisirs
Parfaitement maîtrisée, sa mise en scène au cordeau laisse la place aux silences de ses acteurs.
Télérama
Une mise en scène juste, qui captive et laisse entrevoir un malaise collectif.
Voici
Car, plus encore que l’absence de preuves tangibles, c’est bien l’impossibilité de saisir la personnalité de l’impassible Lise qui déroute (pas un soupçon d’hystérie passionnelle à la Bardot dans La Vérité).
Cahiers du Cinéma
Avec son rythme tendu et son basculement rapide, le film ne laisse derrière lui aucun sillage (…) là où s’évanouit la singularité du portrait, la conclusion s’impose, faisant paraître le film à la fois pertinent et déséquilibré.
Franceinfo Culture
Réalisé dans une économie de moyens, s'appuyant sur des acteurs très convaincants, ce deuxième long-métrage de Stéphane Demoustier réussit plutôt bien l'exercice périlleux du film procès.
L'Obs
Un drame rigoureux et un tantinet scolaire qu’en une scène Chiara Mastroianni fait décoller.
Le Monde
Stéphane Demoustier signe un film plein d’ombres et de tensions autour d’une jeune fille accusée du meurtre de sa meilleure amie.
Première
La mise en scène frontale découpe ici l’espace pour mieux réparer et réunir ce qui peut encore l’être. Implacable.
aVoir-aLire.com
Si l’angle du pur réalisme permet au film de coller assez incroyablement à la réalité du monde judiciaire, et même à la vie des jeunes de seize ans en 2020, la mise en scène chirurgicalement objective empêche au récit de développer toute sa noirceur et sa puissance.
La Septième Obsession
Le film français brille par la rigueur de son écriture (les audiences en cours d’assises sont des blocs solides) et par l’intelligence de sa direction artistique.
Libération
En transformant un film à procès en une réflexion peu nuancée sur l’incommunicabilité entre générations à l’heure du porno et de Facebook, le film devient non seulement moins captivant mais aussi plus clairement puritain.