Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Transfuge
par Steve Krief
Filipe Matzembacher et Marcio Reolon varient avec subtilité le rythme et captent les émotions des acteurs, dont c’est le premier long.
Culturopoing.com
par Pierre Guiho
Après un premier film mélancolique et mutique, les deux cinéastes brésiliens confirment leur capacité à retranscrire les troubles intérieurs des garçons en devenir.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Express
par A. L. F.
Le scénario n'a pas vraiment de relief et, de manière générale, le film manque d'intensité. Intriguant mais aussi (un peu) décevant.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un film d’atmosphère avant tout, dont le charme repose dans les entre-deux et les hésitations d’un personnage qui se cherche.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Murielle Joudet
Mais Hard Paint a toutefois du mal à éviter les écueils propres au genre qu’il représente on ne peut plus parfaitement : le film LGBT où s’égrènent quelques scènes de fête et de sexe devenues obligatoires. Hard Paint se rattrape dans son dernier mouvement qui laisse place à un romantisme tout adolescent.
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Sous ses airs de bonbon acidulé 2.0, coloré et pop comme les premiers films de Xavier Dolan, Hard Paint ne cache pourtant pas la noirceur d’un pays qu’il filme comme un cimetière géant […].
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Si l’idée des strip-teases diaprés de couleurs fluorescentes est originale, la mise en scène de cette romance brésilienne pâtissant de quelques longueurs l’est beaucoup moins. L’ensemble n’en reste pas moins émouvant.
Première
par Christophe Narbonne
Si Hard Paintse révèle finalement plus convaincant, c’est par sa peinture d’un Brésil faussement cool et ouvert qui laisse peu de marges de manœuvre aux exclus du système.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ouest France
par La Rédaction
Une certaine idée du vide cinématographique venu du Brésil.
Transfuge
Filipe Matzembacher et Marcio Reolon varient avec subtilité le rythme et captent les émotions des acteurs, dont c’est le premier long.
Culturopoing.com
Après un premier film mélancolique et mutique, les deux cinéastes brésiliens confirment leur capacité à retranscrire les troubles intérieurs des garçons en devenir.
L'Express
Le scénario n'a pas vraiment de relief et, de manière générale, le film manque d'intensité. Intriguant mais aussi (un peu) décevant.
L'Humanité
Un film d’atmosphère avant tout, dont le charme repose dans les entre-deux et les hésitations d’un personnage qui se cherche.
Le Monde
Mais Hard Paint a toutefois du mal à éviter les écueils propres au genre qu’il représente on ne peut plus parfaitement : le film LGBT où s’égrènent quelques scènes de fête et de sexe devenues obligatoires. Hard Paint se rattrape dans son dernier mouvement qui laisse place à un romantisme tout adolescent.
Les Inrockuptibles
Sous ses airs de bonbon acidulé 2.0, coloré et pop comme les premiers films de Xavier Dolan, Hard Paint ne cache pourtant pas la noirceur d’un pays qu’il filme comme un cimetière géant […].
Le Journal du Dimanche
Si l’idée des strip-teases diaprés de couleurs fluorescentes est originale, la mise en scène de cette romance brésilienne pâtissant de quelques longueurs l’est beaucoup moins. L’ensemble n’en reste pas moins émouvant.
Première
Si Hard Paintse révèle finalement plus convaincant, c’est par sa peinture d’un Brésil faussement cool et ouvert qui laisse peu de marges de manœuvre aux exclus du système.
Ouest France
Une certaine idée du vide cinématographique venu du Brésil.